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artorius
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Mémoire de DEA ou de Master sur le volcanisme
artorius a répondu à un sujet de orthopyrox dans Forum Géologie
je pense que tu devrais essayer les théses en lignes sur le net , car ils en ont je croie quelques unes sur tes sujets sinon essaye le LMV -
Volcan Chaiten - Sud Chili
artorius a répondu à un sujet de SVE Genève dans L' actualité volcanologique
impressionnant -
je pense que pour savoir ce qui c'est passé, il faut revenir aux méthode de stratigraphie, et je dirais meme, à celle de biotsratigraphie, de lithostratigraphie, voir de chronostratigraphie. : on sait que d'aprés l'étude des couches, il y a une couche d'iridium( symbole d'une catastrophe cosmique????) vers - 65 Millions d'années. - ici on couple lithostratigraphie et chrono-stratigraphie car cette couche se trouve entre deux période géologique différent( mésozoique et cénozoique) - je pense que l'on peut affirmer sans trop de souci que vers - 65Ma, il y a eu une météorite qui à balancer dans l'atmosphère durant plusieurs années pas mal de composés qui peuvent refroidir l'atmosphère( aérosol,.....) - si la métorite est responsable de l'extinction des dinosaures , alors il y a doit y avoir une coupure trés nette dans les couches à la limité KT, ou au crétacé, il y a des fossiles de dinosaures, mais pas abondant, a la limité il doit y avoir beaucoup de fossiles, mais vers dans le paléocène, il ne doit plus avoir de dinosaures. maintenant il y a les trapp du deccan qui foutent le bordel, mais elle s'étale sur des millions d'années et balance du C02 qui à long terme rechauffe l'atmosphère - la troisième théorie et celle de l'évolution ou A) les mammifères aurrait manger les oeufs de dinosaures B° ceux ci aurrait évolué en oiseaux( les oiseaux apparaissent au jurassique je croie) - et pareil il faudrait connaitre les observations des couches du mésozoique je pense que l'extinxtion est du à de multiples facteurs: géologique, biologiques et astronomiques qui ont commencer ont durer longtemp
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il est la, le probleme justement je pense que la théorie de charles hapgood peut etre possible, cependant comme tu le souligne , il y a ce probleme de cinématique des plaques qui dégomme l'hypothése en tant que telle . maintenant la question est : comment associer la cinématique des plaques et le glissement de la lithosphère??? alors deux hypothése, soit hapgood avait totalement tort , soit il avait partiellement tort( ou raison selon les point de vue)
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d'aprés ce que j'ai compris, l'axe de la terre ne change pas
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c'est vraie que j'ai parfois du mal à structurer mes idées en revanche on veut toujour opposer une théorie a une autre: soit c'est la tectonique des plaques, soit c'est le basculement. or nous savons tous les deux que la tectonique des plaques a été admise et de plus on a de multitudes de preuves( seisme, volcans, fossiles, ...) l'idée serrait d'associer ces deux théorie : la derive des continent se fait sur des echelles géologiques tandis que le glissement de la lithosphère lui dure selon la théorie entre 2000 et 5000 ans. le glissement possible de cette lithosphère ne modifie en rien la disposition des continent par rapport aux autres mais pourrait les amener dans les cercles polaires
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justement ce qu'il faut c'est plusieurs avis et non pas que le mien qui est loin d'etre objectif tout comme ceux qui parles de théorie fumeuses. papy fred a peut etre raison sur le fait que c'est une théorie fumeuse, mais c'est quand meme une théorie et je pense que elle a le droit à avoir une critique scientifique. maintenant j'aurais un peu de mal à la démontrer car comme tu peut le constater, mon bagage "physique" est plutot sommaire.
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maintenant supposons que cette théorie soit la bonne, je dit bien supposons . ils nous faut maintenant savoir le fonctionnement à l'echelle de la terre du glissement de la lithosphère sur l'asthénosphère: la deuxieme suppostion serrait que comme tu le souligne , il faut que les frottements soit suffisament faible, or l'asthénosphère est ductile car la pression est trop élevé la lithosphère étant aussi ductile car la température est trop faible . alors là intervient la deuxième hypothèse que la LVZ serrait la zone ou la lithosphère glisserait sur l'asthénosphère car la LVZ est moins ductile . si on arrive a validé cette deuxieme hypothèse , il nous faudrait des preuves de cela . or dans le livre , l'auteur avance des preuves que pourrait etre plausible: -"le 25 decembre 1990, les géologues barrie mc kelvey et david harwood travaillant à 1830m et à 400km des cotes ont decouvert des fossiles d'arbes caduques datant de 2 a 3 millions d'années" - la sédimentation apporte aussi un élement nouveau:lors d'une expédition, l'amiral byrd a trouvé des choses intéréssantes "Et selon le docteur jack hough de l'université de l'illinois, la carotte 5 atteste de la présence de sediments glaciaires sur un periode de -4000 à nos jours, de -4000 à -13000 , le sediment comporte des grains fins a l'exeption d'une courte periode vers -10000, ou ceux ci sont granulé
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on laisse tomber la pression pour l'instant pour revenir a cette force centrifuge la théorie est resumé de cette façon: en 53, eistein ennoncé que " la rotation de la terre aggissant sur les masse inégalement repartie , produit une force centrifuge qui est communiqué à la croute solide de la terre.la force centrifuge ainsi produite vas monter progréssivement en intensité et déclencher à un moment donné le glissemeny" la je reprend le livre qui stipule que 53, en les causes astronmiques de periodes glaciaires n'était pas clair aprés on en a eu une idée plus précise quand la trajectoirde de l'orbite terrestre devie du cercle parfait de plus de 1 pour cent , l'influence gravitationelle du soleil croit , exerçant une plus forte traction du soleir sur la terre et ses calottes glaciaires celle ci du fait de le poids considérable exerce a leur tour une pression accrue sur la lithosphère à cela , on ajoute une plus grande inclinaison de l'axe de la terre ( autre paramètre orbital), ces facteurs reunies peuvent il entrainer un basculement de la lithosphère sur l'asthénosphère???
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il y a un endroit qui compris entre 100 et 200km , ou les roches sont plus ou moins fondue( fusion partielle) et que les ondes sont - rapides la LVZ est un endroit ou si la lithosphère pourrait glisser sur l'asthénosphère car comme tu le dit, faire du surf sur des cailloux est impossible, le faire sur de la roche partiellement fondue l'est un peu moins
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l'u a corespond a la distance moyenne terre soleil
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c'est vraie que j'aime bien estein mais il faut passer au dessus meme de ces considérations .
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désolé mais je me suis tromper, c'est autour de l'asthénosphère que la lithosphère bascule ps: c'est rotation ou révolution lorsque la terre tourne autour du soleil car je pense que j'ai confondue les deux sinon j'ai trouver un article qui explique bien les choses. Les déplacements de la lithosphère terrestre Au cours des années 1960, une grande théorie unificatrice, connue sous le nom de tectonique des plaques (31), est apparue dans l'éventail des théories scientifiques modernes et a totalement renouvelé l'ancien concept de dérive des continents (32). Les travaux d'Alfred Wegener (1880-1930), dans les années 1910, avaient montré de manière formelle que les continents se déplacent à l'échelle géologique, entraînant des variations appréciables dans la position des pôles géographiques. Les travaux modernes, d'un ampleur et d'un intérêt considérables, ont explicité la plupart des problèmes posés et ont permis à la géologie et à la géophysique de faire leur révolution. Mais, même si la tectonique des plaques forme un tout cohérent, il serait illusoire de croire qu'elle a résolu tous les problèmes concernant les divers déplacements des couches externes de la Terre. Car, au très lent déplacement des plaques tectoniques (parfaitement explicité de nos jours), dont le mouvement devient appréciable sur des périodes se chiffrant en millions d'années, il est probable que se superposent des mouvements de la lithosphère tout entière. Ces déplacements beaucoup plus rapides, puisque se chiffrant en dizaines ou centaines d'années au maximum, sont dus à une dérive globale de la lithosphère rigide (dont l'épaisseur entre 70 km sous les océans et 150 km sous les continents) sur l'asthénosphère sous-jacente, couche plus plastique et plus chaude dont la viscosité augmente avec la profondeur. Il ne faut pas confondre la lithosphère avec la seule croûte terrestre. Celle-ci a une double nature et ne concerne que la partie externe de la lithosphère. On distingue la croûte continentale qui est granitique et ancienne et dont l'épaisseur est d'une quarantaine de kilomètres et la croûte océanique, de composition basaltique beaucoup plus récente (moins de 200 MA), mais beaucoup plus épaisse puisque ne dépassant pas 7 km d'épaisseur. Ces deux types de croûte, bien distinctes, surmontent le manteau supérieur, encore plus dense, dont elles sont séparées par la discontinuité de Mohorovicic (connue des géophysiciens sous l'appellation simplifiée la Moho). Mais il ne faut pas perdre de vue que ce manteau supérieur fait encore partie de la lithosphère. La surface de découplage entre l'enveloppe externe rigide de la Terre (la lithosphère) et la couche sous-jacente plus plastique (l'asthénosphère) n'a rien à voir avec la Moho, elle est beaucoup plus profonde : environ 10 fois sous les océans et 4 fois sous les continents. Il est inutile de dire que l'épaisseur variable de la lithosphère (de 70 à 150 km, rappelons-le) flottant sur une asthénosphère bosselée ne facilite pas ses déplacements globaux. Ceux-ci posent des problèmes importants, à tel point qu'ils sont niés par une grande partie des spécialistes des sciences de la Terre, qui pensent que la tectonique des plaques, telle qu'on l'a mise en évidence, explique d'une manière à peu près satisfaisante les migrations des pôles géographiques depuis 200 MA. Il n'empêche que les calculs ont montré que de tels déplacements sont possibles. Depuis longtemps déjà, cette dérive globale de la couche externe de la Terre a été soupçonnée à partie d'arguments nombreux, et elle mérite d'être étudiée plus à fond pour connaître ses causes, certainement multiples, et ses conséquences, toujours les mêmes, que l'on peut qualifier d'apocalyptiques. A la fin des années 1950, le géologue américain Charles Hapgood (1904-1982) (33) a proposé une idée nouvelle qui, à l'époque (avant l'introduction de la théorie de la tectonique des plaques), a obtenu un bon accueil de certains scientifiques. Albert Einstein (1879-1955) lui même, qui a écrit la préface du livre d'Hapgood, considérait son idée comme " vraiment remarquable et séduisante ". Cette idée est en gros la suivante. Dans les régions polaires, il se forme en permanence un dépôt de glace qui a la particularité de ne pas se distribuer d'une façon symétrique autour du pôle. La rotation de la Terre agit sur cette masse glacière asymétrique et met en action une force centrifuge qui augmente sans cesse et qui transmet une impulsion à la lithosphère sous-jacente. Quand elle atteint un degré limite, cette force centrifuge produit un déplacement de l'écorce terrestre (appellation utilisée par Hapgood et qui correspond bien à la lithosphère dans son ensemble et pas seulement à la croûte, qui nous l'avons vu est beaucoup moins épaisse), déplacement qui se répercute obligatoirement sur tout le globe et qui entraîne les régions polaires vers l'équateur. Au début des années 1970, l'ingénieur autrichien Peter Kaiser (34) a confirmé la réalité de ces déplacements globaux et rapides de la lithosphère. Mais pour lui, les raisons de ces migrations polaires qu'il cherche à mettre en évidence et qui sont la conséquence obligatoire de toute dérive sont différentes. Il les attribue principalement à des phénomènes hydrodynamiques à caractère tourbillonnaire ayant lieu dans le noyau, et qui seraient dus à la modification du champ magnétique terrestre. Ces mouvements, d'abord localisés dans ce noyau, gagnent progressivement les couches extérieures. L'ancrage de la lithosphère sur l'asthénosphère, malgré leur forme singulière, finit par devenir insuffisant pour s'opposer aux diverses forces horizontales qui s'exercent. L'écorce rigide se met alors à glisser et à dériver sur l'enveloppe plastique, en dépit d'innombrables contraintes qui font office de frein. Cette dérive globale s'arrête quand les forces horizontales redeviennent trop faibles, par suite du travail énorme qu'elles ont fourni lors du déplacement. Kaiser conclut que non seulement les déplacements globaux sont bien réels, en dépit de difficultés sérieuses, mais aussi qu'ils sont fréquents, très fréquents même à l'échelle géologique. Ses arguments, comme ceux de Hapgood, sont nombreux et plus ou moins convaincants. Plusieurs autres hypothèses ont été avancées pour expliquer ce phénomène des déplacements rapides de l'écorce terrestre, parmi lesquelles celle de la collision avec un astéroïde. Cette hypothèse cosmique fut proposée, dès 1953, par Allan Kelly et Frank Dachille (1917-1983) (35), deux scientifiques américains pionniers de la théorie de l'impactisme terrestre, quand il fut évident avec la reconnaissance des premiers astroblèmes au Canada, que la Terre a été souvent victime de collisions dans l'espace avec des objets cosmiques de bonne taille. Tenue pour marginale malgré tout pendant un quart de siècle, l'hypothèse cosmique de la dérive épisodique de la lithosphère est très logiquement réapparue comme une éventualité incontournable. Car, s'il est très probable que des déplacements globaux de l'écorce terrestre, entraînant des migrations des pôles géographiques et sans doute aussi magnétiques, peuvent être dus à des causes purement terrestres (comme celles préconisées par Hapgood et Kaiser), il n'est pas moins probable que d'autres déplacements doivent être consécutifs à des collisions importantes. Dans certains cas, en outre, les impacts d'EGA peuvent servir de force d'appoint, ou d'accélération d'un processus en cours, en fournissant l'énergie complémentaire nécessaire à ces déplacements. Plusieurs auteurs ont émis l'idée que la dernière migration des pôles géographiques, due à un déplacement de l'écorce terrestre de courte durée, pourrait avoir eu lieu il y a seulement 12 000 ans et contribué à ce que certains appellent l'Apocalypse de l'an –10000 (36). Cette date est une date charnière, d'importance majeure, dans l'histoire récente de la Terre et de l'humanité. Elle correspond à la fin de la dernière glaciation et au début de l'holocène, elle est contemporaine de cataclysmes plus ou moins obscurs comme la disparition de la dernière grande vague de mammouths et du changement rapide dans les climats de certaines régions. Certains auteurs, spécialistes des "mondes mystérieux du passé", relient cette date clé à un hypothétique anéantissement de l'Atlantide de Platon ou de la Terre de Mû. Car cette époque est aussi, du fait de l'amorce de la déglaciation, le point de départ de la montée relativement rapide des eaux océaniques. Celles-ci ont gagné plus de 150 mètres en 12 000 ans, entraînant l'engloutissement de plusieurs millions de kilomètres carrés de terres préalablement émergées et, par, conséquence, des mouvements de population importants, même si ces populations étaient encore bien primitives et loin d'être "éblouissantes" comme le voudraient les auteurs ci-dessus. Nous parlerons aux chapitres 18 et 19 de cette série de catastrophes qui a peut-être eu comme point de départ la collision d'un EGA de 600 mètres de diamètre, celui-là même qui a creusé le cratère alaskaien de Sithylemenkat, ou un impact océanique important, dû lui à un possible impact d'un fragment de l'ancien centaure HEPHAISTOS. Mais restons ici dans les généralités concernant les possibles déplacements de l'écorce terrestre en tant que bloc unique. D'abord, il ne faut surtout pas confondre ce phénomène, qui ne concerne que la couche externe de la Terre (la lithosphère), avec le basculement complet de celle-ci, cataclysme d'une tout autre ampleur qui nécessiterait une énergie des milliards de fois plus considérable. Les calculs ont montré qu'un gros astéroïde de 200 km de diamètre ne serait pas capable de provoquer un changement dans l'axe de rotation de la Terre supérieur à 1 ou 2 degrés seulement. Par contre, il serait plus que suffisant pour provoquer un basculement complet (180°) de la lithosphère sur son substrat plastique qu'est l'asthénosphère. Rappelons également que ce déplacement global de l'écorce n'a rien à voir avec la dérive des plaques tectoniques qui sont entraînées dans des directions différentes les unes par rapport aux autres, cela au rythme de quelques centimètres par an, et qui finissent par disparaître dans les profondeurs de la Terre par l'intermédiaire des zones de subduction qui "ancrent" la lithosphère à l'intérieur de l'asthénosphère. Les conséquences d'un déplacement de l'écorce terrestre, quelle que soit sa cause (qui peut être, nous l'avons dit, aussi bien terrestre que cosmique), sont évidemment multiples et importantes. Les principales sont des modifications dans les latitudes géographiques, et donc dans les climats, des effets de tension et d'étirement, ou au contraire de compression et de rétrécissement, du fait de l'aplatissement du globe terrestre et de l'existence du bourrelet équatorial. Tous ces effets provoquent des fissures et des déchirements dans la lithosphère, accompagnés évidemment par un volcanisme sensiblement accru et des séismes très nombreux et très violents. De plus, les eaux des océans sont précipitées sur les continents, certains de ceux-ci sont submergés définitivement, d'autres sortent des fonds marins à la suite exhaussements isostatiques. C'est toute la géographie de la planète qui peut être bouleversée. Quant à la faune et à la flore, elles subissent des répercussions de ces calamités naturelles inhabituelles et certaines espèces sont amenées à disparaître ou à régresser, sans que l'on puisse pour autant parler obligatoirement d'extinction massive en rapport avec ce cataclysme progressif, et donc étalé dans le temps. Il peut y avoir probablement dérive de la lithosphère, sans qu'il y ait hiver nucléaire, et donc la vie n'est pas vraiment menacée. Elle souffre, mais doit pouvoir s'adapter. On peut donc conclure en disant que les déplacements de la lithosphère terrestre, qui pourraient atteindre plus de 1000 km (Hapgood donnait 3200 km pour le dernier qui aurait conduit le pôle géographique de la baie d'Hudson en Amérique du Nord à son emplacement actuel, mais ce résultat semble vraiment excessif et en fait assez peu crédible), soit l'équivalent d'une dizaine de degrés en latitude, sont les cataclysmes globaux les plus importants et les plus meurtriers que peut encore connaître la Terre à l'époque actuelle.
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pour étudier ok, mais pour y vivre on vas vite sentir le cramé
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si justement c'est l'age des roches qui nous intéresserait car le bois peut etre dater au carbone 14, qui donc date des égyptiens , mais est ce eux qui ont reelement construit ces pyramides. il est possible que non mais le livre argumente bien dessus . d'un point vue physique , c'est justement possible car ce qui est certains , c'est que en s'approchant du soleil, la vitesse de rotation de la terre autour du soleil augmente , ce qui est entraine une force centrifuge . aprés comme tu le souligne justement, on devrait partir dans l'espace ou etre aplatie, mais la gravité nous en empeche . or comme la lithosphère est soumie a une force horizontale dirigé vers l'exterieur , elle peut basculer autour de la lithosphère. c'est a dire que d'un bloc , elle glisserait sur l'asthénosphère , deplaçant des regions entières. le probleme est de trouver un emboitement avec la tectonique des plaques ( le bouquin l'explique à un moment, mais il faudrait approfondir plus cette théorie et la validé ou la réfuté par une démarche scientifique
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c'est la justement qu'il y a une nouvelle interprétation<; dans ce bouquin , il y a énormément d'élements donc je vous le conseille à lire car comme je l'ai dit je ne suis pas un spécialiste de l'egyptologie, ou de l'archéologie
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d'abord cele ennonce la théorie de hapgood avec notamment la préface d'eistein aprés il est allait faire un tour au perou et au mexique pour étudier les monuments et etudier leur rites religieux ensuite il vas en engypte voir les pyramides et demontre avec beaucoup d'argumentation que d'autres personnes que khéops l'aurait construite. limite ils ennonce 2 possibiltés par rapport a céla: - soi les égyptiens était beaucoup plus évolué qu'on le pense , soi ce ne sont pas eux qui ont construit ces monuments. un exemple est que le sphinx est orienté plein est , or il y a 10 000ans , on voyait la nuit la constéllation du lion, cela peut etre un hasard mais il y a 10 000ans , plein nord , on voyait la constéllation d'orion, or les pyramides qui sont dirigé plein nord sont l'exacte rapport de distance des étoiles d'orion. il y a plein d'autre fait comme cela, par exemple en " interprétant " les textes égyptiens, on observe que on peut calculer avec plus de précision que les grecs , le temps que met la terre pour faire le tour des 12 constéllations. aprés ce n'est qu'une interprétation; ce bouquin est une autre interprétation de l'histoire, aprés il peut y avoir certaines choses difficiles à croire car il remet en cause l''évolution humaine , et met en avant un héritage. aprés la question est : quel civilisation aurrait pu construire cela , et c'est a ce moment qu'intervient charles hapgood. je n'ai pas assez de connaissance pour refuter ou appuyer sa thése donc j'essaye uniquement de voir si la théorie de charles hapgood est possible
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Votre pseudo
artorius a répondu à un sujet de abggems dans Y'a pas que les Sciences de la Terre dans la vie...
le mien , ce du a mon prenom, arthur d'ou artorius en romain -
" l'empreinte des dieux " de graham hancock
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:coucou!: non c'est un livre des éditions flamarrions je croie publié en 1996
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déja je tiens à préciser que je prends du recul par rapport à ces choses là car il est facile de laisser parler ces croyances et passions sur le sujet ce livre traite d'une civilisation disparue qui à travers des anciens monuments comme les pyramides d'égypte ou des mayas , aurrait laisser un héritage.
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pas obligatoirement car la gravité est je pense superieur à cette force centrifuge . limite cela expliquerais pourquoi il pourrait y avoir un basculement de la lithosphère
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c'est a peu prés cela la théorie , mais comme du le dit, le concept peut etre fumeux , car mis des illuminés ferront et diront n'importe quoi dessus. aprés occultons le continent perdu,... et regardons le phénomene géologique lui meme . limite je te conseille un bouquin " l'empreinte des dieux " , qui traite de ce sujet . par exemple si tu l'a , lit à la fin les preuves avancées selon lui pour la théorie , car certaines me parraissent bizarres. pour moi le véritable probleme est la mise en adéquation de cette théorie avec la tectonique des plaque, car nous savons tout les deux que celle ci est irréfutable. or si hapgood pouvait avoir raison , il faudra emboiter sa théorie avec celle de la tectonique des plaques
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merci pour les précisions , mais j'aimerais savoir queque tu en penses toi personnellement de cette théorie car meme si je n'ai pas énormément de physique en main( j'aurais peut etre du bosser cela au premier semestre :siffle), je sais que lorsque on se rapproche d'un astre , le soleil en l'occurence, la vitesse de rotation augmente , ce qui creer bien normalement une force centrifuge. aprés comme tu l'avance, il y a d'autre force qui entre jeu comme archimède, ou les force de frottement . mais si la force centrifuge devient superieur , ce phénomene est il possible?
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la pavin lui peut se réactiver car celui ci ne date au plus ancien de que 7000ans, ce qui ridicule à l' echelle géologique.