Aller au contenu
Géoforum est un forum de géologie, minéralogie, paléontologie, volcanologie et, plus généralement, un site dédié aux Sciences de la Terre et au patrimoine géologique. Les discussions s'organisent dans des espaces spécifiques, il existe un forum géologie, un forum minéraux, un forum fossiles, un forum volcans, etc. Une galerie de photos de minéraux ou de roches, de photos de fossiles, ou encore de sites géologiques ou de volcans permet de partager des albums. Il est possible de publier des offres d'emploi de géologue, ou des demandes d'emploi ou stage de géologues. Venez poser vos questions, partager vos connaissances, vivre votre passion !

Quelques-uns des principaux sujets de Géoforum

Vente et achat de minéraux français et cristaux du monde sur Internet.
▲  Vente et achat de minéraux français et cristaux du monde sur Internet  ▲

Messages recommandés

Posté(e)

merci mille fois nannou, c'est vrai que c'est passionnant, c'est comme quant on est sur le terrain et qu'on clive une roche : on ne sait pas encore ce qu'on va trouver...

allez, quelques photos (il neige tant qu'il est impossible de sortir, alors je m'amuse a faire des photos...)

post-5235-0-82530900-1293207581_thumb.jp

post-5235-0-09772600-1293209108_thumb.jp

post-5235-0-15807800-1293209161_thumb.jp

post-5235-0-75012400-1293209202_thumb.jp

  • 3 semaines après...
Posté(e)

1) Moi, j'éviterais de mettre des produits chimiques sur du copal... avec le temps, cela reste "instable", compte tenu de la nature du copal, et cela peut dénaturer la transparence et la brillance sur quelques mois... ( j'ai eu des pbs de craquellement en surface avec de la laque sur bloc de Madagascar) ... les solvants sont à mon avis à déconseiller...

2) Un truc qui fonctionne bien et qui semble "stable" et non agressif chimiquement: L'huile tout simplement... cela amplifie fortement la transparence de l'échantillon.

a+

Ou là là !

ATTENTION.

Ok pour le 1.

MAIS LE POINT 2 EST A PROSCRIRE ABSOLUMENT !!!!!!!!

L’huile va pénétrer le matériel !

Et, par phénomène de différence de dilatation des matières l’échantillon va exploser, de briser en éclats.

L’huile C’EST VRAIMENT LE TRUX PIRE QUE TOUT !!!!!!!!!!!

Pour améliorer une surface pour une photographie de bonne qualité, apposer de l’eau sucrée sur la surface. Le sucre est neutre. L’eau sucrée a le même indice de réfraction que la résine. Et si les surfaces sont craquelées ajouter de la poudre fine d’ambre dans l’eau sucrée, le résultat est extraordinaire.

L’huile 100 % CONTRE !!!!!!!!!!!!!!!!!!

En procédant ainsi avec l’eau sucrée, voici le résultat :

http://laboutiqueajacques.com/Les_plus_belles_images_AMBRE.html

Posté(e)

De l'eau sucrée oui mais dans quelle proportion ?

« quelle proportion ? »

Deux trois gouttes sur l’inclusion à photographier.

Et, quelle concentration ?

La concentration de sucre, on s’en moque !

La variation de concentration en sucre va jouer pour un centième de variation optique des lumières incidentes pour la qualité de l’image.

Mais, l’huile c’est 504.430 % certain de fusiller l’échantillon d’ambre !!!!

L’eau doit être sucrée, fort sucrée.

Et la concentration utile dépend de la qualité de fossilisation de la gemme.

Posté(e)

Bonjour Fossilia et bonne année 2011

Super les photos :super:

Pour ce qui est de la détermination, voici un premier état des lieu

1 - moutique ==>Diptère

2 - Sauterelle ==>Orthoptère

3 - mouche==>Diptère

4 - ??

5 - guépe ==>Hyménoptères

@+

Posté(e)

Selon moi, mais les images sont assez problématiques :

1) un moustique nématocère de la famille des SCIARIDAE.

Biologiquement et morphologiquement identiques aux MYCETOPHILIDAE, ces moustiques de l’ambre sont mentionnés la première fois par M. Burmeister dès 1832 ! Pour reconnaître ces insectes : petite tête, arrondie, les yeux sont modérément en avant.

2) peut-être un Gryllidae.

4) un taupin, coléoptère Elateridae.

Posté(e)

Dans ma rédaction j’ai dis peut-être. Un doute persiste.

Pour moi, avec la spécificité problématique des morphologies surtout hybrides de spécimens sub-fossile du copal (dont on ne sait d’ailleurs pas facilement s’ils sont adultes ou juvénile dans la résine ce qui est fondamental pour apprécier les caractères taxonomiques appliqués aux adultes), et avec, l’image assez moyenne proposée pour l’identification je pense, je pensais à un Stenopelmatoidea (un organe de ponte assez court). Voir lr schéma ci-dessous, au niveau de la flèche. Mais, je peux évidemment me tromper.

Les Gryllidae au moins pour l’ambre balte sont assez rares. Les sauterelles baltes (au sens générique du terme) ne sont représentées que par les Ensifères. La famille primitive des Gryllacridae est formée par 3 espèces décrites par Chopard en 1936. Elles n’ont jamais du striduler puisqu’elles n’avaient pas d’organe auditif. Parmi les criquets (Gryllidae) seulement 5 genres ont été décrits, chacun à une espèce, (Germar et Berendt 1856, Chopard 1936).

Remarque : Certains spécimen baltes (Gryllidae) qui ressemblent un peu à l’inclusion exposée ici ne ressemblent cependant pas au GRILLONS comme nous l’entendons communément.

Les Orthoptères constituent le plus important des ordres d’Orthoptéroïdes, puisqu’il groupe plus de 16 000 espèces réparties en deux sous-ordres : les Ensifères et les Cælifères. Les Ensifères sont caractérisés par leurs longues antennes, par le long oviscapte des femelles et par leur tympan auditif placé sur le tibia de la première paire de pattes. Ce sont les grandes sauterelles de la famille des Tettigonides (Tettigonia viridissima , Decticus verrucivorus , etc.), les porte-selles ou Ephippiger (famille des Éphippigeridés) caractérisés par leurs ailes très courtes ou absentes et leurs élytres réduits à la partie stridulante. Les grillons comprennent de nombreuses espèces, parmi lesquelles les plus communes sont le gros grillon champêtre (Gryllus campestris ), le grillon domestique (Acheta domestica ) ou le grillon des forêts (Nemobius sylvestris ). Enfin la famille des Gryllotalpides groupe les courtilières (ou taupes-grillons). Les Cælifères, ou Acridiens, ou criquets, sont caractérisés par leurs antennes courtes, par l’oviscapte court de la femelle et par le tympan auditif situé sur le premier segment abdominal. Ce sous-ordre comprend plus de 10 000 espèces parmi lesquelles les criquets migrateurs sont les plus connus, mais il existe d’innombrables espèces appartenant à de nombreux genres (Stenobothrus , Œdipoda , Mecostethus , etc.).

L’insecte peut-il être alors rattaché à la famille primitive des Gryllacridae ?

Je reste attentif aux précisions que l’on donnera à l’insecte.

sauterelle.jpg

Posté(e)

merci ambre jaune, mais je crois alors que j'ai fait une betise : j'ai déjà mis de l'huile sur certains échantillons, y a t il un truc pour l'enlever ?

merci à tous pour vos déterminations, pour l'espece de sauterelle, il faudrait que je fasse de meilleures photos...

Posté(e)

Réponse à Fossilia :

merci ambre jaune, mais je crois alors que j'ai fais une betise : j'ai déjà mis de l'huile sur certains échantillons, y a t il un truc pour l'enlever ?

Bonjour, les premiers à avoir imaginé l’huile comme matière profitable à l’examen de l’ambre sont les conservateurs du célèbre Musée d’Histoire Naturelle de New York !

Sans faire de longues digressions, l’opération aura été un désastre !

Le sujet a été abordé au premier congrès Mondial de l’ambre.

Et, dans mes publications j’insiste sur l’Écueil d’utiliser l’huile !!!!!!!!!!!

Certains utilisent le vernis ! Sous prétextes que l’ambre est, comme le bois, d’origine végétale... C’est encore plus dramatique !

Que faire ?

Bon, surtout si l’ambre est operculé (c'est-à-dire brisées en surface au niveau des inclusions qui forment alors des cavités) l’huile aura pénétré en profondeur dans la gemme. Si les inclusions sont chargées de matières organiques (des petites portions de bois, par exemple) il faut les enlever mécaniquement avec l’utilisation d’une brosse à dent dont les poils doivent évidement être le plus rigide possible.

Ensuite. Une fois la chose faite. Le savon (une base, PH sup. à 7) digère l’huile.

Si la pièce m’appartenait je placerais l’échantillon dans de l’eau très savonneuse dans un récipient posé près d’un radiateur (allumé en permanence). La légère chaleur va dilater l’huile, qui en contact avec le savon sera partiellement digéré.

Une fois par jour, je retirerais l’échantillon de l’eau savonneuse en l’essuyant avec un papier ménager absorbant. Et, l’opération faite (je suis sérieux) je nettoierais les surfaces avec la langue. Surtout ne pas rincer à l’eau claire car l’eau va remettre une épaisseur de surface.

La salive joue le même rôle que le savon, elle digère la matière huileuse. Et, les papilles, en faisant sussions (en aspirant fortement) peuvent entrer (rentrer !) dans les micro trous des surfaces précédemment décapés au moyen de la brosse à dent.

Les deux seules matières que j’utilise pour nettoyer mes ambres les plus précieux sont le dentifrice, la salive.

Et pour résoudre, en dernier recours, les distorsions optiques des surfaces, j’emploie de l’eau sucrée à la prise d’image, l’eau sucrée que j’enlève immédiatement après le cliché.

Les procédés peuvent apparaître (absurdes) et bricolés, mais, depuis longtemps j’ai confronté mes opérations (peu onéreuses) et surtout complètement neutre aux matières à des pratiques sophistiquées de quelques spécialistes qui réalisent des images surtout perfectibles !

Voici une inclusion nettoyée au dentifrice, nettoyée à la langue et photographiée sous trois gouttes d’eau sucrée !

http://ambre.jaune.free.fr/visu_images_fond_noir.html?La_photographie_ART_Eric_G.jpg

Je suis EXTREMEMENT pointilleux pour la qualité de préparation des échantillons lors d’une prise d’image, et, je lis alors avec intérêt les commentaires de certains.

Posté(e)

Ambre Jaune exagère ton ambre ne va pas exploser dans tes mains. Je pense que pour obtenir l'effet décrit il faut plonger ton ambre dans un bac d'huile et le laisser s'impréigner quelque jours...

Sinon je suis étoner par le manque d'auréoles de méthane autour de nos spécimènes fossiles. Sont ils réelement fossiles ou c'est du toc ?

Dentifrice PH entre 6 et 7... pourquoi ?

Posté(e)

1) Ambre Jaune exagère ton ambre ne va pas exploser dans tes mains. 2) Je pense que pour obtenir l'effet décrit il faut plonger ton ambre dans un bac d'huile et le laisser s'impréigner quelque jours...

Sinon je suis étoner par 3) le manque d'auréoles de méthane autour de nos spécimènes fossiles. Sont ils réelement fossiles ou c'est du toc ?

Dentifrice PH entre 6 et 7... pourquoi ?

Exploser, c’est effectivement une « petite » exagération.

Cela sous entende une déflagration.

Mais l’huile est insidieuse !!!! Elle va pénétrer le polymère poreux, s’immiscer entre les recouvrements consécutifs de la résine.

Et lorsque le collectionneur souhaitera examiner son échantillon insectifère (surtout celui avec la grosse inclusion) au binoculaire, avec la petite lampe halogène à coté, ... Surprise !

L’échantillon va éclater !

Au mieux ce sera les coulures restées entières qui se seront séparées, au pire, l’échantillon dans un petit clic audible va éclater (tonner, cliqueter) et apparaître avec de nombreuses brisures internes. L’huile aura brisé l’échantillon par dilatation différentielle des matières.

Le phénomène se réalise à température ambiante (réaction longue) ou, plus rapidement sous une lampe halogène calorifique.

1) Alors qui exagère ?

L’exagération serait de dire que l’huile n’est pas grave.

2) Complément de réponse : plonger ton ambre dans un bac d'huile

NON !

Et, c'est là le pb !

L'huile même posée légèrement en surface entre en profondeur dans la gemme !

3) Et, dans ma réponse sérieuse je ne comprends pas la rédaction :

"manque d'auréoles de méthane"

Du méthane ????

Posté(e)

je n'ai pas réussi à le déterminer avec la bande PH. :grand sourire:

Il faut dissoudre le dentifrice dans solution neutre.

2) Complément de réponse : plonger ton ambre dans un bac d'huile

NON !

Et, c'est là le pb !

L'huile même posée légèrement en surface entre en profondeur dans la gemme !

3) Et, dans ma réponse sérieuse je ne comprends pas la rédaction :

"manque d'auréoles de méthane"

Du méthane ????

2) J'en apprends tout les jours. Donc une seul goûte d'huile suffit pour faire des fractures à l'intérieur de la gemme ?

3) J'ai lu sur ce même forum que une auréole de méthane (CH4) était une preuve non réproductible de l'authenticité du fossile :

Posté(e)

3) J'ai lu sur ce même forum que une auréole de méthane (CH4) était une preuve non réproductible de l'authenticité du fossile :

Une auréole de méthane (CH4)

J'ai lu et relu le sujet !!!!

Qui a mentionné le méthane ?

J'ai loupé un passage ????

M E T H A N E : le gaz CH4 ?

Posté(e)

Oui, entendu.

Attention, ne mettez pas l’échantillon dans l’eau trop chaude !

L’huile imprégnée peut encore briser l’échantillon même plongé dans l’eau savonneuse.

Et, je compose une rédaction TRES complète pour répondre à la notion de « méthane » qui, évoquée, soulève beaucoup de remarques et de questions.

A suivre donc le réponse au méthane !

Sinon, voici une rédaction que je vais intégrer dans mon site, car le sujet me semble intéressant.

Bonjour Monsieur. Je crois avoir fais une bêtise. Pour améliorer la surface d’ambres bruts insectifères que je souhaitais nettoyer, j’ai appliqué -sur les conseils avisés d’un collectionneur contacté sur un forum de géologie- de l’huile sur plusieurs échantillons... Et, je viens de lire (bouleversée) que vous expliquiez que le procédé est SURTOUT dommageable pour les matières! L’huile pénétrant la gemme (poreuse) risque de briser le fossile par la dilatation différentielle des matières. Bigre! Mon idée était de protéger l’ambre et non de l’endommager. Y a t-il un moyen pour enlever l’huile -sans risque- de mes fossiles? Fossilia.

Bonjour. Dans la bibliographie spécialisée, les premiers à avoir commenté l’utilisation de l’huile comme matière profitable à l’examen photographique des inclusions de l’ambre sont les conservateurs du Musée d’Histoire Naturelle de New York! Sans faire de longues digressions, l’opération aura été un désastre! Les échantillons sont perdus, ils se sont brisés. Le sujet a été abordé au premier congrès Mondial de l’ambre en octobre 1998. Et, dans mes publications j’insiste VRAIMENT sur l’Écueil d’utiliser l’huile!!!!!!!!!!! Certains utilisent le vernis sous prétextes que l’ambre est, comme le bois, d’origine végétale... C’est encore plus dramatique! Alors, que faire? Bon, surtout si l’ambre est operculé (c'est-à-dire brisées en surface au niveau des inclusions qui forment alors des cavités), l’huile aura pénétré en profondeur la gemme. Si les inclusions operculées sont encore chargées de matières organiques (des petites portions de bois, par exemple) il faut surtout les enlever mécaniquement avec l’utilisation d’une brosse à dent dont les poils doivent évidement être les plus rigides possibles. Ensuite, une fois la chose faite... Je vous conseille de placer l’échantillon (ambre ou copal) dans de l’eau fort savonneuse, car, le savon "digère" l’huile, c’est d’ailleurs un argument commercial pour la publicités TV qui vante les qualités des liquides vaisselles. Mettez la pièce fossile dans l’eau très savonneuse à coté d’un radiateur (allumé en permanence). La légère chaleur va dilater l’huile, qui en contact avec le savon sera partiellement digérée. Une fois par jour, je retirerais l’échantillon de l’eau savonneuse en l’essuyant avec un papier ménager absorbant. Et, l’opération faite (je suis sérieux) je nettoierais les surfaces avec la langue. Surtout ne pas rincer à l’eau claire car l’eau va remettre une consistance de surface. La salive joue le même rôle que le savon, elle digère la matière huileuse. Et, les papilles, en faisant sussions (en aspirant fortement) peuvent entrer (rentrer!) dans les micro trous des surfaces précédemment décapés au moyen de la brosse à dent. Les deux seules matières que j’utilise pour nettoyer mes ambres les plus précieux sont le dentifrice, la salive. Et pour résoudre, en dernier recours, les distorsions optiques des surfaces néfastes à la prise d’image, j’emploie de l’eau sucrée immédiatement enlevée après le cliché. Les procédés peuvent apparaître (absurdes) et/ou bricolés, mais, depuis longtemps j’ai confronté mes opérations (peu onéreuses) et surtout complètement neutre aux matières à des pratiques sophistiquées de quelques spécialistes qui réalisent des images surtout perfectibles! Je suis EXTREMEMENT pointilleux pour la qualité de préparation des échantillons lors d’une prise d’image et la conservation des échantillons dans le temps. Et, je reste attentif au devenir de vos échantillons. Bien à vous.

Posté(e)

Voici un visuel qui présente les trous et les rayures de surface qui peuvent être gommées par l’astuce très accessible de l’eau sucrée.

Inutile de recourir à l’huile lorsque des solutions alternatives non risquées existent !

Photo_avec_eau.jpg

Certains ambres ont une surface perturbée au travers de laquelle il est difficile d’avoir une image nette de l’inclusion. Tout comme le pêcheur observant le fond sableux de l’océan au travers d’un masque posé au surplomb des vagues, il est possible d’utiliser une technique similaire pour éviter les contraintes de surface. On dépose une goutte d’eau sucrée sur l’échantillon par dessus laquelle on regarde l'inclusion !

CQFD (ce qu'il fallait démontrer) : l’huile NON ! Jamais !!!!

Rejoindre le sujet et participer

Pour poster un message, il faut créer un compte membre. Si vous avez un compte membre, connectez-vous maintenant pour publier dans ce sujet.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Restaurer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

×
×
  • Créer...