Y'a pas que les Sciences de la Terre dans la vie... et la littérature!

[Invité SPATHFLUO]

Pour tous ceux qui n'ont pas compris que l'automobile n'est pas à la base un jouet de mort, et pour ceux qui respectent tant que faire se peut le code mais se sentent un peu seuls...

[Kayou]

Bonsoir

De Bernard Werber, vous avez peut être lu "Fourmis",

He bé sin "Le père de nos pères" (1998) me semble très jubilatoire... sur les traces du chaînon manquant... c'est de nous qu'on cause !

http://fr.wikipedia..../Bernard_Werber

http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_P%C3%A8re_de_nos_p%C3%A8res

[Kayou]

De Jean-Claude Carrière: Le mage Simon.

A lire jusqu'au bout.

"Dans ce roman où, à travers une supposition historique très vraisemblable, tout ce qui est dit reste possible, nous suivons pas à pas les derniers mois de la vie d’un vie d’un homme qui, jusqu’au bout, refuse que ses yeux s’ouvrent tout à fait et repousse la vraie lumière. Un homme qui, hanté par le surnaturel, meurt sans pouvoir accepter de n’être qu’un homme."

[Invité SPATHFLUO]

C'est peut-être un peu notre rêve à tous...

[TOM]

Hop ! Trouvé, le sujet sur la littérature...

Erri De Luca...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Erri_De_Luca

A lire, les gars !

[Invité SPATHFLUO]

Un joli cadeau pour les enfants... voire pour certains adultes.

[Invité Blackbird]

... Eccellantte ide ge trouv à quoncyer à droate é ah goche.... Lai baunné danne a ne pa maitre enttre taute lé min...

A propos Bungalooo... aut ou aud ? ? ?

[cascaillou]

Horloge ! dieu sinistre, effrayant, impassible,
Dont le doigt nous menace et nous dit : " Souviens-toi !
Les vibrantes Douleurs dans ton cœur plein d'effroi
Se planteront bientôt comme dans une cible ;

Le Plaisir vaporeux fuira vers l'horizon
Ainsi qu'une sylphide au fond de la coulisse ;
Chaque instant te dévore un morceau du délice
A chaque homme accordé pour toute sa saison.

Trois mille six cents fois par heure, la Seconde
Chuchote : Souviens-toi ! - Rapide, avec sa voix
D'insecte, Maintenant dit : Je suis Autrefois,
Et j'ai pompé ta vie avec ma trompe immonde !

Remember ! Souviens-toi, prodigue ! Esto memor !
(Mon gosier de métal parle toutes les langues.)
Les minutes, mortel folâtre, sont des gangues
Qu'il ne faut pas lâcher sans en extraire l'or !

Souviens-toi que le Temps est un joueur avide
Qui gagne sans tricher, à tout coup ! c'est la loi.
Le jour décroît ; la nuit augmente, souviens-toi !
Le gouffre a toujours soif ; la clepsydre se vide.

Tantôt sonnera l'heure où le divin Hasard,
Où l'auguste Vertu, ton épouse encor vierge,
Où le Repentir même (oh ! la dernière auberge !),
Où tout te dira : Meurs, vieux lâche ! il est trop tard ! "

Charles Baudelaire

[Kayou]

D'Antoine Choplin: La nuit tombée,

histoire d'aller faire un tour dans "la zone" ... pas que.

http://blog.epagine.fr/index.php/2012/09/rentree-litteraire-2012-antoine-choplin-la-nuit-tombee-la-fosse-aux-ours/

Pripiat, la ville abandonnée.

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[Invité SPATHFLUO]

http://www.youtube.com/embed/Q_uaI28LGJk

[Invité valanni]

Pour ma part j'aime bien écrire ce genre de petites nouvelles, pas de la grande littérature, mais sympa à faire

Couchée sur le canapé, à l'abri de la nuit froide, dans cette cabane de montagne réchauffée par le feu
de cheminée, je savoure le hasard qui, au printemps dernier m'a fait croiser la route de l'homme que je me suis prise à aimer.

Envie de douces caresses, de baisers au creux de ma nuque, de mains apaisantes, de doigts mutins...

Son corps ceignant mon dos arrondi, son torse frôlant ma peau, l'effleurant d'abord, s'y
imprimant ensuite, sa dureté en bas de mes reins...

Me retournant et prenant sa tête entre mes mains, pressant ma bouche sur la sienne en un baiser tendre qui
bientôt lie nos langues… toucher sa peau, son visage, lui sourire,
les yeux mi-clos lui dire « Je t'aime pour toujours » tout doucement.

Garder la magie de son odeur, faire vagabonder mes mains, me retourner à nouveau, pousser mes fesses vers lui, me caresser tout contre, provocante et indolente…

Dans l’âtre, les bûches sont maintenant à l’état de braises et il faudra bientôt en remettre si nous ne voulons pas
avoir froid.

Mon tendre amant tu ne vas pas tarder à rentrer et nous nous
accorderons quelques heures délicieuses de tendresse.

C’est l’âme, plus que le corps, qui désire les corps…

[Invité Blackbird]

Très sensuel... J'adore mon Ange... Bravo ! ! !

[Invité SPATHFLUO]

Un livre qui colle à l'actualité... Eh oui, certains sont capables de se refaire une virginité à l'infini... et ce n'est pas une question de couleur, garance, cinabre, ou autre... on peut faire tous les copier-coller qu'on veut, la vraie nature revient au galop !

[Kayou]

Du Jean Raspail

"Qui se souvient des hommes"

QUI SE SOUVIENT DES HOMMES... Jean RASPAIL Ils s'appelaient eux-mêmes les Hommes. Ils étaient parvenus à cette extrémité de la terre - qui devait, bien plus tard, être nommée Terre de Feu ?, au terme d'une si longue migration qu'ils en avaient perdu la mémoire. Sans cesse poussés par de nouveaux envahisseurs, ils avaient traversé un continent et des millénaires dans l'ignorance et la peur. Ils s'étaient établis là où, semblait-il, nul ne pouvait les rejoindre, tant sont cruels le ciel, la terre et la mer dans cet enfer austral. Ils furent peut-être un peuple; ils ne furent plus que des clans, puis des familles. Un jour, et c'est demain, il n'y aura plus que Lafko ? Lafko, fils de Lafko, fils de Lafko depuis le fond des âges - , le dernier des Hommes, celui que nous voyons, à la première et à la dernière page de ce livre, tenter de trouver dans la tempête la grève ou il pourra mourir, seul sous le regard de Dieu.
Dans l'intervalle, depuis le rêve de Henri le Navigateur et l'apparition des vaisseaux de Magellan, les Hommes, ces « sauvages », ont regardé passer l'Histoire et l'ont subie. Demain, Lafko va se perdre dans la nuit.
Qui se souvient des Hommes ?
Jean Raspail, pour avoir rencontré l'un des derniers canots des Alakalufs (tel est leur nom moderne), ne les a pas oubliés. Dans ce livre - que, faute de mieux, il qualifie de « roman », mais « épopée » ou « tragédie » seraient sans doute plus exacts ?, il recrée le destin de ces êtres, nos frères, que les hommes qui les virent hésitèrent à reconnaître comme des hommes.
C'est une immense et terrible histoire. Et c'est un livre comme il n'en existe pas aujourd'hui, et dont on sort transformé.

"Le camp des saints"

Dans le roman de Jean Raspail, près d'un million de migrants partent du delta du Gange en même temps pour arriver sur les côtes françaises. Selon les services de renseignements transalpins, entre 800 000 et 1 million de migrants se dirigeraient actuellement vers la Libye - ou y seraient déjà - avec pour objectif de se rendre en Europe. La Libye a-t-elle effectivement les moyens d'envoyer une telle proportion de personnes sur les côtes européennes dans un laps de temps similaire à celui de l'ouvrage ?

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