Benj Posté(e) 18 avril 2020 Signaler Posté(e) 18 avril 2020 Fluorine, barytine et wulfénite. Lantigné. Echange septembre 2019 avec Evelyne Piveron. Citer
otto lidenbrock Posté(e) 18 avril 2020 Auteur Signaler Posté(e) 18 avril 2020 Tennantite (sans doute riche en Sb) en cristaux tétraédriques maclés sur (dans) Quartz ; ils sont disposés dans un box-work d'un minéral cubique qui a disparu, sans doute plus de la galène que de la fluorine ? ; traces de "Bindheimite". [cube 15mm] Mine de La Verrière, Montchonay Haldes inf.vers 1973 Citer
otto lidenbrock Posté(e) 27 avril 2020 Auteur Signaler Posté(e) 27 avril 2020 Pyromorphite dans un quartz carié et sans doute un dead-box de Galène [90mm] La Nuissière (Lafont en Poule représente l'ancienne halde principale de la mine, aujourd'hui submergée par la halde du prospect BRGM de 1974. Anc. coll. Claude Guillemin Citer
otto lidenbrock Posté(e) 28 avril 2020 Auteur Signaler Posté(e) 28 avril 2020 Scorodite en sphérules cristallins [avec la couleur à effet alexandrite classique] dans le quartz filonien taché de 'Bindheimite' et de Bayldonite, avec des Cuivres gris [70mm] Mine de La Verrière en Montchonay, haldes Anc. coll. Béhier Citer
otto lidenbrock Posté(e) 1 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) 1 mai 2020 Romanèchite en concretions rénifornes type 'kydney ore' ; Limonite [240mm] Romanèche-Thorins, époque mine. Anc. coll. Ecole Centrale ; anc. coll. Sorbonne. Lacroix : "La romanéchite forme des masses compactes ou concrétionnées à structure fibreuse. Les surfaces lisses dans les géodes sont le plus souvent mamelonnées, botroydes, stalactiformes, mais les fibres se terminent quelquefois dans les cavités par des aiguilles extrêmement fines se courbant sous le souffle, quand elles sont longues ; elles ont un aspect velouté et s’écrasent sous la pression des doigts, lorsqu’elles sont courtes. Les masses concrétionnées sont parfois formées par la réunion d’un grand nombre de petites stalactites creuses à parois dures, remplies par une variété fibreuse subériforme du même minéral ; cette variété offre une cassure à aspect palmé des plus caractéristiques ; celle-ci forme aussi à elle seule de grosses masses plutôt columnaires que fibreuses. Il existe des variétés pulvérulentes (mine brûlée des mineurs de Romanèche)." Bien sûr, Romanèche est en Saône-&-Loire, mais aussi en Beaujolais, c'est pour cela que j'ai un peu triché. Les morvandiophiles ne m'en voudront pas. Citer
otto lidenbrock Posté(e) 2 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) 2 mai 2020 Cuproadamine sur Bayldonite / Cornwallite dans ce qui est sans doute une dead-box de Galène dans le quartz carié. [géode 15mm] La Verrière en Montchonays Anc. coll. Béhier et anc. coll. Sorbonne Citer
otto lidenbrock Posté(e) 3 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) 3 mai 2020 Bayldonite (vert jaune) en incrustations sur le quartz carié, avec Cornwallite (vert d'herbe), 'Massicot' (jaune) 'Bindheimite' (jaune vert) et Linarite (bleue) ; Cuivre gris. [75mm] La Verrière en Montchonay, haldes Citer
otto lidenbrock Posté(e) 4 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) 4 mai 2020 'Massicot' (jaune) en altération de cubes de galène ; Cornwallite en incrustations verte et Chrysocolle ; Quartz carié. [35mm] La Verrière en Montchonay, haldes Citer
otto lidenbrock Posté(e) 5 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) 5 mai 2020 Cérusite, cristal tabulaire blanc et Pyromorphite verte dans un quartz carié et ce qui pourrait être un dead-box de Galène (géode 30mm) Lafont, haldes ce qui correspondait avant les travaux BRGM à la halde principale de la mine de la Nuissière. Trouvé vers 1971. L'association cérusite / pyro est assez peu commune malgré leur voisinage dans les chapeau de fer des filons plombeux. Citer
otto lidenbrock Posté(e) 8 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) 8 mai 2020 Psilomélane en concrétions fibro-radiées avec la Fluorine violette dans un quartz carié ; dans la géode, Fluorine incolore, 'secondaire'. [80mm] Romanèche-Thorins, époque mine. Avec son belle 'peinture', c'est à dire l'étiquette peinte de Jacques 'Jeff' Geffroy ; il ne s'agit pas bien sûr, de 'romanèchite' mais du psilomélane. Lacroix : "La fluorine abonde dans les filons manganésifères de Romanèche-Thorins, elle y sert de gangue à la psilomélane, elle est violette et parfois verte. Les géodes y sont peu abondantes contenant des cubes nets et des cristaux octaédriques, formés le plus souvent par la réunion de petits cubes. Leymerie a signalé dans ce gisement des cristaux en rhombododécaèdres que je n’y ai pas rencontrés. A côté de cette fluorine de formation ancienne, rarement en cristaux distincts, se trouve une autre venue plus récente du même minéral. Elle est toujours en cristaux généralement incolores et limpides. Le gîte de substitution de Romanèche contient, comme exception, de la fluorine d’un violet très pâle, engagée dans de la calcite ferrugineuse lamellaire ; la rareté de la fluorine de ce gîte est à opposer à son abondance dans les filons traversant le granite de la même mine : elle y accompagne le quartz et la fluorine." Romanèche est en Saône-&-Loire, mais aussi en Beaujolais… (cf. plus haut) Citer
cactus Posté(e) 10 mai 2020 Signaler Posté(e) 10 mai 2020 Le 20/03/2017 à 20:14, gryph58 a dit : Oui très belle pièce Otto et puis ça change de la pyro verte. Pendant qu'on en est à La Nuissière voilà quelques "sucres" millimétriques de baryte sur pointes de quartz orange qui tapissent l'intérieur d'une petite géode. A la Croix des Oncins, j' ai trouvé des petits cubes similaires aux arêtes légèrement courbées. Ce serait donc de la baryte. C' est dans des cartons depuis que j' ai déménagé. il faudra que je le retrouve et que je mette des photos. ça ressemble tout à fait des carrés de sucre. Citer
otto lidenbrock Posté(e) 10 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) 10 mai 2020 Matte de fonderie de cuivre avec son étiquette de la fin du XIXe siècle, dont l'origine est données par l'étiquette "Chevinay". (wiki) : "Le gisement de pyrite de Saint-Bel est exploité dès le Moyen Âge principalement pour le cuivre et le plomb, rapidement abandonné. Parallèlement sont exploitées depuis le xve siècle des mines de pyrite. Au xviie siècle, l'exploitation redémarre d'abord avec les frères Baronnat, Jean, Miles et Pierre, des marchands influents de Lyon, puis sous la direction de Geoffroy et Ravant, les deux fils de Jacques Cœur, conseiller de Charles VII. L'exploitation se poursuit avec Antoine Lambert, concessionnaire des mines du Lyonnais, qui se fait remplacer par sa fille Jeanne, âgée de vingt-deux ans, dans la seule exploitation existant alors à Saint-Pierre-la-Palud. Il mourut en 1745, laissant tous ses biens à sa fille Jeanne, qui avait épousé en 1743 Jean Blanchet, marchand de fers à Lyon, épaulé par le financier Pernon de Fourne. Deux fonderies sont créées dont l'une en 1748 et une usine de transformation. Gabriel Jars, le père de l'ingénieur Gabriel Jars et grand-père du futur maire de Lyon Antoine-Gabriel Jars (1774-1857), est directeur des mines, mais de nombreuses "discussions d'intérêt", sur le droit minier, opposent Blanchet d'une part, Gabriel Jars Père et Pernon de Fournel, d'autre part. La participation de ce dernier dans la Compagnie, dressée par un inventaire, est évaluée à 45 %, soit 527695 livres. Les hostilités ne cessent qu'en 1755." Citer
otto lidenbrock Posté(e) 11 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) 11 mai 2020 Pyrolusite 'polianite' en cristaux tabulaires incrustant une masse du même minéral. [80mm] Romanèche-Thorins, époque mine (filons traversant le granite de la même mine). Ancienne collection Vésignié, là aussi avec une étiquette erronée. Notons qu'en l'absence d'examen poussé il pourrait aussi s'agir de Groutite… Romanèche est en Saône-&-Loire, mais aussi en Beaujolais… (cf. plus haut) Citer
otto lidenbrock Posté(e) 12 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) 12 mai 2020 Pyrolusite 'Psilomélane' en concrétions fibro-radiées avec la Fluorine violette dans un granite altéré ; dans la géode, Fluorine incolore cubique, 'secondaire', en incrustation sur le manganèse [120mm] Romanèche-Thorins, époque mine. Lacroix : " A côté de cette fluorine de formation ancienne, rarement en cristaux distincts, se trouve une autre venue plus récente du même minéral. Elle est toujours en cristaux généralement incolores et limpides." Romanèche est en Saône-&-Loire, mais aussi en Beaujolais… (cf. plus haut) Citer
otto lidenbrock Posté(e) 14 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) 14 mai 2020 Pyromorphite en incrustations mamelonnées vertes / orangées / crèmes sur le quartz, faciès 'nuissiérite' (encore que…) ; il y a sans doute un peu de Plattnerite noire [80mm] Mine de Verney, Saint-Didier-sur-Beaujeu Citer
otto lidenbrock Posté(e) 18 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) 18 mai 2020 Pyromorphite en globules gris-jaune de première génération ('nuissierite') avec une seconde en 'pustules' jaunes sur la Barytine 'dreelite'. [45mm] La Nuissiére, haldes ; Récolté en juillet 1923 par le frère Euthyme. Citer
otto lidenbrock Posté(e) 24 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) 24 mai 2020 Aux marges du Rhône, de mon département l'Ain, largement confiné sur le plan minéraux… Calcite, cristal agrégat de deux rhomboèdriques maclés, détachés [35mm] Oyonnax, Ain Citer
otto lidenbrock Posté(e) 25 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) 25 mai 2020 Wulfénite en tablettes quadratiques oranges et Pyromorphite verte sur Quartz [45mm] Col des Oncins, Les Ardillats Anc. coll. du Frère Euthyme Citer
otto lidenbrock Posté(e) 26 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) 26 mai 2020 Pyromorphite 'nuissiérite' jaune et verte, Cérusite 'plomb blanc' et 'plomb noir' dans la Barytine cariée [50mm] La Nuissière, mine Avec son numéro du Cabinet des Mines 328/5523, son étiquette du Cabinet des Mines et la magnifique étiquette - remarquablement inexacte - de Jean Danhauser [1795-1850], marchand naturaliste nancéen puis parisien d'origine allemande. Lacroix précise : "C’est à La Nuissière qu’a été trouvée la variété calcifère et arsenicale, dont l’analyse a été donnée plus haut et que Danhauser a appelé nuissiérite [1836]. La nuissiérite ne diffère par aucun caractère des types calciques non mamelonnés de pyromorphite." Citer
otto lidenbrock Posté(e) 27 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) 27 mai 2020 Grenat Almandin dans un mica [50mm] Ile Barbe Anc. coll. A.T. Citer
otto lidenbrock Posté(e) 29 mai 2020 Auteur Signaler Posté(e) 29 mai 2020 Wulfénite en tablettes quadratiques oranges et Pyromorphite verte sur Quartz [45mm] La Douze (gisement aujourd'hui volatilisé), Les Ardillats Anc. coll. du Frère Euthyme Lacroix : " en lames très aplaties suivant la base, tantôt rougeâtres , existant seules sur le quartz (La Douze), tantôt d’un beau jaune d’or et alors implantées sur de la pyromorphite de même couleur ; elles sont parfois bordées de pyramides très obtuses a12 (1.0.12), avec b4 (118) ou b8 (1.1.16)" Fournet avait attribué la couleur rouge-orangée des wulfénites de La Douze à la présence de chrome… cette affirmation peu étayée fera florès, et on la retrouve dès que la wulfénite est rouge, comme à Red Cloud ou à Chah Khaborze. Citer
otto lidenbrock Posté(e) 1 juin 2020 Auteur Signaler Posté(e) 1 juin 2020 Aurichalcite en incrustations sur le Quartz [40mm] La Verrière, haldes. Anc. coll. Chervet Citer
otto lidenbrock Posté(e) 2 juin 2020 Auteur Signaler Posté(e) 2 juin 2020 Wulfénite en tablettes quadratiques épaisses jaunes sur Quartz [40mm] La Douze (gisement aujourd'hui volatilisé), Les Ardillats Anc. coll. du Frère Euthyme Citer
otto lidenbrock Posté(e) 7 juin 2020 Auteur Signaler Posté(e) 7 juin 2020 Conrwallite (vert d'herbe) et Bayldonite (vert jaune) encroutant le Quartz 'pyramidal' et en périmorphose de la Mimétite hexagonale ; Cuivre gris et Olivénite dans un dead-box. [60mm] La Verrière en Montchonay, haldes Anc. coll. Claude Guillemin avec son numéro. A l'imitation du 'colonel' Vésignié, le système de numérotation de Guillemin commence avec une lettre, ici B pour Bayldonite. Citer
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