Pachy

Bonjour weedh'atao, Merci pour la carte. J'y ai surimprimé le chemin à faire pour parvenir à cette carrière. En traits longs, en voiture. Sur un étroit chemin asphalté, ancien chemin de halage. En traits courts, à pieds. Environ 25 minutes... sans se presser. Effectivement, très jolis paysages et quartz abondant, taille pouvant atteindre des blocs décimétriques avec cristaux allant jusqu'à 10 cm. Les masses souvent laiteuses avec des cristaux de quelques centimètres (4 - 6) transparents. Pachy

Bonjour, Je suis du même avis. Déjà des tests chimiques aideraient. Pour Echassières, beaucoup de chances que ce soit un phosphate. Et aussi, sais-tu de quelle zone le minéral provient? Echassières et les Montmins, c'est la grande difficulté des déterminations de ces microminéraux. Parfois décourageant! J'ai encore personnellement bien des échantillons indéterminés... Pachy

Bonjour, Cumengeite, Deux regrets. D'abord d'avoir édité une photo protégée par copyright. C'est déjà regrettable! Mais surtout de l'avoir critiquée -et dénigrée- sans fondement quelconque. Et cela c'est inacceptable!! Et cela démontre une ignorance de la minéralogie de l'Eifel. D'autant que l'auteur de ces photos est un remarquable photographe!!! Pachy (José Dehove)

Bonjour, Mon avis. Il est souhaitable de n'éditer sur notre forum que des photos dont on est l'auteur. Exceptionnellement, et après avoir obtenu l'accord de l'auteur propriétaire du copyright, une photo figurant déjà sur un autre site est acceptable. Mais je le redis: après avoir obtenu l'accord certain de l'auteur détenteur du copyright. Et autrement, il y a toujours possibilité de signaler le lien http.... En ne respectant pas cette règle, on met en difficulté tant l'administrateur de notre forum que l'administrateur responsable du site où la photo a été éditée originellement. Et on l'oblige à intervenir à l'égard de l'administrateur de notre forum, qui plus est. Pachy

Bonjour, La carte géologique au 1/50.000e , FUMay, XXX-8, donne un relevé de tous les incidents principaux de la région de Monthermé. Et il y en a des km de filons de quartz -et autres- à inspecter... Pachy

Bonjour, Moi aussi je suis curieux de voir à quoi aboutit cet exercice. Autre curiosité: mes messages édités 5 fois... Bon, j'ai dû faire une fausse manoeuvre !!! Excuses. Pachy

Bonjour, Forcément, moi-aussi. Pareil pour tout le monde 'Geoforum'... Trop de connexions, Theo. Un quelconque rapport éventuel avec d'autres incidents invasifs début octobre? Merci pour tant d'acharnement à dépanner et bonne sieste encore. Pachy

Bonjour, La corrélation... Avant d'user de la corrélation, il faut se livrer à une analyse de système pour identifier les variables et paramètres en jeu. Or il y a ici une variable fondamentale, totalement indépendante de quelque autre : la profondeur z ! Et une variable dépendante T, température, laquelle est fonction de la profondeur, notamment. Mais elle est aussi fonction d’un certain nombre d’autres paramètres, notamment K. Sont apparus aussi au fil de la ‘discussion’, le rôle de la charge en eau, de la schistosité, de la radioactivité éventuelle, de la présence d’une intrusion… Et sans doute aussi de la nature du ciment dans le cas des grès, si ne n’est aussi de l’éventuelle porosité (creux entre les grains quartzeux) et la granulométrie… Si on représente T en fonction de z, comme la température augmente 'toujours' (sauf cas très très très exceptionnel) avec la profondeur, on obtient toujours des points présentant une forme d'alignement approximatif. Ceci serait supposer que les variations de T sont liées uniquement aux variations de z, alors que ces variations de T sont aussi liées aux variations de K (par une relation fonctionnelle). Mathématiquement, nous ne sommes pas en le cas d'une corrélation : une corrélation s'utilise entre variables non dépendantes qui statistiquement varient d’une manière qui paraît liée... alors qu'il est évident que T est fonction de z (il y aurait dès lors lieu à faire usage éventuel d'une droite de régression et non une corrélation). Corrélation : souvent il s’agit de deux variables en réalité dépendantes toutes deux d’une troisième non connue ou non mesurée… De plus, au premier examen, il faut rechercher non pas une régression linéaire simple mais bien une relation fonctionnelle de T en fonction de deux variables (z et K), voire d'autres variables (humidité, source d'émission de chaleur ou d'absorption - courant d'eau)... Qui plus est, nous sommes dans le cas d’existence de discontinuités certaines. Et donc certainement pas de l’ajustement à une simple droite de régression… ... Pour le gradient de température ‘moyen’, on fait usage d'autres méthodes mathématiques, moins sophistiquées et plus adaptées... En effet, on peut évaluer un gradient « moyen » de différentes manières. La plus simple étant de calculer un gradient ‘effectif’ à partir des valeurs ‘extrêmes’ de température et profondeurs. On peut aussi calculer une moyenne pondérée des 6 gradients en chaque couche, avec pour coefficient de pondération l’épaisseur des couches. Ou, et cela a tout autant de sens, calculer la moyenne simple des gradients, éventuellement en le faisant pour chacun des deux types de roches. J'arrête car il y a encore à dire… Pachy

Bonjour, Si on reporte les points sur un graphique représentant T en fonction de z, reliant les 7 points représentatifs successifs 'limites' de couches, deux à deux, on obtient une ligne brisée nette, avec des ruptures de pente nettes entre couches gréseuses et couches schisteuses, ce qui correspond bien aux calculs des gradients par quotient (Tn - Tn-1) / (Zn - Zn-1) n et n-1, indices des points limites. Pour le problème du rôle de la schistosité, une orientation privilégiée de la structure du schiste, il est logique que celle-ci joue un rôle. Et notamment que le parallélisme (ou la perpendicularité?) du plan de schistosité avec l'orientation d'un 'tube de propagation de chaleur' (identifiant à un modèle 'fluide') a son rôle. sans doute en favorisant la propagation de la chaleur (mais cela reste à vérifier, car de micro couches 'vides' pourraient aussi jouer un rôle d'isolant thermiqu!!!). Je suis par ailleurs intrigué par les fortes variations de K pour un même matériau. D'accord que l'orientation de la schistosité l'influence pour le schiste... tout comme sa compôsition exacte. Mais pour le grès??? Pachy Note: je rédige aussi une réponse pour l'inapplication de la notion de corrélation en ce cas.

Bonjour, Si on reporte les points sur un graphique représentant T en fonction de z, reliant les 7 points 'limites' de couches deux à deux, on obtient une ligne brisée nette, avec des ruptures de pente nettes entre couches gréseuses et couches schisteuses, ce qui correspond bien aux calculs des gradients par quotient (Tn - Tn-1) / (Zn - Zn-1) n et n-1, indices des points limites. Pour le problème du rôle de la schistosité, une orientation privilégiée de la structure du schiste, il est logique que celle-ci joue un rôle. Et notamment que le parallélisme du plan de schistosité avec l'orientation d'un 'tube de propagation de chaleur' (identifiant à un modèle 'fluide') favorise fortement la propagation de cette chaleur. Je suis pa

Bonjour, Si on reporte les points sur un graphique représentant T en fonction de z, reliant les 7 points 'limites' de couches deux à deux, on obtient une ligne brisée nette, avec des ruptures de pente nettes entre couches gréseuses et couches schisteuses, ce qui correspond bien aux calculs des gradients par quotient (Tn - Tn-1) / (Zn - Zn-1) n et n-1, indices des points limites. Pour le problème du rôle de la schistosité, une orientation privilégiée de la structure du schiste, il est logique que celle-ci joue un rôle. Et notamment que le parallélisme du plan de schistosité avec l'orientation d'un 'tube de propagation de chaleur' (identifiant à un modèle 'fluide') favorise fortement la propagation de cette chaleur. Je suis pa

Bonjour, Si on reporte les points sur un graphique représentant T en fonction de z, reliant les 7 points 'limites' de couches deux à deux, on obtient une ligne brisée nette, avec des ruptures de pente nettes entre couches gréseuses et couches schisteuses, ce qui correspond bien aux calculs des gradients par quotient (Tn - Tn-1) / (Zn - Zn-1) n et n-1, indices des points limites. Pour le problème du rôle de la schistosité, une orientation privilégiée de la structure du schiste, il est logique que celle-ci joue un rôle. Et notamment que le parallélisme du plan de schistosité avec l'orientation d'un 'tube de propagation de chaleur' (identifiant à un modèle 'fluide') favorise fortement la propagation de cette chaleur. Je suis pa

Bonjour, Si on reporte les points sur un graphique représentant T en fonction de z, reliant les 7 points 'limites' de couches deux à deux, on obtient une ligne brisée nette, avec des ruptures de pente nettes entre couches gréseuses et couches schisteuses, ce qui correspond bien aux calculs des gradients par quotient (Tn - Tn-1) / (Zn - Zn-1) n et n-1, indices des points limites. Pour le problème du rôle de la schistosité, une orientation privilégiée de la structure du schiste, il est logique que celle-ci joue un rôle. Et notamment que le parallélisme du plan de schistosité avec l'orientation d'un 'tube de propagation de chaleur' (identifiant à un modèle 'fluide') favorise fortement la propagation de cette chaleur. Je suis pa

Bonjour, En reprenant le sujet depuis le début et en calculant sommairement les gradients thermiques (dT/dz) en chaque couche, je suis interpelé par l'obtention de gradients quasi similaires pour les couches de grès (0,021 à 0.023) et de gradients très diversifiés, 0.045; 0.0135 et 0.09 (environ) pour les couches de schistes argileux... Sauf erreur de calcul mental. Par ailleurs, confirmation certaine que l'humidité augmente la conductivité thermique et les 'fuites', déperditions de chaleur. Pachy Réflexion à relecture: les couches de grès seraient-elles plus 'sèches' et homogènes? les couches de schistes imbibées d'eau de manières diverses.

Bonjour, En lisant tes données, par calcul mental, il me semble d'abord y avoir une anomalie pour ton schiste argileux entre 510 et 512 m... La relation d'égalité q = dT/dz . K n'y est pas satisfaite (et dans un rapport très élevé...). Sauf si je fais une erreur de calcul mental. A demain pour l'éventuelle suite... Pachy

Rebonjour, S'agit-il d'une donnée de l'exercice ou d'une hypothèse ou d'un calcul qui est tien... ce qui me semble d'après ta formulation. Pachy

Rebonjour, A la réflexion, il existe une littérature abondante sur la transmission de la chaleur en 'ingénieurerie'... pour les calculs de déperdition calorifique dans les matériaux de construction. Le modèle doit être applicable à ton problème. Autre objet de réflexion: travailles-tu en 'régime permanent'? C'est une donnée que ta courte introduction ne précise pas! Pachy Note: pas facile de répondre aujourd'huy, avec des coupures de transmission.

Bonjour, Variations du flux de chaleur... Je suis un peu surpris. Qu'appelles-tu exactement 'flux de chaleur' (la quantité de chaleur transmise par unité de temps et par unité de surface? si oui; quelle surface? surface 'horizontale' d'une sorte de tube de transmission)? Note: je ne suis pas du tout un spécialiste de la question mais les variations de flux m'interpellent; le flux en dynamique des fluides, par exemple, est souvent considéré comme une constante sauf à exitser des lieux d'apports ou de pertes). Le modèle des fluides ne pourrait-il être utilisé en le cas, l'inverse de la conductivité thermique étant un coefficient comparable à la viscosité des fluides?? Pachy

Bonjour, En voila une autre... (déjà sur d'autres sites). Origine: Emmelberg, Eifel, Allemagne. Taille du champ de l'image: 0,8 x 0,6 mm. Les prix cités me consolent de la crise boursière... Pachy

Bonjour, Resté silencieux sur le sujet, par contrainte informatique (oui... un rat, nourri au plomb, qui avait bouffé mon vieux câble de raccordement téléphonique -je n'invente pas), je réponds ce jour. J'ai entendu évoquer une forme de haine. En le cas, il s'agit d'affirmer et réaffirmer et encore, encore... une vérité établie scientifiquement. Il n'y a en cela aucune haine! André, en particulier, et bien d'autres 'forumeurs' expriment avec passion ces certitudes scientifiques. Pachy

Bonjour, Excellent site; en anglais. Parfois quelques imprécisions cependant lorsqu'ils donnent des localisations de gîte en coordonnées UTM ou longitude, latitude; situés parfois à plusieurs centaines de mètres, voire deux, trois kilomètres de l'endroit désigné. Pachy

Salut, Harjo, Je savais que tu ne résisterais pas longtemps au plaisir d'en 'poster' quelques uns... Pachy

Bonjour, Une curiosité plus qu'un bel échantillon, venant du Pic de Mourre Froid, vers 2750 m, Orcières (accès plus aisé par le sud, toutefois). Photo 120x90 mm. Une calcite qui a la particularité d'être fortement orange un peu rougeâtre en surface. Fortement altérée par les conditions hivernales extrèmes, également. J'ignore comment cette coloration s'est formée. Pachy

Salut Tenola et Orlean, Excuses pour cette confusion... Personnellement j'ai de vieilles dias du même coin et... cela n'a pas trop changé. Il est vrai qu'il y a eu ces trois ou quatre décennies précédentes un fort amoncellement de rochers et pierrailles dégringollant du haut de la montagne, ceci après une crue exceptionnelle vers 1960 (1957 je crois). Celle-ci modifia profondément les fonds de vallée du Haut-Queyras et particulièrement Aiguilles qui fut ravagé. Cette crue et les travaux d'aménagement ont fait longtemps référence. Et les crues de ce début d'été météorologique (fonte tardive rapide) ont sans doute purgé le ravin. Pachy

Salut, Tenola, Riou Sec dévasté... Les deux photos sont prises de quel emplacement? Du petit gué vers l'amont (effectivement tous les dépôts de cailloux ont disparu, en ce cas) ou deux cents mètres plus en amont?? Et de même du petit gué vers l'aval ? Pachy Commentaire après réédition: envoi en double exemplaire, par un mystère de l'informatique!