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Posté(e)

Pour appuyer mon propos voici la source extraire de Geowiki :

"La marcasite est plus facilement altérable que la pyrite surtout en atmosphère humide, dans ce cas il y a formation de sulfate ferreux et libération d'acide sulfurique, mais il semble que ce soit toujours la coexistence du couple marcasite-pyrite qui déclenche rapidement l'oxydation".

En espérant que cela puisse éclairer @pierrot0731

Posté(e)

Les nodules de pyrite du Crétacé sont très facilement altérables, une fois brisés!

Même Geowiki s'est fait piéger.

La preuve:  "Les sphérolites de marcasite radiée du Crétacé sont bien connus, mais beaucoup moins que ceux de pyrite."

L'inverse aurait été + exact.

Ce qui est marrant, c'est qu'il est dit dans de nombreux papiers (et idem Geowiki: "C'est un minéral trés abondant formé à basse température à partir de solutions acides") à savoir que la marcasite suppose un pH acide et la pyrite un pH basique. Alors, comment expliquer des marcasites bien mâclées, bien typiques, greffées sur des nodules de pyrite fibroradiée (cf carrière de Dannes, P de C)? 

Parce que, la craie, pour ce qui est de neutraliser les circulations acides, c'est au poil.

Si un géochimiste passe par là...

Posté(e)
il y a 1 minute, jjnom a dit :

Ce qui est marrant, c'est qu'il est dit dans de nombreux papiers (et idem Geowiki: "C'est un minéral trés abondant formé à basse température à partir de solutions acides") à savoir que la marcasite suppose un pH acide et la pyrite un pH basique. Alors, comment expliquer des marcasites bien mâclées, bien typiques, greffées sur des nodules de pyrite fibroradiée (cf carrière de Dannes, P de C)? 

Parce que, la craie, pour ce qui est de neutraliser les circulations acides, c'est au poil.

Si un géochimiste passe par là...

Pareil, j'ai des marcasites sous calcite en creuse, ce qui suppose une solution de PH basique.

Posté(e)

le site normand nous montre clairement que le ph n'y est pas pour grand chose puisque les deux coexistent et même parfois sur les mêmes rognons !! c'est clairement la cristallo qui est différente sans que je puisse expliquer pourquoi ... sur st aubin on trouve la pyrite abondament et parfois quelques marcasites en sperkise et là on est en milieu acide sans soucis .... 

 

Posté(e)

Un article qui traite de la question. Le pH semble bien jouer un rôle avec une nucléation plus facile de la marcassite en dessous de pH=4.

Il faut surtout noter que l’écart d’énergie libre entre les deux formes est très faible et que d’autres facteurs non pris en compte pourraient renverser la tendance.

Je suis surpris que le mot « pressure » n’apparaisse nulle part dans cet article.

Si les auteurs se sont cantonnés à la pression atmosphérique, alors les conclusions sont difficilement transposables aux systèmes géologiques qui atteignent souvent des pressions très élevées.

https://www.nature.com/articles/ncomms13799#Tab1

Posté(e)
Le 29/03/2021 à 09:18, AMEDE a dit :

t'inquiète, ça nous gave tous, je me souviens bien de ton coups de gueule du printemps

 Moi ce qui me gave c'est de voir 1870 messages dont au moins 90% sont constitués uniquement de:

:applaudir: :wub: :P :yahoo: :merci: :hi:, Booooooooooooh, Boooooooooooon, Superbe!, Merveilleux ! (je ne suis pas sûr pour celui-là), Ça pique !., Mal aux yeux !......

J'en passe et des meilleurs. 

Au moins Géomac même si ses interventions sont plutôt fumeuses, rarement appropriées, à l'image de la confiture qu'on étale, a le mérite de me faire rire comme Le Mauriennais à une certaine époque.

Enfin, pour Amédé, il y a j'en conviens l'excuse de la jeunesse qui s'éblouit et s'enflamme. Ça, il ne faut surtout pas le perdre, mais y mettre un peu plus de discernement ne serait pas mal.

 

Posté(e)

Bonjour

Je comprends bien cette intervention @Michel de Champigny,à mon humble avis  nous avons  la même passion mais pas le même "level"

Pour ma part je m'émerveille souvent pour des pièces qui n'ont pas de si grand intérêt au yeux d'un habitué

La différence de niveau entre les participants est souvent un problème pour la communication ,dans un réseau social......

L'utilisation des smileys est un bon raccourci pour exprimer l'émotion que nous donne une pièce

Invité jean francois06
Posté(e)
Il y a 17 heures, jjnom a dit :

 

Ce qui est marrant, c'est qu'il est dit dans de nombreux papiers (et idem Geowiki: "C'est un minéral trés abondant formé à basse température à partir de solutions acides") à savoir que la marcasite suppose un pH acide et la pyrite un pH basique. Alors, comment expliquer des marcasites bien mâclées, bien typiques, greffées sur des nodules de pyrite fibroradiée (cf carrière de Dannes, P de C)? 

Parce que, la craie, pour ce qui est de neutraliser les circulations acides, c'est au poil.

Si un géochimiste passe par là...

Voici une piste pour faire oxyder la pyrite, faire baisser le Ph et former de la marcasite.

1025492252_Capturemarcasite1.JPG.3b0b5c2e017bec0ef6ce0853e8fbb13f.JPG

Ce sont des blackshales, les carbonates ont été dissous lors de l'acidification, mais il y a de possibles remobilisations.

Voici l'article dont est issue cette figure https://citeseerx.ist.psu.edu/viewdoc/download?doi=10.1.1.500.5771&rep=rep1&type=pdf

 

Un extrait d'un autre article

1754232801_Capturemarcasite2.JPG.4c04240674ef34699093e3e08893428d.JPG

 

image.png.cfe02ed38f2d48a77ecea51e0644d0be.png

Le titre de l'article.

 

 

 

Posté(e)
Il y a 7 heures, Michel de Champigny a dit :

.Enfin, pour Amédé, il y a j'en conviens l'excuse de la jeunesse qui s'éblouit et s'enflamme. Ça, il ne faut surtout pas le perdre, mais y mettre un peu plus de discernement ne serait pas mal.

Bonsoir MdC! Pour avoir eu le plaisir de faire un peu de terrain avec :super: juste, niveau prises de risques. Mais ça, malheureusement... AMEDE peut dire que que je suis une flippette:desole: mais j’ai détesté de devoir déterrer(vivants)des copains en raison de leurs inconsciences. 

Posté(e)
il y a 46 minutes, gaeldeploeg a dit :

Bonsoir MdC! Pour avoir eu le plaisir de faire un peu de terrain avec :super: juste, niveau prises de risques. Mais ça, malheureusement... AMEDE peut dire que que je suis une flippette:desole: mais j’ai détesté de devoir déterrer(vivants)des copains en raison de leurs inconsciences. 

Merci Gaël

Posté(e)

@mr42@jean francois06

Merci d'avoir pris du temps pour chercher des éléments.

mr42: tu confirmes cette tendance des auteurs à toujours mettre en avant le pH.  Pas certain que ce soit toujours le facteur prépondérant.

En contexte sédimentaire, genre la craie, je ne pense pas que la pression soit un facteur important. La tendance est de positionner ces transformations dans l'étape de la diagénèse.

JF: entre un contexte de matrice à 90% de silicates et un autre à 95% de carbonates, entre des pyrites détritiques et des pyrites néoformées, je doute qu'il puisse y avoir une transposition possible. 

Il y a aussi les marcasites sédimentaires et las marcasites hydrothermales. Mêmes mécanismes?

Une piste à laquelle j'ai pensé est la disponibilité en Soufre. Il semblerait que les marcasites soient déficitaires:  S/Fe vers 1,9 au lieu de 2.

Et puis la question de l'altération interpelle aussi. Les nodules de pyrite du Blanc-Nez s'altérent facilement mais les beaux cubes de Navajun peuvent rester sur l'étagère ou la cheminée sans problème...

Posté(e)
il y a 7 minutes, Stef4412 a dit :

Quid des pyrites des Malines qui en "pourrissant" forment des amas hyper-acides favorables à certaines néoformations assez rares ?
:surpris:

Elles s'altèrent facilement ? Je vais un peut éloigner les miennes de mes calcites dans mes vitrines, je croie.

Posté(e)
Citation

Elles s'altèrent facilement ?

 

Ca dépends des échantillons, certaines se dégradent en quelques jours d'autres restent stables
Mais il y a eu des secteurs très localisés avec des milieux peu recommandables riches en acide et en romerite et autres minéraux d'altération en milieu acide

 

Posté(e)
il y a 25 minutes, Stef4412 a dit :

 

Ca dépends des échantillons, certaines se dégradent en quelques jours d'autres restent stables
Mais il y a eu des secteurs très localisés avec des milieux peu recommandables riches en acide et en romerite et autres minéraux d'altération en milieu acide

 

OK, merci. 

Posté(e)

https://scholar.google.fr/scholar?q=the+mechanism+and+kinetics+of+transformation+marcassite&hl=fr&as_sdt=0&as_vis=1&oi=scholart#d=gs_qabs&u=%23p%3DrWCL5oJ7zBkJ:siffler:  »développement épithaxiale, intercroissance,:marteau: « un autre article  avec un mot pas très usité dans une conversation: Enthalpie de transformation du disulfure d’iron:jaieuchaud: « métastabilité de la marcassite! ». Alors, pyrite ou marcassite?=peau de banane ou tarte à la crème :mortderire: 

Posté(e)
Il y a 15 heures, jjnom a dit :

@mr42

 Les nodules de pyrite du Blanc-Nez s'altérent facilement 

Bonjours! J’ai un consensus:yes3: avec la demi vie de 1,5 million d’années de la Marcassite dans les conditions du BP. :hi:Vous avez raison! Les nodules fibroradiés par répétions de macles sont des Pyrites(aftermarcassite)

Invité jean francois06
Posté(e)
Il y a 14 heures, jjnom a dit :

@mr42@jean francois06

 

JF: entre un contexte de matrice à 90% de silicates et un autre à 95% de carbonates, entre des pyrites détritiques et des pyrites néoformées, je doute qu'il puisse y avoir une transposition possible. 

Il y a aussi les marcasites sédimentaires et las marcasites hydrothermales. Mêmes mécanismes?

Une piste à laquelle j'ai pensé est la disponibilité en Soufre. Il semblerait que les marcasites soient déficitaires:  S/Fe vers 1,9 au lieu de 2.

entre un contexte de matrice à 90% de silicates et un autre à 95% de carbonates, entre des pyrites détritiques et des pyrites néoformées, je doute qu'il puisse y avoir une transposition possible. 

Cet exemple montre simplement que la pyrite formée au cours d'un épisode antérieur, peut servir de support à la formation de la marcasite. C'est souvent le cas. 

Il y a parfois, pyrite, marcasite et pyrite. Les épisodes pouvant faire intervenir différentes sources de soufre (bactéries, H2S) et de fer.

Pour la disponibilité en soufre, voici un article qui semble montrer que la marcasite peut se former avec une source infini en soufre.

https://core.ac.uk/download/pdf/76979582.pdf

 

Le nom utilisé pour les nodules de pyrite/marcasite, plus fréquemment pyrite, mais pouvant être un mélange des deux devrait être nodule de sulfure de fer.

Quant à l'altération, peut-étre faut il regarder du coté des fluides qui ont circulé (oxydant).

 

Posté(e)

C'est fou, le nombre de publis existantes sur pyrite/marcasite. 

Revenons sur l'oxydation de la pyrite qui induit un pH acide favorable à la marcasite. D'où proviendrait l'oxygène en question dans le cas de la craie?

Point de départ possible: les bactéries sulfato réductrices. Ce qui suppose un environnement anoxique.

Un consensus semble exister sur la formation de ces sulfures à faible profondeur sous le toit des sédiments. Donc une relation facile avec l'eau de mer.

Le niveau marin qui baisse, un courant qui se modifie, la teneur en O augmente. Oui, mais l'eau de mer est à pH 8,2 ... et on a plein de squelettes calcaires de micro bestioles qui ne demandent qu'à neutraliser l'acidité liée à l'oxygénation de la pyrite.

Because l'oxygène, on ne peut plus compter sur les BSR pour fabriquer des sulfures. Faut utiliser une souce alternative: ceux dissous dans l'eau. Ce qui devrait se voir au niveau des isotopes du S. Or, dans le papier ciblé par le lien de JF (merci), on a des 34S de marcasites qui se promènent entre -19 et +40...

Ce qui suppose des mécanismes différents aboutissant au même minéral?...

Pas fini les papiers sur la pyrite! Tarte à la crème sur peau de banane!;) Faites passer.

NB: ce papier confirme que les nodules fibro radiés des craies anglaises sont bien des pyrites, comme ceux du Boulonnais ou de la Champagne.

Il y a 8 heures, gaeldeploeg a dit :

Bonjours! J’ai un consensus:yes3: avec la demi vie de 1,5 million d’années de la Marcassite dans les conditions du BP. :hi:Vous avez raison! Les nodules fibroradiés par répétions de macles sont des Pyrites(aftermarcassite)

Une info écrite là-dessus? L'aftermarcasite m'inquiète. Vu 2 papiers où on aurait plutôt la marcasite en croissance sur une pyrite pré-existante.

Invité jean francois06
Posté(e)
il y a une heure, jjnom a dit :

 

Ce qui suppose des mécanismes différents aboutissant au même minéral?...

 

C'est pareil pour la pyrite, ça donne des indications sur le milieu de formations des sulfures,   je te laisse retrouver cet article (j'ai plus le lien) :

2042373000_Capturesulfide.JPG.9a1ddcad2c4ac5572287683377ad1676.JPG

 

545400941_Capturesulfide2.JPG.0e107e5060026570cf1c069d5d972e5e.JPG

 

Un autre crobard, pour completer.

904864752_Capturesulfide5.JPG.4c0814c46f89af0f93c56ce05d5b3976.JPG

Et pour le Ph, il baisse seulement à la surface du grain.

Et pour oxyder les pyrites de la craie, aujourd'hui, par percolation des eaux de surface, à l'aide de la fracturation. Celles qui ne sont pas oxydées sont emballées dans une craie très peu perméable,  peu fracturée. 

 

 

Posté(e)

Un des lien ou est évoqué la métastabilité de la Marcassite est au-dessus. J’ai vu une série ou ça ne fait pas/plus dans le chichi avec mixturepyrite/marcassite « :P pour passer directement aux applications  avec « des grains de pyrite recouverts d’un nappage de marcassite »  z’ont L’air de dire que c’est facile à faire, et que c’est tendance :sourire: ça dope les propriétés du morphe stable sans que l’instabilité soit source de dégradation dans les échelles de temps court qui sont les nôtres... en restant dans des conditions de température et de pression cool 

Invité jean francois06
Posté(e)

Voici, un papier intéressant dont le propos n'est pas de dépatouiller les histoires de pyrite et marcassite,-

sur la fracturation au cours de la compaction qui donne un réseau de fractures particulier et un regime en extension radiale.(attention au R ratio dans l'article, R=sigma 2-sigma1/sigma 3-sigma1, on travaille aussi avec R ratio : sigma 2-sigma3/sigma 1-sigma 3, dans le cas de la publi, si R>0.5, extension radiale, dans l'autre cas R<0.5, extension radiale )

Ici on voit que ces fractures précoces peuvent être rempli par de la calcite et de la marcasite. ça me rappelle aussi un article et des photos sur les silex du BP envoyé par gael sur les déformations précoces.

https://www.researchgate.net/publication/237965849_Normal_faulting_in_chalk_Tectonic_stresses_vs_compaction-related_polygonal_faulting

 

 

NB: le fil sur les silex et la déformation précoce.

-de toute manière est-ce vraiment important pour le collectionneur? Ce sont plus les techniques de conservation qui l'intéresse.

 

Posté(e)
il y a une heure, jean francois06 a dit :

 

-de toute manière est-ce vraiment important pour le collectionneur? Ce sont plus les techniques de conservation qui l'intéresse.

 

J’en connais qui font dans l’incertae sedis. Les espèces poubelles et autres bizarreries inclassables dans un tiroir conventionnel avec une p’tite étiquette. Toutes les collections ne sont pas engendrées pas des comportements dysfonctionnelles de monomaniaques.       (http://docnum.univ-lorraine.fr/public/INPL/2006_PISAPIA_C.pdf)                                 Après, que des bactéries exploitent des défauts dans la maille pour démarrer une réaction. Un traitement antibiotique préventif, boîtes étanches sous atmosphères contrôlées, etcétéra 

Invité jean francois06
Posté(e)

@gaeldeploeg 395 pages, j'ai pas encore lu, mais en effet il y a des traitements. Le premier, c'est d'écarté tous les spécimens déjà contaminés. Ensuite, mais ce n'est pas à la portée des amateurs.

Les fossiles des collections de paléontologie de l’IRSNB, tout comme ceux des autres musées d’histoire naturelle ne sont pas figés pour l’éternité et subissent des dégradations diverses depuis près de deux siècles. Ce fléau concerne généralement des spécimens fracturés par le temps et/ou suite à la dessiccation. Les différentes étapes de la restauration sont simples depuis le nettoyage et l’enlèvement des anciennes colles jusqu’au recouvrement final par des produits ayant prouvés leur efficacité comme le paraloïde B72. Ces spécimens nécessitent une consolidation plutôt simple, mais il n’en va pas de même des spécimens atteints par la dégradation de la pyrite. Si ce problème qui planait audessus des iguanodons de Bernissart a été temporairement vaincu au bout de deux ans d’efforts, la pyrite contreattaque aujourd’hui la célèbre collection Leriche. Le traitement de cette dernière est en effet un vrai problème de conservation et la restauration de la collection Leriche représente le nouveau défi pour les gestionnaires de collections. Les cristaux de pyrite (FeS2) formés dans certains vertébrés fossiles entrent en réaction chimique avec l’Oxygène de l’air ou de l’eau pour former des cristaux de sulfate de Fer qui sont de plus grande taille que la pyrite de départ. Le spécimen se fracture ou éclate alors en petits morceaux difficiles à recoller. De l’acide sulfurique peut aussi être libéré lors de la réaction chimique et abime ou détruit les étiquettes et boîtes de rangement de ces spécimens pyriteux. La plupart des spécimens de l’Oligocène inférieur de la région de Boom (Rupélien de la province d’Anvers, Belgique), sont issus d’une argile très carbonatée et riche en matière organique, ayant magnifiquement préservé l’ichtyofaune fossile (poissons osseux et élasmobranches) mais malheureusement aussi la pyrite au sein des ossements. Une fois exposés à l’air libre, l’oxydation de la pyrite passe par différentes phases dont la formation des sels de fer hydratés de différentes couleurs (blanc, rose, jaune et vert). Malgré les consolidations antérieures, on constate que les spécimens continuent à se dégrader. Nous identifions donc d’abord les anciennes techniques de préparation et les traitements de consolidation (Gomme laque ou autres) avant de traiter en profondeur les spécimens à l’aide de gaz d’ammoniaque ou de thioglycolate d’éthanolamine. Même si certains spécimens sont en apparence composés d’une pyrite plus stable que d’autres, la seule méthode sûre semble actuellement de traiter toute pyrite comme étant potentiellement dégradable. Les perspectives de nouvelles techniques en cours d’élaboration permettent de garder l’espoir pour se débarrasser de ce fléau."
 
Enfin garder les échantillons sous atmosphère contrôlée, etecetera.
 
 
 
 
 
 

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