Dédé La Mitraille

ben là gars???????? peu etre des branches de coraux ????

Dédé fo une étude plus poussée, je pense qu'avec une bonne bouteille de chablis on arrivera a te dire ce que c'est!!!!!!!

Comme d'habitude, attention à l'abus d'alcool, surtout en paléonto, de temps en temps je retrouve dans des déblais, des bouteilles dont je tairais le nom.

Bien à toi

Dédé

Je pense à des terriers type Thalassinoïdes

Complétement d'accord avec Elasmo, une belle empriente de loin et de plus proche, un terrier, cela y ressemble...

Tchao

Dédé

Hé Dédé c'est les minéraux ici pour les fossiles c'est plus bas.

Nico

Désolé Nicolas

A bientôt

Dédé

on y croit !

j'ai cherche par moteur de recherche si il y a des paleosols repertories dans ces niveaux, rien trouve pour l'instant

tu peux chercher avec les mots cles : paleosols, mud cracks, emersion pour voir si des observations sont faites dans ces etages (rien pour Bajo/Batho)

A bientôt

Dédé

Merci pour le moment à vous trois,

Je ne suis pas un spécialiste, mais merci pour votre aide

Dédé

Avec mes remerciements

Amitiés Dédé

C'est nouveau ça ! on dirait de la goethite velours mais à Chastreix. Pour le reste je n'ai vraiment vu que des carbonates à Chastreix, mais depuis que la carrière n'est plus accessible je n'y ais pas mis les pieds, c'est des affleurements de la route ou de la carrière ? (juste curiosité malsaine comme d'hab !!

Serge

Bonjour Serge,

Non , nous avons eu l'autorisation de la SGREG pour pénétrer dans la carrière, nous n'avons pas trouvé que cela d'ailleurs, quelques aragonites translucides fort sympas. Pour le reste, nous pouvons voir des carbonates, je pense à de la calcite et là je n'ai pas de doute. pour le velour au fond de la géode, là je m'interroge, je vais le faire expertiser.

A bientôt Serge

Dédé

Bonsoir à vous tous,

J'ai besoin d'un avis sur les minéraux des 2 photos que je vous joins.

Même si j'ai une idée, je souhaite avoir une confirmation.

La suite je vous la donne (lieu de la découverte;: carrière de Chastreix)

Merci d'avance et à bientôt de vous lire

Dédé

Bonsoir,

Pour moi aussi c'est du Peyrebrune

Bonne soirée

Dédé

Et pour les illustrations les nominés sont:

Louis Simonin, pour la vie souterraine

Georgius Bauer dit Agricola pour le "De Re Metallica"

Peut être l'encyclopédie et quelques autres que je ne connais pas (le puits avec le tuyau de pompe est particulièrement sympa)

Faut dire que pour les illustrations, Pontgibaud c'est pas facile, j'ai pas vu beaucoup de cartes postales des sites miniers, autant que de minerai sur les haldes des puits !!!, j'ai mis quinze ans à me rendre compte qu'à la Brousse, tout le minerai descendait à la laverie et qu'on n'avait pas le pot comme à Alzen qu'ils en laissaient en bas.

Merci à Dédé et à la Route des Mines pour ce reportage qui manquait à ce sujet.

Amitiés à tous, Serge

Bonsoir Serge,

Oui, nous allons relancer ce sujet sur l'année 2013.

Les copains de l'association sont super sympas et méritent une aide.

Au salon de Châtel, nous devrions y voir de très beaux spécimens.

Encore un grand cru

A bientôt

Amitiés

Dédé

Une des cheminées de la fonderie domine le cimetière du haut de ses 50 m. Cheminée en lave de la fonderie, avant de s'échapper de la cheminée, les fumées parcourent 570m de conduits souterrains au long desquels se produit la condensation des vapeurs toxiques, chargées en soufre et en plomb.

C’est là, dans le carré anglais, que reposent des ingénieurs venus de Cornouailles.

Faut-il laisser le temps effacer les souvenirs de ce passé ? Faut-il oublier définitivement ceux qui ont durement peiné sur et sous ces terres ?

Le musée de la mine installé dans les locaux de Château Dauphin fait revivre l’histoire des mineurs-paysans…

Jusqu’à une période récente, les visites guidées étaient possibles grâce à l’association « La route des mines Dômes-Combrailles ». C’est interdit désormais. Merci aux bénévoles pour le travail fourni.

Les canaux qui alimentaient les laveries sont encore bien visibles.

Il reste encore du minerai sur les parois !

Avec difficulté et précaution, entre les barreaux de l’entrée, on aperçoit le départ des galeries où il est impossible d’entrer.

Au hasard des chemins, l’entrée sécurisée d’une galerie qui ne voit passer que des chauves-souris.

L’eau de l’étang de La Faye servait autrefois à alimenter des dizaines de moulins qui entraînaient de multiples machines.

Les broussailles et les ronces recouvrent tout, le patrimoine minier disparaît sur le terrain et dans les mémoires.

L’intérieur de la laverie.

Les bâtiments de l’ancienne laverie rappellent le travail quotidien des femmes et des enfants dans une eau souvent glacée et pour un salaire bien maigre.

De véritables dunes de sable blanc, anciens déblais impropres à toute vie végétale, obstruent les vallées.

...le seul bruit est le clapotis des ruisseaux qui transportent parfois quelques paillettes brillantes de galène.