Paléohédoniste Posté(e) 1 décembre 2012 Signaler Posté(e) 1 décembre 2012 des choses (pssss : utiles à terme) comprises dans un vaste ensemble constitué des Règles de Nomenclature, de l'épistémologie poppérienne et de l'anarchisme épistémologique, de l'analyse de la dialectique héristique (SCHOPENHAUER), les chaînes logiques du raisonnement (jusqu'à une quasi-pseudo-psychanalyse de l'auteur), de la batterie des arguments fallacieux...jusqu'à de la philosophie pure, pas celle de la Terminale mais la vraie, celle qui se pratiquait à Athènes au temps de la vraie Démocratie, au temps où la philosophie imprégnait le quotidien de tous, au temps où Démocrite voulait se faire enterrer enduit de miel, au temps où Diogène se promenait sur l'Agora la nuit brandissant une lanterre et cherchait "l'homme", celui de l'importeur Platon, pas le vrai tel que nous le sommes...et ptèt un chti peu de cladisme, Hein ? Biloute ! (NDLR: c'est vrai que les frites du Nord et de Belgique sont de loin les meilleures) ...et j'oubliais : la pensée de Gaston Bachelard (ma chti pépère). Si cela vous intéresse je peux commencer par l'analyse des références bibliograghiques, pas la liste en fin de publication mais les références dans le texte, dans la démonstration, dans les discours... Indispensable pour ceux qui "lisent" et ceux qui "publient" ou le progettent ! Il ne me reste plus qu'à dire "pouet-pouet" Citer
Lexovisaurus Posté(e) 2 décembre 2012 Signaler Posté(e) 2 décembre 2012 Heuuuuuu......? J'ai strictement rien compris ni au titre du sujet, ni à ton message. Le "délire" du début que j'ai cru comprendre comme humoristique et caricatural et censé annoncé ta proposition (sérieuse?) de relecture c'est bien ça? Citer
Paléohédoniste Posté(e) 2 décembre 2012 Auteur Signaler Posté(e) 2 décembre 2012 Il n'y a rien de délirant là dedant, même si le sérieux se porte parfois très bien, emballé dans du "léger". Je lance un mouvement de révolte, plutôt de réaction aux différentes catégories de foutage de gueule que l'on trouve dans certaines publications dites scientifiques. Et donc je commence à expliquer pourquoi, points par points, le premier étant "les références bibliographiques". Citer
Dami Posté(e) 2 décembre 2012 Signaler Posté(e) 2 décembre 2012 Bonjour, Le sujet peut être intéressant. J'attend de lire la suite. Mais ca s'annonce ardu. Citer
duquesnoy Posté(e) 2 décembre 2012 Signaler Posté(e) 2 décembre 2012 des choses (pssss : utiles à terme) comprises dans un vaste ensemble constitué des Règles de Nomenclature, de l'épistémologie poppérienne et de l'anarchisme épistémologique, de l'analyse de la dialectique héristique (SCHOPENHAUER), les chaînes logiques du raisonnement (jusqu'à une quasi-pseudo-psychanalyse de l'auteur), de la batterie des arguments fallacieux...jusqu'à de la philosophie pure, pas celle de la Terminale mais la vraie, celle qui se pratiquait à Athènes au temps de la vraie Démocratie, au temps où la philosophie imprégnait le quotidien de tous, au temps où Démocrite voulait se faire enterrer enduit de miel, au temps où Diogène se promenait sur l'Agora la nuit brandissant une lanterre et cherchait "l'homme", celui de l'importeur Platon, pas le vrai tel que nous le sommes...et ptèt un chti peu de cladisme, Hein ? Biloute ! (NDLR: c'est vrai que les frites du Nord et de Belgique sont de loin les meilleures) ...et j'oubliais : la pensée de Gaston Bachelard (ma chti pépère). Si cela vous intéresse je peux commencer par l'analyse des références bibliograghiques, pas la liste en fin de publication mais les références dans le texte, dans la démonstration, dans les discours... Indispensable pour ceux qui "lisent" et ceux qui "publient" ou le progettent ! Il ne me reste plus qu'à dire "pouet-pouet" Oh mais tu m'as l'air bon en philo , tu voudrais pas faire mon DM pour la semaine prochaine ? "L'homme est il la métaphore de lui meme?" 2500 mots Non ? Dommage je me débrouillerais Citer
Paléohédoniste Posté(e) 2 décembre 2012 Auteur Signaler Posté(e) 2 décembre 2012 Oh mais tu m'as l'air bon en philo , tu voudrais pas faire mon DM pour la semaine prochaine ? "L'homme est il la métaphore de lui meme?" 2500 mots Non ? Dommage je me débrouillerais Non car la Philosophie est comme un bipède, elle a besoin de ses deux jambes pour avancer et ses deux jambes sont la philosophie matérialiste et la philosophie idéaliste. L'académisme (Terminale, Fac, l'Institution) ne considère aujourd'hui que l'idéalisme (la crainte de Dieu et du Pouvoir, la transcendance, les arrières mondes, le rejet de notre animalité, la culpabilité face aux plaisirs...) alors que je suis en faveur de la réabilitation du matérialisme (pas de Dieu ni de Maîtres, l'immanence, pas d'arrières mondes, l'acceptation de notre part animale, l'hédonisme et l'eudémonisme). Sinon tu peux explorer la problématique qui t'est proposée en partant vers l'idéalisme et en répondant que oui, et ce surtout grâce ou à cause du language, outil indispensable pour créer de la croyance en sublimant notre image....et en répondant que non par le biais du matérialisme, nous sommes uniquement ce que nous sommes, ici et maintenant car nos relations au monde et à notre image ne s'établissent pas par la raison ou la croyance mais juste par la perception de ce qui est, sans analyse, sans traductions métaphoriques. En fait tu dois avoir une approche ontologique en définissant cet outil par rapport à la métaphysique. Citer
Paléohédoniste Posté(e) 2 décembre 2012 Auteur Signaler Posté(e) 2 décembre 2012 Pour revenir aux "références bibbliographiques", je vais essayer de faire simple en prenant un exemple qui cumule quatre des principaux problèmes que l'on peut parfois rencontrer dans certaines publications. "Les genres A-us et B-us sont synonymes (MACHIN, 1896 ; TRUC, 1983, BAZAR, 2001, ZINZIN, 2011)" 1: Force est de constater qu'il y a absence totale d'arguments morphologiques, moléculaires, nomenclaturaux ou phylogénétiques. C'est donc une affirmation gratuite, une proclamation non établie et donc épistémologiquement irrecevable. La Science est faite d'arguments, pas de dogmes. 2: L'accumulation de références en faveur de la mise en synonymie des deux genres ne peut en aucun cas être considérée comme un argument univoque. Cette manoeuvre est un argument fallacieux nommé "argumentum ad nauseam". En d'autres termes, si ils sont 100, 1000 a penser la même chose, rien ne prouve qu'ils aient raison (cf. Copernic ou Darwin). Coluche disait ; "Ce n'est pas parce qu'ils sont nombreux à avoir tort qu'ils ont raison". La Science n'est PAS un exercice d'opinions mais une analyse de FAITS. 3: Une référence n'est pas un argument en soit car il est nécéssaire de vérifier ce qu'elle sous entends et comment et pourquoi l'auteur en est arrivé à sa conclusion. Tout le monde peut se tromper, c'est d'ailleur prévu par la "réfutabilité poppérienne", en d'autres termes : en Science tout peut être contredit. C'est même un des piliers majeurs de l'épistémologie. 4: Il y a ambiguité de par la volonté de l'auteur d'avoir raison (utilisation de la dialectique héristique) et de par le fait qu'il n'utilise que des références allant dans son sens. Une simple et rapide vérification montre qu'il existe AUSSI des auteurs pensant le contraire. L'objectivité et l'honnêteté intellectuelle auraient voulu que toutes les références "pro" et "anti" soient cataloguées, analysées et qu'une conclusion globale soit établie. A venir : étude de quelques autres arguments fallacieux, des principales coquetteries de la dialectique héristique et des erreurs dans le raisonnement logique. Citer
AlainR Posté(e) 2 décembre 2012 Signaler Posté(e) 2 décembre 2012 Il y en a qui ferait mieux de rester couché le dimanche... Citer
Paléohédoniste Posté(e) 2 décembre 2012 Auteur Signaler Posté(e) 2 décembre 2012 Il y en a qui feraient mieux de rester couchés le dimanche... En dehors de son orthographe discutable, cette affirmation utilise un sophisme éculé : ridiculiser le discours et/ou décrédibiliser son auteur. Ce qui frappe dans ce genre d'intervention est l'inconsistance absolue du discours. J'ajouterai qu'il n'y a rien de constructif dedans et que c'est une belle illustration des dérives de la dialectique héristique. Tu devrais proposer tes services à Jean-François C., ténor de l'empapaoutage oral. Citer
Lexovisaurus Posté(e) 2 décembre 2012 Signaler Posté(e) 2 décembre 2012 En fait y c'est un sujet avec trop de mot que je ne comprend pas quand il sont associé entre eux (et certain même que je ne connait pas....). Je ne suis pas très philo, surtout que l'utilisation de tout ces mots bien compliqués et tournures alambiqués n'est qu'une ruse pour embrouiller le lecteur et lui faire avalé une idée, et encore pour ça faut que le lecteur comprenne l'idée générale qui est défendu, ce qui est pas toujours le cas.... (la je parle de la philo en générale, pas de tes messages). Moi il me faut des mots simple et des images pour que je comprenne et retienne un truc (comme les enfants). Si on fait abstraction de la tournure philosophique qu'a pris le sujet, je suis globalement d'accord avec toi (notamment pour ton exemple). Cependant, on ne peut pas toujours tout redémontrer dans chaque article (surtout que maintenant le nombre de page est souvent limité). Donc pour gagner de la place, on cite d'autres articles avec lesquels on est d'accord et qui eux comporte la démonstration de ce qu'on affirme. Il faut bien partir d'une base, si on devait tout redémontré de A à Z à chaque fois ce serait ingérable. Après ce n'est que mon point de vue, et je ne prétend pas du tout être spécialiste en quoique ce soit. Citer
trenen23 Posté(e) 2 décembre 2012 Signaler Posté(e) 2 décembre 2012 Ah ben voilà, je commence à comprendre Et comme pour Lexovisaurus, ton exemple me plait bien, de même qu'effectivement, on ne peut pas tout redémontrer dans une publi. On pourrait plutôt écrire ....comme l'on montré ...........avec les références, sous réserve que les publications citées ont réellement démontré quelque chose. Ceci mis à part, attirer l'attention sur ce problème serait un des premiers pas nécessaires pour l'obtention de l'ACPS (attestation de capacité à la publication scientifique) Serge PS: progeter ne s'écrirait-il pas projeter ? Citer
Paléohédoniste Posté(e) 3 décembre 2012 Auteur Signaler Posté(e) 3 décembre 2012 Désolé pour ce détour dans la philosophie mais je me devais de répondre à l'intervention de duquesnoy :) Lexovisaurus : donnes moi la liste des mots qui t'échappent que j'essaye de te les expliquer aussi simplement que possible. Je n'emploie pas ces mots juste pour le plaisir ou pour me la péter mais 1: je n'en connais pas d'autres et 2: je suis adepte du mot exact pour chaque chose. Il ne s'agit pas de tout redémontrer, cela est effectivement physiquement et matériellement impossible mais vérifier. J'en suis arrivé à tout revérifier car je suis tombé sur beaucoup trop d'erreurs qui, par le biais des références bibliographiques, se transmettaient d'auteur en auteur telle une pandémie ou le principe du téléphone arabe. Ces erreurs sont le plus souvent le fait de chercheurs très renommés (et là, ça me troue le c. !) Quelques exemples : En Nomenclature, des émandations "illégales" au sens du Code ou des erreurs d'inadvertance : paranense devenant paranensis ou polydyctios devenant polydictyos. Des datations erronées pour certains taxons : base du Pliocène alors que des études récentes sur les forams ou le rapport 87Sr/86Sr montrent que l'âge est Miocène terminal. Des erreurs bibliographiques graves : dater de 1817 le fameux "Règne Animal...." de CUVIER alors qu'il existe plusieurs preuves qu'il a été publié au plus tard fin 1816. Des rejets de taxons "sur vieilles publications" alors que les holotypes retrouvés sont sans ambiguité. Des synonymies à l'envers : un taxon "A" étant considéré comme "junior-synonym" de "B" alors même qu'il a été décrit AVANT et qu'il n'est pas frappé par la règle des nomen oblitum (noms à oublier). Je m'excuse mais merde (Coluche) mais je ne suis qu'un simple amateur, un chercheur indépendant avec peu de moyens et d'expérience. Alors pourquoi je remarque que certains chercheurs payés par nos deniers ne se comportent que comme des gamins d'école primaire ? Même les journalistes qui ne sont pas des scientifiques vérifient mieux leurs sources et font moins de "coquilles". Le dernier taxon que j'ai révisé ce WE : et vlan, encore des conneries oui, mais corrigeables par de simples recherches superficielles à la porté de TOUS. grrrrrrr, grrrrrrrrrr et re grrrrrrr !!! Désolé mais j'aime le travail bien fait. Je sais, aujourd'hui c'est complètement démodé et has been. Citer
trenen23 Posté(e) 3 décembre 2012 Signaler Posté(e) 3 décembre 2012 Pour les journalistes et la vérification des sources, je demeurerais assez dubitatif (ne pas confondre avec éjaculateur précoce (P. Desproges 19??), il y a de tout. Pour les erreurs que l'on traîne, un mien camarade (l'ourso, si tu passes !), s'est bien amusé à resuivre toute la biblio ancienne sur les pegmatites des Monts d'Ambazac et a retrouver plusieurs erreurs (mineures certes pour moi) qui se sont transmises de référence biblio à référence biblio. Pareil à Vaulry où Alluaud s'avère le premier "découvreur" de la présence de mines d'étain antique et non . Mallard comme on l'a pratiquement tous écrit. Serge Citer
Paléohédoniste Posté(e) 3 décembre 2012 Auteur Signaler Posté(e) 3 décembre 2012 Voilà, tu donnes un bel exemple de ce qui me défrise ! Pour les journalistes, tu as sans doute raison, ce qui compte pour eux ce sont leurs épanchements intempestifs. Je fais plus dans le minimaliste et la précision dans le choix de la cible (en tout bien tout honneur)...peut-être une question d'âge :) Citer
Lexovisaurus Posté(e) 3 décembre 2012 Signaler Posté(e) 3 décembre 2012 Pour les mots que j'ai pas compris c'était "poppérien" et "héristique" (même le correcteur automatique ne connait pas ces mots! ) Et dans le premier message si je n'ai rien compris à la première partie, c'est par la tournure des phrase, l'association de plusieurs mot ensembles (que séparément je comprend pourtant), et aussi le rapport entre les philosophes Démocrite, Diogène et Platon (ce qui est normal car les deux premier je les connait que de nom sans rien savoir de leur vie et de leur oeuvre). Sinon pour ta démarche, je la comprend bien et je maintenant que je vois mieux ce que tu veux dire je suis d'accord avec toi. Citer
coraline Posté(e) 3 décembre 2012 Signaler Posté(e) 3 décembre 2012 Pour les mots que j'ai pas compris c'était "poppérien" et "héristique" (même le correcteur automatique ne connait pas ces mots! ) Et dans le premier message si je n'ai rien compris à la première partie, c'est par la tournure des phrase, l'association de plusieurs mot ensembles (que séparément je comprend pourtant), et aussi le rapport entre les philosophes Démocrite, Diogène et Platon (ce qui est normal car les deux premier je les connait que de nom sans rien savoir de leur vie et de leur oeuvre). Sinon pour ta démarche, je la comprend bien et je maintenant que je vois mieux ce que tu veux dire je suis d'accord avec toi. Poppérien, surement en rapport avec l'épistémologie de Karl Popper, et pour "héristique" (qui je crois ne prend pas de h) correspond au moyen d'avoir raison, ou d'utiliser des moyens, des stratagèmes en notre faveur afin de mener à bien une controverse... enfin je crois !!! Sinon c'est interessant ! Citer
AlainR Posté(e) 4 décembre 2012 Signaler Posté(e) 4 décembre 2012 Pour les mots que j'ai pas compris c'était "poppérien" et "héristique" (même le correcteur automatique ne connait pas ces mots! ) Et dans le premier message si je n'ai rien compris à la première partie, c'est par la tournure des phrase, l'association de plusieurs mot ensembles (que séparément je comprend pourtant), et aussi le rapport entre les philosophes Démocrite, Diogène et Platon (ce qui est normal car les deux premier je les connait que de nom sans rien savoir de leur vie et de leur oeuvre). Certains se complaisent dans les discours abscons. Même eux ne comprennent pas ce qu'ils racontent. Amusant ! On sait bien que le processus du dévoilement identitaire est l'extériorisation d'un processus dont l'énergie hante les surfaces et régénère les polarités discontinues. Citer
Kayou Posté(e) 4 décembre 2012 Signaler Posté(e) 4 décembre 2012 Wpédia Éristique Ne doit pas être confondu avec euristique. L'éristique (du grec eris, dispute, querelle, voir aussi la déesse grecque Eris et techne, "art, "procédé") est l'art de la dispute et du débat. Selon Aristote, cet art de la controverse aurait été créé par Euthydème. L'éristique joua un rôle fondamental dans la philosophie antique et dans les querelles entre les différentes écoles philosophiques. Elle fait l'objet d'un ouvrage d'Arthur Schopenhauer : L'art d'avoir toujours raison ou la Dialectique éristique. Citer
Lexovisaurus Posté(e) 4 décembre 2012 Signaler Posté(e) 4 décembre 2012 Euristique ça oui je connaissait par contre. Enfin je commence tout doucement à comprendre la première partie du premier message!!!! Merci à tous :D Sur ce, je vais profiter d'avoir vu tout plein de mots assommants pour aller dormir. :coucou: Citer
AlainR Posté(e) 5 décembre 2012 Signaler Posté(e) 5 décembre 2012 La philosophie donne des réponses incompréhensibles à des questions insolubles. Thomas Adams Citer
elasmo Posté(e) 5 décembre 2012 Signaler Posté(e) 5 décembre 2012 Indispensable pour ceux qui "lisent" et ceux qui "publient" ou le progettent ! On ne dit pas projettent ? Sinon pourquoi parler de projet de publication si tu n'as pas l'intention de re-publier ? Citer
Paléohédoniste Posté(e) 5 décembre 2012 Auteur Signaler Posté(e) 5 décembre 2012 Poppérien, surement en rapport avec l'épistémologie de Karl Popper, et pour "héristique" (qui je crois ne prend pas de h) correspond au moyen d'avoir raison, ou d'utiliser des moyens, des stratagèmes en notre faveur afin de mener à bien une controverse... enfin je crois !!! Sinon c'est interessant ! Yeap, c'est tout à fait cela ! Je croyais que les abus de "h" étaient passés avec ma jeunesse ! projettent est effectivement la baune ortaugraffe. Lexo : je vais essayer de te faire un petit topo plus explicite au plus vite. Citer
Paléohédoniste Posté(e) 5 décembre 2012 Auteur Signaler Posté(e) 5 décembre 2012 On ne dit pas projettent ? Sinon pourquoi parler de projet de publication si tu n'as pas l'intention de re-publier ? Avec 3 publications sur le grill dont la révision d'un Ordre, j'ai beau me gratter le f...., je ne vois pas où est ma "non-intention" Citer
Paléohédoniste Posté(e) 5 décembre 2012 Auteur Signaler Posté(e) 5 décembre 2012 Certains se complaisent dans les discours abscons. Même eux ne comprennent pas ce qu'ils racontent. Amusant ! On sait bien que le processus du dévoilement identitaire est l'extériorisation d'un processus dont l'énergie hante les surfaces et régénère les polarités discontinues. En définitive ce que tu exposes sont les rapports que tout un chacun entretient avec son double narcissique et donc ses relations intrinsèques projettées (avec un "j") au sein d'une communauté, voire une société (reconnaissance/rejet). A étudier d'urgence : le jugement esthétique selon Kant...et pourquoi pas Hegel. (ce n'était pas de la dialectique éristique sans "h" !) Citer
Next50MY Posté(e) 5 décembre 2012 Signaler Posté(e) 5 décembre 2012 Au sujet de l'humour structural Albien, Consulter Claire (2012). ou comment démontrer que l'on peut arroser l(es)'arroseur(s) en philo, l'humour en prime ! Référence bibliographique : Claire sp., 2012 - Néotectonique, périglaciaire ou délire géologique. Ed Geoforum. ref du 31 aout 2012 - 09h40, page 4 Kayou pourrais tu donner des précisions sur ta référence biblio concernant Edouart Debat-Ponsan en 1898 ? Citer
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