En effet ce n'est pas la Lune, nous sachons que le Lune n'est qu'une invention des chinois du FBI pour placer ce satellite espion au dessus du plateau-monde et mieux observer nos habitudes de consommation (notamment en légumineuses et placements financiers peu risqués).
Il s'agit d'une orbe, réminiscence énergétique d'une entité ancienne, sans-doute un chaman de l'Amérique pré-colombienne ou bien un artisan menuisier du Vercors décédé lors d'un accident de motoculteur. Mais bon, d'après la rondeté et la couleur verdâtre (qui traduit une régularité vibratoire de 158 450 Bovis environ) uniforme je pencherai plutôt pour le chaman. On remarque également l'apparition d'autres orbes, d'un buisson et du chiffre 6 qui, s'il faut encore le préciser, est empreint d'une mysticité intersidérale (et ça ce sont les enseignements des Elohims qui nous l'apprennent dans les mantras de "Proxus vic Centuri"). Ces apparitions concomitantes ne sont pas là par hasard, il semble que les émanations du site soient véritablement un portail vers la sacralité du cosmos, et en être témoin est une bénédiction des divinités anciennes telles que décrites par le pastafarisme. Je sais que peu sont ceux capables d'émotionnalité suffisante pour pouvoir percevoir ce message, et il faut savoir s'en montré gratifié.
L'orbe rougeoyante en bas à gauche est par contre une étincelle plasmique, évanescence même de l'âme de la Nature. Sa position non-centrale dans la scène est une évidence : elle se pose en supervision (au sens du Troisième Œil, celui qui voit au travers des dimensions pour y déceler l'essence de la Grande Pyramide de Teotihuacan) au point de résurgence de lignes d'énergies telluriques, d'où clairement la proximité du portail sacral.
JeF