AlainR Posté(e) 27 avril 2012 Auteur Signaler Posté(e) 27 avril 2012 Beau boulot Next Je vais me pencher dessus ce long w.e.
Next50MY Posté(e) 31 mai 2012 Signaler Posté(e) 31 mai 2012 Ha, si un mécène voulait bien financer une étude sérieuse du secteur (surtout le resto...) je me porterais bien volontaire pour donner un coup de main ! esor a trouvé une mécène sur un yatch http://www.geoforum...._20#entry391024 On va travailler dur pour obtenir une ou plusieurs cuvées spéciales dédiées à accompagner la paella géante : http://www.geoforum...._20#entry391804
Next50MY Posté(e) 31 mai 2012 Signaler Posté(e) 31 mai 2012 pour resumer: il peut y avoir differents niveaux, certains etant peut-etre plus elevés que des niveaux plus recents, selon le principe des terrasses emboitées dont nous avons parlés au tout debut. Des ages peuvent etre differents entre ces niveaux: les seules infos et indices a dispositions: - des foraminiferes dont les genres sont plutot du Neogene, sans autre precision - un foraminifere benthique dont personne ne se souvient qui a une occurence Crétacée à Paleocene-Eoc inf - des radioles d'oursin qui seraient Zancleennes Des nouvelles de Makrock ? ou bien il s'est perdu en croisière dans le Golfe de Guinée ?
Next50MY Posté(e) 31 mai 2012 Signaler Posté(e) 31 mai 2012 et alors cette faille inspirerait-elle un structuraliste de passage ?
Next50MY Posté(e) 31 mai 2012 Signaler Posté(e) 31 mai 2012 enfin dernière question que je remets au dessus de la pile: qui a des avis sur Nummulites variolarius : bon / pas bon ? http://www.geoforum....260#entry329150 une info au sujet de Elphidium crispum macellum http://www.foraminifera.eu/elphidium.php qui est signalé dès l'Oligocène par B. Cahuzac et A. Poignant http://test01.rcaap..../1/CT_12_07.pdf Voila qui réduit potentiellement l'écart de temps avec Nummulites qui eux perdurent jusqu'à l'Oligocène. Notre Elphidium n'est donc pas un bon fossile stratigraphique.
Next50MY Posté(e) 12 juin 2012 Signaler Posté(e) 12 juin 2012 pour relancer un peu le coté sedimento du sujet, un extrait d'une image qu'avait posté notre ami Alain des avis sur la nature minéralogique des grains ? et leur provenance, granite alcalin, gneiss, autre ? Alain as-tu de nouvelles vues avec des grains de natures variées ?
AD.S Posté(e) 14 juin 2012 Signaler Posté(e) 14 juin 2012 Bonjour à tous, je n'ai que survoller ce sujet passionnant ...donc dsl si les infos que je vais mettre sont des "doublons" Concernant les éolianites il y a ce lien qui me semble interessant : http://archive-ouverte.unige.ch/vital/access/services/Download/unige:708/THESIS dont voici un extrait du résumé de la these (en esperant que celà puisse aider) : "Les dépôts éoliens carbonatés sont fréquents le long des côtes arides et semi-arides actuelles exposées aux vents marins et adjacentes à une plate-forme carbonatée active. Ces dunes, souvent de très grandes dimensions, forment indéniablement une partie importante des accumulations sédimentaires présentes à la surface de la Terre. Des dunes carbonatées lithifiées, désignées sous le terme d’éolianites, ont été reconnues lors d’études de terrasses marines quaternaires, mais très peu ont été identifiées dans l’enregistrement fossile pré-quaternaire. Cette répartition stratigraphique particulière a amené certains auteurs à émettre l’hypothèse que ce type de dépôts ne peut se former qu’à des périodes glaciaires caractérisées par des changements eustatiques de grande amplitude. D’autres (e.g. McKee et Ward, 1983) suggèrent que la rareté des éolianites dans l’enregistrement pré-quaternaire pourrait être due aux grandes difficultés de reconnaissance de ces dépôts éoliens facilement interprétés comme dépôts de plateforme. Il est effectivement très difficile de différencier des carbonates des zones de shoreface et de foreshore des sables carbonatés dunaires de la zone de backshore sur la base d’études pétrographiques. La reconnaissance des éolianites est pourtant d’un intérêt primordial : ces accumulations représentent des indicateurs paléoclimatiques et paléolatitudinaux, et de tels corps peuvent former d’importants réservoirs aquifères et à hydrocarbures. Ce travail de doctorat se propose donc de rechercher et trouver des critères de reconnaissance des dépôts éoliens carbonatés, au travers de différentes méthodes d’investigation appliquées aux sables carbonatés actuels et lithifiés." " Cette analyse montre qu’il est possible de distinguer les environnements de dépôts littoraux en se basant sur la distribution des orientations des particules: les orientations des particules des sédiments subtidaux suivent une distribution unimodale (avec la plus grande majorité des particules en position horizontale), alors que les dépôts dunaires sont caractérisés par une distribution bimodale des orientations de particules (avec une importante quantité de particules se trouvant en position verticale). Ces observations ont été confirmées grâce à l’étude d’éolianites pléistocènes de Tunisie, de Sardaigne et d’Australie. La verticalisation des grains dans les dépôts éoliens carbonatés semble donc être un critère déterminant permettant la différentiation entre des dépôts éoliens et des sédiments subtidaux."
AlainR Posté(e) 14 juin 2012 Auteur Signaler Posté(e) 14 juin 2012 Salut AD.S et merci pour ta participation à ce post...initié depuis plus de 1 an 1/2. C'est un article intéressant que nous apporte. Est-on bien en présence d'éolianites ?? Rien n'est moins sûr, aux dernières nouvelles on est plus sur des anciens dépôts littoraux ou deltaïques, ce qui parait plus vraisemblable. Les espagnols s'y sont cassés le nez avant nous. Il faudrait d'abord savoir comment les dépôts qui sont dans la partie la plus haute (+100m par rapport à la mer) sont arrivés là...et ce ne sont pas les dépôts les moins importants... Si tu as du courage tu relis les 55 pages + les commentaires sur le forum espagnol à ce sujet. :coucou:
Kayou Posté(e) 14 juin 2012 Signaler Posté(e) 14 juin 2012 Juste pour dire (vite fait en passant) que le sable peut grimper assez haut, pourvu qu'il y ait assez de vent ! Ici Perù... et il y a beaucoup mieux, bien plus dans l'intérieur des terres, à des km de la côte, et dans des couloirs particuliers.
AlainR Posté(e) 14 juin 2012 Auteur Signaler Posté(e) 14 juin 2012 Ok Claude, je rajoute l'hypothèse... Dans notre cas et dans le contexte actuel il est impossible que le vent apporte du sable jusqu'au dernier site des affleurements, il y a des collines qui font barrage et même par forte tramontane il ne s'engouffre pas trop violament dans cette vallée, il est freiné par des obstacles naturels. Par contre, le contexte et le climat n'ont peut-être pas toujours été pareil, rien ne dis qu'à une époque lointaine le vent ne soufflait pas fort dans cette vallée ? On a quand même beaucoup d'inconnus dans notre problème
Kayou Posté(e) 14 juin 2012 Signaler Posté(e) 14 juin 2012 Avec les oscillations du niveau marin au cours du quaternaire ...plus la tectonique... Un lien pour la géologie en méditerranée: http://www.alpesgeo2...editerranee.htm
AD.S Posté(e) 14 juin 2012 Signaler Posté(e) 14 juin 2012 les elements qui m'amene a etre en accord avec les indications de la carte geol : 1- vallee creee par erosion torentielle 2- dans un massif schisteux supposition de ma part : A-le ruissellement de ce torrent lorsqu'il est en eau se developpe sous la forme de chenaux en tresses (fluctuation des meandres, et de la localisation et forme des depots ce qui peut expliquer ces types de formation : photo1 pour comparaison (dsl j'ai pas trouvé mieux comme photo, mais le principe est la) photo 2 - A et B B-La vegetation actuelle arborescente n'etait pas encore en place donc grosse probabilité d'avoir des vents plus forts (la vegetation jouant actuellement un role de brise vent) et accentués et modifier par les variations rapide du relief crees par le torrent. Lors des periodes ou le torrent est a sec - le vent porte les elements les plus fin des depots sedimentaires et les plaquent le long des parois schisteuses abrutes et forme des dunes c'est ce qui explique a mon avis ce que l'on voit ici : photo 3 C- une premiere " dalle" de sedimentation c'est creee grace au ruisellement. Mais ce chenal a ete "abandonne" pour un autre -l'eau s'ecoule tjrs au plus simple - les premiers depot ayant cree du relief l' eau va contourner et creer un nouveau chenal qui va creser le pied aval de la premiere zone sedimentaire. Puis rebelotte, le second chenal joue sont role et depose une masse de sediment - chenal qui finira aussi par etre abandonne Et ainsi de suite. D - Jusqu'a ce qu'un "troisieme"chenal se cree au pied des depots du premier chenal et dont les depots avaient ete eux meme fortement erode au pied aval. Comme ce troisieme chenal erode la partie "fine" inferieur du depot et que la masse sedimentaire plus lourde se trouve au bord d'un mini gouffre (de l'erosion aval) alors c'est le principe de "la planche de bois placé sur des billes" -l'ensemble de grosse plaque sedimentaire du premier chenal glisse pousser par la force de l'eau exercee sur l'un de ses coté. Ce qui peut expliquer : -qu'a l'un de ces endroit tu ai cette inclinaison photo 4 s'il y a des depots grossier comme les cayoux que tu montrais au debut dans ces couches alors mon raissonement doit tenir la route) -mais ca expliqurai aussi que tu ai autant d'affleurements sedimentaires visibles : les nouveaux chenaux s'etant crees dans les premieres masses sedimentaires des anciens chenaux. En bref,pour moi c'est les phases successives humide (depot) /sec (eolien) repetees pendant toute la periode quaternaire qui ont cree "ce mistere" Apres ma vision est a relativisé - j'ai jamais vu le site et j'suis Ing. en Genie de l'Amenagement donc profils pluriels avec des bases en tout genre mouton a 5 pates que l'on colle dans les projets complexes pour synthetiser et traiter les donnees de multiples experts mais donc tres loin de pouvoir rivaliser avec eux sur leur specialité! geologue expert n'hesité pas a casser mon argumentaires :)
AlainR Posté(e) 14 juin 2012 Auteur Signaler Posté(e) 14 juin 2012 Hé bien, tu as bossé sur le sujet Je relirai tout ça à tête reposée, là c'est un peu tard. Il y a de l'idée, mais tu remarqueras que les dépôts ne sont que d'un côté, rive droite. Rive gauche rien du tout.
AD.S Posté(e) 14 juin 2012 Signaler Posté(e) 14 juin 2012 Oui - lie au fait que le schiste soit plus friable sur ce cote· c'est que de ll'hypotese. Pas vu le site. Reflexion basée sur mes souvenir sur la sedimentation dans les fleuves a debit variable et divagant. Et dsl pour le manque de rigueur en or-taux-graphe :) Sinon pour l'autre these : la dune du pilat culmine a presque 120 m donc pourkoi pas! bonne soiree
Next50MY Posté(e) 15 juin 2012 Signaler Posté(e) 15 juin 2012 Sympa AD.S de venir nous rejoindre. grand supporter de l'esprit naturaliste d'Alain pour ce qui me concerne. C'est cet esprit doté d'une patience à toute epreuve qu'il faut encourager sur ce forum. Pour les eolianites, elles sont decrites et font reference a Barcelone sur ce secteur. Ca a fait débat ici car certaines observations d'Alain et les analyses realisées par l'equipe de sableux sont inedites. Il faut dire que le sujet majeur du secteur n'est pas vraiment ces sables, plutot les ectinites et corps intrusifs paléozoiques. La cartographie et les articles sont ici de grande qualité et l'analyse satellitaire realisée par les personnalités universitaire reste focalisée sur le secteur orientale qui est une école de métamorphisme et de microtectonique. Je pense qu'il reste des choses à faire et en particulier chercher une cause structurale +/- récente au Cénozoique. Aucun fossile stratigraphique ne permet pour l'instant de trancher: Elphidium crispum a une repartition Oligocene - Actuel, seul un foraminifere qui ressemble fortement a une Nummulites variolarius permettrait d'attribuer un age precis. Mais pour l'instant aucun biostratigraphe n'est venu mettre sa plume sur ce sujet. Quant aux environnements de depots, l'éolien est rarement fossilisé, simplement car l'action éolienne évacue les dunes et les transporte ailleurs. Il faut des conditions particulières pour conserver de l'éolien : diagenèse précoce, montee de nappe phreatique, subsidence blocs basculés en depot syn-sedimentaire: probablement de sconditions que nous avons ici mais qui si elles se verifient impliquent de toute facon de schangement rapide d'environnement (invasion marine, tecto syn-sed). Donc si eolien, je dirais qu'il alterne avec du tidal et de l'estuarien. L'idée des périodes seches que tu evoques AD.S est intéressante et il faudra sans doute faire des lames minces pour prouver que les éolianites carbonatées existent: c'est une des conclusions de cette these que nous avons déja évoquée ici me semble -t-il (ou bien un copain a lui ?). Malheuresement le sujet tourne un peu trop en rond car des intervenants viennent ici pour poser des questions et apprendre mais malheureusement apportent des interprétations erronées qui sont discutées sans avoir le back ground suffisant. Mon avis est qu'il est inutile de chercher à contredire un raisonnement sedimentogique si on n'a pas les bases suffisantes. En revanche c'est un sujet ouvert à tous, dans la mesure ou l' on cherche uniquement à faire avancer la connaissance du sujet. Il vaut mieux alors apporter des faits concrets, proposer des hypotheses mais laisser l'analyse et la synthese à ceux qui savent faire. C'est en cela que AlainR et d'autres ont un vrai esprit rigoureux et naturaliste basé sur l'observation, la convivialité et l'animation des débats.
AD.S Posté(e) 15 juin 2012 Signaler Posté(e) 15 juin 2012 Pour en finir avec mon raisonnement ... que je consents "légé" vis à vis d'experts dans ce domaine ...voila pourquoi l'éolien me semblais fonctionner : Quant aux environnements de depots, l'éolien est rarement fossilisé, simplement car l'action éolienne évacue les dunes et les transporte ailleurs. Sauf s'il y a un relief qui bloque sont évolution - ici mon hypothese se portait sur le rôle des parois schisteuses non dégradées ; et que Il faut des conditions particulières pour conserver de l'éolien : [...] qui si elles se verifient impliquent de toute facon de changement rapide d'environnement. qui ici a mon sens collait bien ... puisque phenomenes rencontrés sur les dépots sédimentaires qu'ils soient fluviaux et/ou maritimes de remonté capilaire rapide - pour "fixer et protéger" les dépots éoliens. Sympa AD.S de venir nous rejoindre. [...] Malheuresement le sujet tourne un peu trop en rond car des intervenants viennent ici pour poser des questions et apprendre mais malheureusement apportent des interprétations erronées qui sont discutées sans avoir le back ground suffisant. Mon avis est qu'il est inutile de chercher à contredire un raisonnement sedimentogique si on n'a pas les bases suffisantes. En revanche c'est un sujet ouvert à tous, dans la mesure ou l' on cherche uniquement à faire avancer la connaissance du sujet. Il vaut mieux alors apporter des faits concrets, proposer des hypotheses mais laisser l'analyse et la synthese à ceux qui savent faire. C'est en cela que AlainR et d'autres ont un vrai esprit rigoureux et naturaliste basé sur l'observation, la convivialité et l'animation des débats. Tout à fait d'accord, la synthése d'éléments vérifiés sur site par des experts est la seule "vérité". Cependant même si les interventions "farfelues", comme la mienne, viennent intégrer le sujet (je suis pas la seule ...ouufff :) )... elles permettent aussi aux participants de tester des "méthodes de raissonnement" et donc un grand merci à ceux qui ont des compétences plus poussés pour leur patience educative et leur capacité à vulgariser. Celà permet d'amener les participants, comme moi, à une amélioration "méthodologique de démonstration" et à s'instruire. DONC UN GRAND MERCI A VOUS et à AlainR pour ce sujet que vous faites vivre sans tarir.
Next50MY Posté(e) 15 juin 2012 Signaler Posté(e) 15 juin 2012 Merci pour le message AD.S., OK on va faire vivre le sujet. il y a des projets de blogs mais ca devient un metier a temps plein ou une activité de retraité a mi-temps Alain est-ce que tu sais si des forages d'eau ont été realisés dans la vallée ? ca pourrait nous donner une idee de l'epaisseur des alluvions.
AD.S Posté(e) 15 juin 2012 Signaler Posté(e) 15 juin 2012 pour en finir avec ma démonstration voila comment je concevais la fossilisation dunaire dommage que mes hypotheses soient erronées ... sniff. j'interviendrai que peu maintenant dans ce post ...mes connaissances sont trop faibles pour vous aider sur ce type de sujet ...mais je continurai à le suivre ...bon courage et encore merci pour votre accueil.
Next50MY Posté(e) 15 juin 2012 Signaler Posté(e) 15 juin 2012 C'est une vue en coupe ? Ton idee reste tres valable en certains endroits à certaines periodes ,mais ne s'applique pas a l'ensemble de la serie sedimentaire, epaisse de plusieurs metres, peut etre beaucoup plus. La preservation par capillarité rejoint l'idee de montee de nappe phreatique. L'evapotranspiration accentue le phenomene. Par contre le modele purement eolien et continental ne permet pas d'expliquer la presence de glauconie et la saturation en carbonates. Associee aux foraminiferes, et a une granulo grossiere tout converge vers du marin cotier et on n'a pour l'instant aucun argument probant pour du Quaternaire.
AD.S Posté(e) 15 juin 2012 Signaler Posté(e) 15 juin 2012 oups...oui s'était une coupe Je m'suis que "partiellement plantée " lol a+
AlainR Posté(e) 16 juin 2012 Auteur Signaler Posté(e) 16 juin 2012 Ce n'est pas grave, toutes les interventions sont les bienvenues. Et tu n'es pas la première à te casser le nez sur ces dépôts sédimentaires... Il y a quelques éléments qui tentent à démontrer que l'origine est marine: ciment gréseux calcaire (réaction hcl), quelques traces furtives de glauconie, quelques foraminifères épars, des restes d'organismes marins indéfinissables (restes de coquilles?). Je suis tenté de croire à un ancien paléorivage séparé par l'orogénèse locale des Pyrénées. Sur une carte, les affleurements sont parfaitement alignés en direction de la mer. Une grande question quand même, comment ces dépôts ont-ils pu traverser quelques millions d'années dans une zone où les facteurs d'érosion sont importants ? Sans analyses poussées on aura du mal à avancer. Next, je ne connais pas de sondage hydrologique dans le coin
Kayou Posté(e) 16 juin 2012 Signaler Posté(e) 16 juin 2012 Une grande question quand même, comment ces dépôts ont-ils pu traverser quelques millions d'années dans une zone où les facteurs d'érosion sont importants ? Ah, bonne remarque... qui donne à penser...
esor6 Posté(e) 16 juin 2012 Signaler Posté(e) 16 juin 2012 Une grande question quand même, comment ces dépôts ont-ils pu traverser quelques millions d'années dans une zone où les facteurs d'érosion sont importants ? Ah, bonne remarque... qui donne à penser... Je sur-plusois !
AlainR Posté(e) 17 juin 2012 Auteur Signaler Posté(e) 17 juin 2012 Le mystère reste entier. Et je ne crois pas au 100% éolien.
AlainR Posté(e) 21 juin 2012 Auteur Signaler Posté(e) 21 juin 2012 En venant de Toulouse par l'autoroute et avant d'arriver à Narbonne, on aperçoit sur la gauche de l'autoroute des dépôts sédimentaires sableux qui rappellent étrangement ceux qui nous concernent ici. Pouvez-vous avoir accés à la carte géologique de cet endroit afin de connaitre la datation de ces dépôts ? Comment sont-ils répertoriés: éolien ou marin ? On pourrait peut-être faire un rapprochement...
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