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Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 25>29 juin 2025

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ANDRE HOLBECQ

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Tout ce qui a été posté par ANDRE HOLBECQ

  1. il existe bien de l'ambre rouge à Colti en Roumanie que l'on nomme en roumain chihlimbar ou roumanite voir le livre d'Eric Geirnaert
  2. bonjour Elasmo oui j'ai lu mais après mon message; j'explique j'ai écrit mon message avant ton intervention, mais une fausse manoeuvre a retardé l'édition de mon message qui est donc apparu bien plus tard donc après ton intervention. Voilà le pourquoi. Ceci dit le profil sygmoidal en effet doit éliminer le dauphin et rapprocher d'un requin, je suis d'accord. Ce sont les deux photos de gauche et de droite qui m'on fait penser de travers, mais alors en effet la dent de requin est "anormale" pathologique.
  3. rt pour les fans de COPROLITES apprenez toute l'histoire du "coprolite rush" incroyable !
  4. the SEdgwick short guides très intéressants et gratuits
  5. n'oubliez pas d'y visiter la salle des roches où sont toutes les roches du monde en brut ou section taillée polie, jamais vu d'équivalent !
  6. vOUS TROUVEREZ SANS DOUTE DES FLYERS GRATUITS TRES INTERESSANTS COMME CELUI CI CONCERNANT MARY ANNING
  7. EN AVRIL 2004 LA REVUE MINERAUX ET FOSSILES PUBLIE MON ARTICLE SUR CE MUSEE DONT VOICI LA PREMIERE PAGE N°327
  8. quelques actinoptérigiens de ce musée qui nous ont permis d'identifier celui que l'on a trouvé dans la craie du Cap Blanc Nez HOPLOPTERTYX LEWECENSIS
  9. la première c'est une rubellite variété rose de tourmaline sur gangue riche en mica lépidolite
  10. la 3 Nebrius thielensis voir p41 livre STRANDFOSSIELEN* REVUE FlAMANDE GEODE 27 DRUK OU REVUE BELGE PL 104 P24 FOSSILES DE BELGIQUE DENTS DE REQUINS ET DE RAIES DU TERTIAIRE DE BELGIQUE La 5ème EOTRIGONOCYON* p145 la 7è dent de dauphin p150* la 4è: TRIGONODON p145* la 6è aiguillon de raie p 67* la 2 ALBULA OWENI P145* la 1 je la connais mais trou de mémoire, je cherche peut être sparus ?
  11. pardon, je n'avais pas lu jusqu'au bout su c'est de la Lauzière, rien à voir avec le Maroc (effectivement c'est ce qu'on disait jadis "manganèse", tu as raison de corriger il faut plutôt voir de la goethite, avec mes excuses
  12. MERCI ET FELICITATIONS POUR CE REPORTAGE EXHAUSTIF je connais ce musée universitaire depuis longtemps et j'y avais emmené des membres de plusieurs clubs, nous avions été reçus très bien pat le conservateur, avec thé et petits gâteaux secs dans la salle aux roches. C'est là que j'ai pu identifier le poisson crétacé du Cap Blanc Nez Hoplopteryx lewecensis, vu qu'ils en avaient plusieurs exemplaires. Nous avons eu le grand privilège de pouvoir ouvrir tous les tiroirs pour observer de près et manipuler les fossiles! encore un grand merci pour la confiance. Je me souviens aussi d'un gros coprolite de reptile marin , superbe, que j'ai photographié dans sa main qui a servi d'échelle.Je cherche cette photo et vous la communique aussitôt. le voici
  13. SI C EST UN QUARTZ MAROCAIN ce serait des aiguilles de manganèse voir Images correspondant à aiguilles de manganese dans quartz maroc
  14. bonjour comment peut on douter un seul instant que l'existence des dinos soit "douteuse" ??? Cela relève de l'ignorance ou du créationnisme , voire les deux! D'ailleurs sachez qu'il ne s'agit en aucune façon de "archéologie" mais de PALEONTOLOGIE ! l'(histoire de la paléontologie et les activités de clubs de géologues amateurs fourmille d'exemples de découvertes fortuites en matière de fossiles. Effectivement sujet épineux digne d'un acacia africain! Si vous doutiez un instant de l'existence passée et présente de dinosauria (je vous apprends peut être qu'ils ont survécu en s'adaptant et en évoluant en oiseaux), allez donc visiter les musées Français , Anglais, Belges, Américains du Nord et du Sud, Africains, Australiens, Chinois etc... bref documentez vous et vous verrez , ce sera une REVELATION POUR VOUS; Quant à nous , il y a des lustres que nous savons parfaitement ce qui est, ce qui a été, fossiles à la preuve matérielle avec la physique nucléaire pour les datations. Lisez, lisez, lisez, et apprenez , ça vous évitera de poser une question aussi "douteuse"! Pour la seule partie intéressante de votre intervention: "nous devrions (du moins les citoyens lambda) en trouver partout comme les ammonites ou les bélemnites ! j", je peux expliquer. Les dinosaures sont terrestres et non pas marins (ichtyosaures, plésiosaures, mosasaures etc ...). Il existe d'énormes quantités de roches sédimentaires d'origine marine parceque c'est en mer que se déposent essentiellement des sédiments. Les roches sédimentaires terrestres sont beaucoup plus rares, et encore faut il qu'est soient des bonnes époques (fin Trias, Jurassique ou Crétacé). De plus leurs affleurement comparativement aux affleurements de roches d'origine marine sont très rares aussi. Voilà donc les bonnes raisons pour la rareté des fossiles de dinos. Mais il arrive localement des exceptions comme à propos des "moutons du crétacé, les protocératops, en Mongolie dans le désert de Gobi, par exemple. Là les squelettes pullulent (ou les iguanodons à Bernissart en Belgique). à propos de "pourquoi les découvertes fortuites sont elles dues à chaque fois à des spécialistes et non de simple particulier ?" c'est une évidence mon cher Watson, la majeure partie des gens non initiés n'ont pas l'oeil exercé pour voir un fossile de dino parce que les découvertes se font surtout à partir d'un os isolé, fragmentaire, et quasiment jamais à partir d'un beau squelette entier exposé aux quatres vents, d'ailleurs dans ce cas, qui arrive, l'érosion s'est charger de l'abîmer au point de le rendre méconnaissable par le profane. Je vous conseille de vous rapprocher d'un club de paléontologues amateurs, ainsi que des musées, pour apprendre beaucoup de choses fondamentales que vous semblez bien ignorer. Pardonnez moi la rigueur de mon intervention, mais à la longue, nos oreilles finissent par être choquées, surtout par votre entrée en matière, car là non il n'y a aucun doute possible.
  15. ANDRE HOLBECQ

    Meteorite ?? Help

    galet roulé si la trace est rouge sur porcelaine dépolie pourrait être une hématite en galet
  16. bonjour, quelqu'un auraurait il une idée sur ce fossile léger et microporeux trouvé par un ami et qui me laisse perplexe? Merci!
  17. pas de danger ; pourquoi ? Pour avoir mesuré avec compteur Geiger l'équivalent , à un mètre de distance, les radiations se confondent dans la radioactivité ambiante. Attention aux poussières à ne pa inhaler ni ingurgiter! dans une boite étanche est donc vivement conseillé pour éviter les poussières notamment de la méta autunite, que l'on peut aisément mettre en évidence avec une lampe à UV GLO
  18. sur stromboli on rencontre rhydacites, andésites trachy- andésites, basaltes trachybasaltes. les rhyodacites uniquement sous forme de ponce les scories sont des trachy-andésites pour en savoir + voir pages 128 129 guide des volcans d'Europe de Maurice Krafft * Delachaux et Niestlé + planche de photos de roches volcanique p 28 Il est difficile d'identifier sans lame mince ou vue de surface à la loupe, au moins. Pour l'Etna trachybasalte essentiellement, ils constituent l'essentiel voir page 342*
  19. et pourquoi pas un "waterbloom" ? C'est en relisant cet ancien message que j'ai pensé à un gros coup de chaleur brutal et qui peut être répétitif, qui fait crever en masse le plancton, lequel peut être supposé présent vus les fossiles de poissons planctivores. Alors se produit une mousse qui asphyxie tous ce qui est en dessous, puis pourrit et donne une "marée verte" grosse productrice de H2S, qui finit le carnage. Voilà une nouvelle hypohèse vraisemblable que je soumets à votre réflexion...
  20. oui! merci! il faudrait aussi que d'aucuns se donnent la peine de lire de telles informations fondamentales! Bravo pour ce complément remarquable que je connais via le discours soutenu par une géologue lors du colloque de Bernissart.
  21. bonjour! je me suis mis en veilleuse pour raisons de préparations de conf en club, de sortie sur le terrain à Mons en Pévèle sur le thème des nummulites, etc... Je me contente d'avoir levé un lièvre, et vu le nombre de réactions, un beau lièvre !Simplement en partageant des interrogations qui me sont venues à l'esprit, avec, il est vrai, une tendance à supporter une interprétation d'un chercheur paléontologue de l'université de Mons, Mr Baele, qui me paraît intéressante, et sur laquelle j'ai réfléchi un peu ... Malheureusement les données pétrographiques et minéralogiques sont en cours d'études et pas encore publiées, d'où forcément des lacunes sur ce plan là. Donc normal qu'il y ait de la discussion, mais toujours en se souciant de tous les arguments évoqués, et si l'on construit une nouvelle hypothèse ne pas oublier d'éliminer l'autre hypothèse et même plus mettre cette dernière à l'épreuve et voir si elle tient mieux, et surtout s'il n'y a pas de hiatus. Il faut bien lire ou relire mes informations car je n'ai jamais dit : Si des sulfates remontent, comment ? Il devrait y avoir des sufates cristallisés L'anhydrite est cristallisée en profondeur, elle peut être plus vite que prévu dissoute par des eaux très chaudes sous pression, ce qui provoque des tassements affaissement, avec fractures; que par ces fractures peut remonter de l'H2S toxique et mortel même à faible dose, que sa présence est trahie par le soufre des pyrites omniprésentes en grande quantité dans l'argile noire. Revoir les formules chimiques que j'ai mises auparavant pour comprendre les réactions possibles. Gael ne veut aucunement tenir compte de ces observation, il ne s'explique pas sur ces faits constatés qui sont à l'origine de réflexions déductions intéressantes! Je ne vois pas e que tu prétends par "abus de reconstitutions de squelettes" ils sont disposés comme in situ , pour les gisants de Bruxelles! On a les écrits et dessins de Dollo de l'époque! alors de grâce , attendons les publications de Mr Baele et consors et on verra en détails si j'ai tort ou raison. Je me plierai volontiers à une démonstration argumentée scientifiquement si l'on trouve une autre explication. je ne vois vraiment pas ce vient faire un maar, qui est un cratère rond d'explosion volcanique, ici !!! Il n'y a strictement rien de volcanique à Bernissart!!! voir mes illustrations du 24 Mai fournies par le Professeur Baele. et justement le profil de ce cran n'a rien à voir avec celui d'un maar on le sait parfaitement voir les illustrations présentées précédemment!
  22. IGUANODON BERNISSARTENSIS QUADRUPEDE OU LE FINALISME AVANT L HEURE Très impressionnants ces Iguanodons de Bernissart dressés sur leurs pattes postérieures tels des kangourous géants. Le problème est qu’ils étaient essentiellement quadrupèdes, non pas bipèdes comme ils sont montrés à Bernissart et à Bruxelles. Il faut que je vous dise qu’à 7 ans, le petit garçon que j’étais, visitant le Musée Royal d’Histoire Naturelle de Bruxelles lors de l’Exposition Internationale, avait déjà eu la puce à l’oreille. En effet, habitué à observer vaches et chevaux à la campagne, j’avais déjà remarqué les phalanges unguéales des 2è,3è,4è doigts de la « main » de forme élargie rappelant la forme des sabots de nos équidés et bovins actuels. Comme tous les gosses, j’eus alors l’idée assez classique chez les enfants de demander à mon Père ; « on dirait qu’ils ont des sabots aux mains, alors pourquoi les mettre en position de cheval cabré ? » A l’époque (1958) il n’y avait pas encore dans un recoin, à l’étage, un exemplaire monté en position quadrupède ! Mon Père comptable de profession, m’avait répondu : « s’ils les ont mis comme ça, c’est qu’ils ont leurs raisons ! » L’art et la manière d’éluder quand on ne sait pas, mais que pouvait- il dire d’autre ? Même les paléontologues de l’époque ne contestaient pas Louis Dollo. Plus tard, élève à L’Ecole Normale, je formai mon sens critique et osait contredire quiconque dès que j’observais une erreur ou une faute, bien sûr en argumentant avec des faits. En 1980 le paléontologue David Norman publiait son livre dans lequel, 22 ans plus tard, je trouvais la « substantifique moelle » confirmant mon idée de gamin de 7 ans et surtout me donnait une foule d’observations et d’arguments réglant définitivement la question. Mes visites, entre temps, dans des Musées anglais, notamment Oxford et Cambridge apportèrent de l’eau au moulin, ainsi que quelques livres belges de G.E.Quinet, de Casier (1978), de P.Bultynck (1989) et enfin le mémoire de David Norman (1980). Pour en avoir discuté un jour avec Philippe Taquet qui me disait que Louis Dollo ne pouvait pas avoir fait du finalisme parce que ce concept n’existait pas à son époque, j’aurais quand même tendance à penser que, si moi-même, à 7 ans, je faisais de l’actualisme sans le savoir, puisque j’appris cette démarche paléontologique bien des années plus tard, on pouvait quand même concevoir, non pas historiquement, mais actuellement ou dans l’absolu, Dollo a bel et bien fait du finalisme, comme Monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir. Et pourtant, on peut même lui reprocher beaucoup plus en traficotant les montages de façon tout à fait consciente et volontaire, parce qu’il ne s’est pas tenu à respecter les découvertes des iguanodons gisants que l’on peut encore observer à Bruxelles. Précisément IB IRSNB 1561, dès 1905, révèle une colonne droite comme Dollo lui-même l’écrit : « des ligaments, muscles dégénérés, qui étaient destinés à donner une grande rigidité à la partie de l’épine dorsale qu’ils recouvraient, notamment à la queue.. » Les N° 19, 12,8,6,16 dans la vitrine des gisants montrent clairement des vertèbres caudales en connexion et une colonne vertébrale droite, certainement pas incurvée à l’extrémité. Je précise que ces ligaments ossifiés concernent de la 10è cervicale à la 20è caudale. Alors comment expliquer la courbure de la queue de l’exemplaire dressé sur laquelle on observe très nettement deux cassures de la queue avec en conséquence des épines neurales se touchant, ainsi que des écarts de dislocation vertébrales, des épines neurales se chevauchant . Evidemment l’anatomie crie au faux ! Et s’il n’ y avait que cela! D’autres observations imposent la quadrupédie : 1/ l’articulation de la tête en angle droit avec les cervicales est fausse car là encore il existe une dislocation bien visible , et le basioccipital n’est pas dirigé vers le sol mais vers l’arrière. 2/le ratio des longueurs des membres antérieurs sur celle des membres postérieurs. Si R<1,45 cela implique une quadrupédie et c’est le cas d’Iguanodon bernissartensis adulte (1,43). Notons que Iguanodon atherfieldensis avec 1,97 est donc bipède. On peut aussi penser que I.B. juvénile était plutôt bipède, en croissant il s’alourdissait dans la partie antérieure et finissait par changer son équilibre. 3/dans la ceinture scapulaire il existe un os supplémentaire , situé entre les plaques sternales et les coracoïdes : l’intersternal qui renforce cette ceinture qui supporte un poids lourd à l’avant. 4/la « main » d’Iguanodon bernissartensis est plus forte, moins longue, plus massive aux phalanges unguales élargies en forme de sabots et caractérise une patte porteuse. Les métacarpiens et les phalanges s’étalent et celles-ci sont tors, comme chez nos ongulés actuels. 5/ le poignet est constitué d’os soudés, il est massif, et correspond à une patte porteuse 6/ les os du bras sont bien plus forts chez I.bernissartensis que chez I.atherfieldensis ou maintenant appelé Dollodon bampingi. 7/ une célèbre piste d’empreintes de pas d’iguanodons anglaise associée à celles d’un allosaure démontre la quadrupédie avec des empreintes postérieures très marquées et des antérieurs un peu moins marquées. Alors pourquoi Louis Dollo s’est il amusé à faire de faux montages aussi grossiers ? A l’époque il fallait financer les travaux d’extraction et de montage des squelettes et pour cela impressionner le public et le faire venir nombreux. Dollo a pensé que tel un ours dressé apparaît plus menaçant et puissant, les iguanodons seraient beaucoup plus impressionnants en position bipède. Il a d’ailleurs travaillé en présence des squelettes d’un casoar et d’un wallaby. C’est tout simplement cela qui a guidé sa pensée à l’époque. Mais il savait très bien ce qu’il faisait, ce qui le différencie de Mr Jourdain qui, lui, faisait de la prose sans le savoir. Ceci dit pour répondre à une explication paternelle insatisfaisante, 59 ans plus tard… Et au nom du bon principe de réfutation et du sens critique indispensables en sciences.
  23. il me semble observer de petites vacuoles sur ces photos, d'où: ce n'est pas une météorite! Désolé. Aspect superficiel de galet roulé, en plus comme dit Kayou. et 3,9 de densité: très insuffisant! si c'est une siderite
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