Je ne sais décidément pas comment vous vous y prenez en bourse; d'ailleurs d'une part je ne cherche pas et d'autre part, je crois avoir entendu que personne non plus ne sait comment moi-même je m'y prends (tant mieux ?!). Je ne sais pas non plus si ma réponse est bonne dans ce sujet.
Quoiqu'il en soit (!), on attend soit pas beaucoup soit trop d'une bourse.
Si on se penche sur les conditions de chacun... on rencontre ± les mêmes techniques de vente à force mais il faut reconnaître ceux qui augmentent leur prix à cause du prix du stand et, ceux qui font une bourse prestigieuse pour pouvoir pratiquer des prix "hauts de gamme" (les prix et parfois les pierres) Crise ou pas crise, il y aura toujours ceux qui se serrent la ceinture, ceux qui s'étirent les brettelles, parfois en fait les mêmes à quelques mois de différence ou au cours de la même journée. On constate même des commerçants (de nationalité identique) qui s'achètent entre eux (?!)
Donc des choses toujours surprenantes mais pas tant nouvelles !
Concernant les photos maintenant, c'est le même principe, pourquoi refuse-t-on le droit ?
Réponse soutenue par les commerçants ? Parce que les photos peuvent rabaisser la pierre, parce que çà gène les autres clients ...
Raison réelle ? La quantité de marchandise montre une mauvaise "image"
Les raisons poussant les commerçants souvent à trouver des mauvais prétextes : une fois la photo prise, ils n'ont plus de contrôle sur l'utilisation de la photo (voir le destin déchu ou réussi incident ou intrinsèque de la pierre) entre les photographes qui laissent le prix sur la photo, ceux qui retouchent, ceux qui vont utiliser la photo pour reproposer la pierre à la vente, ceux qui vont faire du business avec la photo plus que le commerçant n'en ferait avec leur pierre (bientôt un message plus concret à ce propos). Tout plein d'interrogation qui entraîne par précaution, un refus. C'est comme si on occultait le cas où la photo peut servir le vendeur ou tout simplement la minéralogie. Mais bon tellement s'en servent à d'autre fins que l'on ne saurait de moins en moins y penser sereinement.