Comment mieux te l'expliquer...
On dira que pour satisfaire au mieux les lecteurs, il ne faudra pas se contenter de survoler un sujet. En outre, tous les lecteurs n'ont pas les mêmes centres d'intérêt, et seront donc rarement intéressés par 100% du contenu proposé, et ce n'est pas forcément une question de QI .
En bref, la géogazette nécessite un travail gigantesque pour un retour qui a semblé franchement inconsistant en ce qui concerne le premier numéro. Pas facile de faire perdurer l'expérience pour son auteur, qui aura la nette impression de devenir un cousin proche de Don Quichotte s'il devait persévérer.
Et j'en viens aux autres débats qui soulignent que le travail de l'ombre n'est pas gratuit s'il veut perdurer. Le RM râle quelque peu vis à vis du fait qu'un club de minéralogie ne puisse prendre qu'un seul abonnement pour faire passer la revue dans des dizaines de mains ensuite, si tout le monde faisait ainsi, la revue n'aurait plus qu'à mettre la clé sous la porte. Le Bulletin de Chamonix lutte pour trouver des auteurs, et sans les centaines d'heures passées par Papyfred à lui donner une âme pour compenser le fait que les lecteurs ne deviennent pas assez des auteurs, on peut véritablement penser que la revue aurait du mal à survivre.
Géogazette n'échappe pas à ces règles. On pourrait alors se dire "bougeons-nous!". oui, oui... Mais du point de vue de mes diverses expériences associatives, les acteurs actifs restent rares (et c'est d'ailleurs toujours les mêmes qui font tout, et toujours les mêmes qui profitent de cela en ne faisant rien).