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Les gisements et les minéraux d' uranium


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Je pense que tu as raison, Méjanassèrre semble correspondre à Prévinquières.

L'indice correspondant à Prévinquières se trouve là où devrait être celui de Méjanassèrre.

Mais il y a deux indices Prévinquières (sur infoterre, je ne sais pas si c'est pareil dans l'inventaire, je ne l'ai pas), un ''Gite'' et un ''Puits-Galerie''.

 

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Je suis allé il y a déjà longtemps à la mine de Prévinquières  mais je n'avais pas trouvé grand chose, du plaquage d'autunite derrière de la galerie sur les hauteurs, mais comme je ne suis pas du coin (j'habite dans l'Hérault), ça me fait de la route pour y aller, j'avais un temps envisager d'aller à Margabal, un forumer m'avait proposé d'y aller ensemble mais je ne me suis pas décidé. Est-ce que l'on trouve encore de la tobernite ?

 

J'ai un petit échantillon (20 grammes) de pechblende de Rabejac qui date de l'ouverture des recherches si je me souviens en 1986 quand j'étais en vacances dans le coin, il me donne environ 66000CPM* soit 330µSv/h, énorme !

 

*Compteur Geiger de chez RHElectronics monté par mes soins et avec un tube SBT-11A (Alpha, Bêta et Gamma).

 

DSCF2332.JPG

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Je l'avais construit et c'est justement celui-là qui m'a servi lors de la visite de la mine de Prévinquières. Maintenant c'est facile -si peu que l'on a quelques connaissances en électronique- d'en construire avec le module Arduino, j'en ai construit plusieurs, les tubes se trouvent sur Ebay, ce sont des stocks de l'ancienne URSS.

 

Celui sur la photo a un avantage, il consomme très peu d'énergie, j'ai mis une batterie Li-ion 3.7V et 900mAh, elle tient plusieurs jours en fonctionnement continu, pratique quand on est sur le terrain. Il est précis (mais ça dépend des tubes utilisés) et sensible. Bien sur, ça ne vaut pas un compteur à détecteur à scintillation, mais c'est déjà plus délicat  à fabriquer.

 

Le boitier est fabriqué avec du circuit imprimé vierge double faces et soudé à l'étain.

DSCF2324.JPG

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réponse à JLOUI sur La Crouzille  :

La Crouzille c'est déjà le nom d'un hameau situé sur la commune de Saint Sylvestre (Hte Vienne), c'est proche de ce hameau que fut découvert le premier gisement de pechblende du Limousin qui sera exploité par la mine Henriette à partir de 1948.

A partir de là, le CEA a créé une division minière qui porte le nom de ce hameau où se site la mine Henriette appelé parfois (à tort) mine de la Crouzille en raison de sa situation gégraphique. La division minière de la Crouzille comprend donc toute une série de sièges miniers souterrains et à ciel ouvert dont le premier fut Henriette mais pas le plus important. Pour ne citer que les plus importants par leur production, il y a eu Margnac (qui comprends plusieurs puits et mines à ciel ouvert, Fanay, le Fraysse, Bellezanne, le Brugeaud, ainsi que toute une série de petites mines satellites dispersées dans un rayon d'une vingtaine de km amis aucune ne s'appelle mine de la Crouzille. 

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Voilà la bibliographie que je propose.

Si vous avez des références à ajouter, n'hésitez pas !

 

En langue française:

BAVOUX (B.) et GUIOLLARD (P.-C.), L'uranium de la Crouzille (Haute-Vienne), Guiollard, Pau-Bizanos, 1998, 198 p.

BAVOUX (B.) et GUIOLLARD (P.-C.), L'uranium du Lodévois (Hérault), Guiollard, Pau-Bizanos, 1999, 67 p.

CHAPOT (G.), COUPRIE (R.), DUMAS (J.), LEBLANC (P.) et KEROUANTON (J.-L.), L'uranium vendéen. 40 ans de recherches et d'exploitations minières dans le Massif armoricain, Inventaire général, coll. Cahiers du patrimoine, Nantes, n° 45, 1996, 217 p.

DELIENS (M.), PIRET (P.) et COMBLAIN (G.), Les Minéraux Secondaires d'Uranium du Zaïre, Musée Royal de l'Afrique Centrale, Tervuren, 1981, 113 p.

DELIENS (M.), PIRET (P.) et COMBLAIN (G.), Les Minéraux Secondaires d'Uranium du Zaïre (Complément 1), Musée Royal de l'Afrique Centrale, Tervuren, 1981, 37 p.

DELIENS (M.), PIRET (P.) et Van Der MEERSCHE (E.), Les Minéraux Secondaires d'Uranium du Zaïre (Complément 2), Musée Royal de l'Afrique Centrale, Tervuren, 1981, 39 p.

GUIOLLARD (P.-C.) et MILVILLE (G.), L'uranium de deux ''Privés''. De Jouac (Haute-Vienne) à Bertholène (Aveyron) en passant par Saint-Pierre (Cantal), Guiollard, Biarritz, 2003, 141 p.

GUIOLLARD (P.-C.), L'uranium du Morvan et du Forez, Guiollard, Biarritz, 2002, 95 p.

LE RÈGNE MINÉRAL, La radioactivité et les minéraux uranifères français, Éditions du Piat, Monistrol-sur-Loire, 1998, Hors série n° IV, 62 p.

LEBRUN (P.), CESBRON (F.), Le CLÉAC'H (J.-M.) et LEBOCEY (J.), Minéraux uranifères. Uraninite et minéraux d'uranium dérivés ou associés, Éditions du Piat, coll. Minéraux et Fossiles, Hors série n° 28, Décembre 2009, 176 p.

PARADE (J.) et al., Le MAC (Magasin Atelier Central), établissement de Limoges "Des techniques et des Hommes", Guiollard, Biarritz, 2005, 102 p.

PAUCARD (A.), La mine et les mineurs de l'uranium français, Éditions T. Parquet, Brive, 3 vol., 1992-1996 102-351-431 p.

ROUBAULT (M.), Géologie de l’uranium, Masson et Cie, Paris, 1958, 462 p.

ROUBAULT (M.) (dir.), Les Minerais Uranifères Français Et Leurs Gisements, INSTN & PUF, Paris, 4 vol., 1960-1962-1964-1965, 322-419-291-354 p.

 

En langue anglaise: (Surement des tonnes de références à ajouter ici...)

LAUF (R. J.), Introduction to radioactive minerals, Schiffer Publishing Ltd., Atglen, 2008, 144 p.

LAUF (R. J.), Mineralogy of Uranium and Thorium, Schiffer Publishing Ltd., Atglen, 2016, 352 p.


 

Edit: MAJ, intégration de la référence donnée par Clerguemort

Edit2: intégration de nouvelles références.


 

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Il y a 1 heure, trenen23 a dit :

Je crois qu'Henriette possédait surtout pechblende et gummites, l'autunite est souvent plus loin de la pechblende.

 

Serge

je cite Jean et Jacqueline SARCIA (les gisements d'Uranium du Nord Limousin - 1962) sur les minéralisations du filon Henriette : " La pechblende saine rempli la fracture à partie égale avec un complexe pyrite-marcassite et melnicovite ... Les autres sulfures galène, chalcopyrite et blende n'apparaissent qu'au microscope.... Les filons de ce type ne sont pas hématisés, ni dans leur corps ni aux épontes. Vers la surface la minéralisation s'oxyde sans grande dispersion.... la minéralisation supergène comporte peu d'espèces par suite de la rareté des ions métalliques autres que l'uranium  dans le filon vierge. Ce sont essentiellement des gummites terreuses, quelques rares espèces plombifères -curite et renardite - et de l'uranotile alpha accompagnés de phosphates de la famille autunite-uranocircite. La chalcolite est rare.

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Vous avez ici :

 

https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwjd9Zj04ITNAhWHdCwKHbKzDMQQFgggMAA&url=http%3A%2F%2Fwww.asn.fr%2FMedia%2FFiles%2F00-PNGMDR%2FRecensement-des-verses-a-steriles-AREVA-partie-1&usg=AFQjCNGL9vmuMJ15CaTyZS8onaMOSFW2Xw&sig2=qL11oeu7BjApK-WU3UjApw

et ici :

https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=2&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwjd9Zj04ITNAhWHdCwKHbKzDMQQFgglMAE&url=http%3A%2F%2Fwww.asn.fr%2FMedia%2FFiles%2F00-PNGMDR%2FRecensement-des-verses-a-steriles-AREVA-partie-2&usg=AFQjCNFpzUEaraD1loFd1bQ0--vq8CWRUg&sig2=95abW6tOb1bRg8jjJ7ydPw

 

Le recensement des verses à stériles des mines d'uranium exploitées par la Cogema et Areva.

 

Ça donne les sites exacts de ces mines avec la délimitation des surfaces actuelles sur Google Earth et cartes IGN au 1/25000 et le taux de radiations.

Mais ces mines sont maintenant très protégées et quasiment inaccessibles. Les stériles étant enterrés sous une bonne couche de terre pour que les radiations soient le plus faibles possible, pourtant ce sont dans ces stériles que l'on peut encore trouver quelques échantillons intéressants.

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