Stockage profond des déchets radioactifs

[Théophraste]

Le BRGM et l’Andra renouvellent leur accord de partenariatdans le domaine du stockage profond des déchetsradioactifs pour la période 2011-2014

Lundi 20 décembre 2010, Marie-Claude DUPUIS, Directrice Générale de l’Andra, et Jean-FrançoisROCCHI, Président-Directeur général du BRGM, ont signé, pour une période de quatre ans (2011-2014), un nouvel accord de partenariat prolongeant la collaboration fructueuse entre les deuxétablissements publics dans différents domaines scientifiques. Les deux établissements sont enparticulier désireux de faire progresser les connaissances dans des disciplines qui contribuent à une meilleure compréhension du fonctionnement des milieux poreux et plus spécifiquement des matériauxargileux.Soucieux de maintenir une activité scientifique de haut niveau au sein d’un partenariat initié il y adouze ans, les deux établissements ont souhaité actualiser les thématiques de recherche communeset les structurer au travers de quatre axes qui mobilisent des compétences en géosciences, nouvellestechnologies de l’information et technologies de l’observation et de la surveillance.

Ces quatre axes sont :

- la compréhension des processus qui contrôlent la chimie de l’eau et des éléments dissousdans les formations argileuses ;

- l’évolution des processus physico-chimiques dans le temps et dans l’espace ;

- le développement d’outils de calcul haute performance ;

- le développement d’outils et de méthodologies pour la surveillance à long terme du milieu naturel à proximité d’un stockage souterrain.

[Augustin]

J'ai eu l'occasion de travailler sur le site de Bure près de Nancy, 2 puits à 490 et 540m de profondeur (avec de nombreuses galeries). Beaucoup d'expérimentations effectuées au fond, un job assez intéressant! L'autre site, géré par l'IRSN et situé à Tournemire (12) dans un ancien tunnel ferroviaire (mais situé dans les mêmes formations géologiques qu'à Bure), sert de galerie de "validation" des expérimentations menées sur Bure. Le problème majeur porte sur la question de budget, quasi inexistant dans le cadre de ce second site...

Le contexte géologique est donc le même, la différence réside simplement dans le fait que dans l'Est on se situe à 500m de profondeur, alors qu'à Tournemire il n'y a que 250m de terrain au dessus de la galerie. L'étude porte notamment sur le comportement mécanique des roches (suite au creusement) mais aussi beaucoup d'essai de diffusion pour voir l'impact que pourrait avoir un tel stockage dans ces argilites. L'aspect hydrogéologique est aussi capital dans ce type de projet.

Si je retrouve quelques infos plus complètes, je reviendrai en parler par ici. A savoir que plusieurs sites avaient été envisagés au départ, dont un dans la Vienne/Haute-Vienne (cristallin) mais les résultats n'avaient pas encouragés à continuer dans ces formations. Un relevé géologique de ces argilites avaient montré de nombreuses zones géographiques potentiellement intéressantes, dont la région de La Châtre / St Amand montrond (bordure du Bassin Parisien)... enfin juste à côté de chez moi en quelque sorte!

Qu'ils restent ans l'Est, au pays où ils font pousser des cailloux!

[CAILLOUTEUX]

Et pourquoi pas

Les déposer dans une zone de subduction, au fond de l'océan

Biens emballés, avec un manteau d'eau bien épais

Ce serait un beau retour aux origines

Bon faudrait pas qu'un volcan les recraches

J'ai dit une connerie ?

[Elcomcombre]

D'accord avec caillouteux, mais faut faire gaffe de ne pas mettre des trucs explosifs ou capable de réaction explosif et de créer un tremblement de terre!

[fossileum]

et pourquoi pas dans le jardin de l’Élysée?Où dans la cave des dirigeants d'Areva?Mais non c'est plus simple en Meuse après tout en cas de problème ça ne dérange que les bouseux du coin.Je précise que je fais parti de ceux ci.N'oublions pas que nous empruntons la terre de nos ancêtre à nos enfants!

Mais bon avec de la chance d'ici à ce que ça contamine le secteur nous serons mort et enterré ,après tous , après nous le déluge!