A partir de 1880, la production commence à décliner, des puits sont fermés, la fonderie reste active en traitant des minerais extérieurs à la région, puis ferme à son tour.
En 1897, fermeture définitive des mines, les machines sont arrêtées, les vallons sont désormais silencieux, hommes et femmes ressentent inexorablement l’arrêt du cœur de leur région. La misère s’installe et la nature commence alors à faire son œuvre car le patrimoine minier est fragile et difficile à protéger.
Aujourd’hui, que reste-t-il de ce glorieux passé minier ?
Bon appetit, la suite au prochain numéro!!!!!!!!
Dédé