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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2025, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 25>29 juin 2025

BUT

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Tout ce qui a été posté par BUT

  1. Oui le secteur de Thurso est renommé pour sa richesse en fossiles : écailles, dents, poissons complets. Un niveau repère qui sépare les Upper et Lower flagstones est particulièrement riche. Dans le Caithness il sépare les Upper et Lower Caithness flagstones, et fut recoupé dans la grande carrière d’Achanarras qui a livré énormément de fossiles. Le même niveau affleure dans le Mainland Orkney sous le nom de Sandwick fish bed, et sépare les Upper et Lower Stromness flagstones. Ce qui a permis des comparaisons faunistiques. Osteolepis est présent entre autres. Un certain J. Saxon a écrit un livre sur les poissons des Caithness flagstones (1967). Curieusement le même auteur a publié sur la présence de fossiles de poissons anormalement radioactifs, alors que d’autres du même niveau ne l’étaient pas. Il conjecturait que la radioactivité pût être corrélée avec l’épaisseur de l’armure dermique...
  2. Isn’it? Du Dévonien à nos jours en trois paragraphes ! Certes j’ai sauté à pieds joints sur la dispersion façon puzzle du continent des Vieux Grès Rouges, aux quatre coins de l’Atlantique Nord. Mais cela aurait nui à l’unité du sujet; en outre le Bassin Orcadien ne fut que modérément impacté par ces péripéties. A part ça vous aurez remarqué le grand beau temps sur les photos : Mai est le mois le moins pluvieux en Ecosse, avec seulement dix jours de pluie.
  3. Pour conclure, le nom de la formation mystère : les Caithness flagstones. Ce sont des sédiments essentiellement lacustres, déposés pendant l’Eifelien dans le Bassin orcadien. Ils se présentent comme une alternance de lits de pélites, de siltites, de grès, avec des intercalations de niveaux calcaires et quelques niveaux volcano-sédimentaires. Le mot "flag" devant "stone" renvoit à l’aptitude de ces roches à se débiter en dalles minces (avec possiblement la même étymologie que le terme "flysch", dans un autre pays). Et en effet c’est en raison de son aptitude à fournir des dalles relativement minces, en même temps résistantes et de grandes dimensions (jusqu'à 5 mètres carrés), que cette formation était devenue la "pierre à tout faire" de la région : - dallages, - couverture de toit (lauzes), - clôtures en dalles dressées, - cloisons intérieures des maisons, stalles des bergeries et écuries, - sans oublier les meules et pierres à aiguiser. Leur utilisation comme dallage a explosé au 19ème siècle, avec une utilisation intensive des Caithness flagstones dans toutes les villes d’Ecosse, et dans une moindre mesure dans les villes d’Angleterre. La plus grande partie des dallages de Glasgow et Edimbourg, entre autres, provient du Caithness. Les dalles ont également été exportées dans le Commonwealth, en Europe, sur la côte Est des États-Unis et en Amérique latine. Puis l’extraction s'est effondrée au début du 20ème siècle, pour revenir à un usage local.
  4. Il y a deux acceptations pour le mot marbre : 1/ Dans le language courant, le mot désigne toute roche jugée décorative en raison de sa structure et de ses couleurs, et susceptible de prendre un poli miroir (à la rigueur un poli cireux), autorisant son utilisation en statuaire ou en décoration intérieure ou extérieure d’édifices. 2/ Dans le langage technique des sciences de la Terre, l’emploi du mot "marbre" est réservé aux calcaires, calcaires dolomitique et dolomies ayant subi un métamorphisme suffisamment intense. L’emploi du mot marbre dans sa première acceptation est tout à fait légitime dans un contexte non scientifique. Par exemple, si vous visitez la cathédrale de Florence, ou de Pise ou de Palerme, vous pouvez dire que l’intérieur est tout en marbre; même si, parmi la multitude de roches utilisées, il y a certes quelques marbres au sens scientifique du terme (le marbre de Carrare par exemple), mais aussi des granites et autres roches ignées, des roches volcaniques diverses, et même de l’albâtre. Quant à la roche ci-dessus, mon grand-père Pierre, tailleur de pierre de son état, l’eût appelée "marbre", et moi aussi. Maintenant si nous voulons jouer aux "savants", nous pouvons supputer - compte tenu du contexte local et des échanges précédents - qu’il s’agit d’une grenatite (et même une grossularite), parcourue de veines de pyroxénite, avec la possibilité que les plagioclases de cette pyroxénite aient été prehnitisés en partie ou en totalité (comme expliqué dans un des articles évoqués plus haut). Mais il faudrait des vues rapprochées du côté non poli pour mieux en juger; ou encore mieux une lame mince.
  5. Selon la région : cluse (Jura), clue (Provence), clusaz (Savoie; prononcer "cluse").
  6. On trouve facilement des galets éolisés dans les grès vosgiens. Ils ont souvent la forme d'un tétraèdre très aplati aux arêtes arrondies : la grande face reposait sur le sol, les trois autres faces formant une pyramide à trois pans aplatie. Mais il existe évidemment des formes plus compliquées, selon la forme initiale du fragment rocheux.
  7. Vue la taille des cristaux, aucune mesure d'angles n'est possible pour déterminer des faces cristallines. Une solution serait de faire faire une détermination des paramètres de la maille élémentaire sur un cristal, par diffraction des rayons X. J'ai participé autrefois aux reconnaissances et études géologiques et géotechniques concernant la centrale de Flamanville. A ce titre, j'ai participé au suivi des terrassements et aux relevés des fonds de fouilles, et j'ai vu pas mal de cailloux, ramassés par moi ou par mes collègues géologues, y compris en provenance des galeries sous la mer qui recoupaient des terrains plus variés que les fouilles à terre. Il y a vraiment beaucoup de minéraux, mais ils sont le plus souvent de très petite taille et ne se présentent pas souvent en cristaux idiomorphes bien exposés, et de ce fait ils sont difficiles à tester et à déterminer (sauf les grenats). Une manip. amusante: - Cherchez d'abord sur Mindat : Diopside / Search photos of Diopside / France / Dielette. Vous trouverez deux photos de cristaux qui ressemblent à certains de ceux que vous avez photographiés. - Ensuite cherchez : Grossular / ... / ... / Dielette. Vous trouverez quatre photos de spécimens associant Grossulaire et Diopside. Vous constaterez que les cristaux de Diopside sont très dissemblables sur les deux séries de photos. Etant donné que toutes ces photos ont été insérées dans la base par la même personne, j'en déduis qu'il y aurait deux faciès différents du Diopside. Et votre faciès "Tour de Babel" vient rajouter un peu de complexité.
  8. En effet, la deuxième série de photos provient de l'île de Mousa. La première série provient des environs de Scrabster en Ecosse (près de Thurso). L'ilôt s'appelle Clett Rock. Et les crevasses et tunnels dégagés - entre deux fissures verticales - par l'action mécanique des vagues en pied de falaise sont sur Holborn Head. La formation-mystère affleure dans le Nord de l'Ecosse, sur la plus grande partie des Orcades, et les bordures Sud-Est et Sud Ouest des Shetlands. Le dallage sous le musicien provient de cette formation (Edimbourg).
  9. En effet. les sections ne sont ni carrées ni octogonales, ce qui élimine a priori la Vésuvianite. J'avais cru distinguer des angles droits (parfois légèrement tronqués) sur certains cristaux allongés des photos 1 et 2. Non, que ce soit dans l'hypothèse Epidote ou dans l'hypothèse Diopside. Je sais qu'il y a beaucoup de localités à Madagascar avec l'une ou l'autre des deux espèces (quelquefois les deux). Mais elles sont pauvrement documentées dans les banques de données que je hante.
  10. Tout à fait possible. J'ai tranché en faveur de l'Epidote lors de ma réponse mais j'avais également envisagé le Diopside. Il est parfois difficile de discriminer entre ces deux espèces, qui toutes deux sont communes dans les skarns, toutes deux cristallisent dans le système monoclinique, et dont les palettes de couleurs (beaucoup plus variée pour le Diopside que pour l'Epidote) ont une intersection non nulle. En plus la dureté et la densité sont très voisines. En ce qui concerne les formes cristallines de vos photos, le faciès "Tour de Babel" est très rare pour l'Epidote, et je ne l'ai jamais rencontré pour le Diopside. Il est vrai que certains cristaux de Diopside présentent des macles multiples par accolement, qui leur donnent l'apparence d'un empilement de lamelles. Mais les lamelles empilées ont le même contour, et jusqu'ici je n'ai jamais vu des cristaux de Diopside avec de tels décalages entre les lamelles successives.
  11. Bravo! Le plus gros du travail est fait. En effet la formation à deviner est une subdivision des Old Red Sandstones (ou, pour reprendre la terminologie anglo-saxonne : un "groupe lithostratigraphique" inclus dans le "supergroupe" des ORS). D'autres indices ci-dessous. Un édifice de l'âge du fer construit avec et sur les roches de cette formation. Un peu de flore et de faune locale.
  12. Bonjour. Voici un nouveau Quoi? Où? Comment? Il s'agit cette fois de trouver une formation rocheuse qui a revêtu une certaine importance économique pour une région et même une nation européenne, de tout temps et en particulier au 19ème siècle, et jusqu'à la première guerre mondiale. Comme d'habitude d'autres indices suivront dans les prochains jours.
  13. Bonsoir Cela peut en effet être de l'Epidote, mais j'ai un petit doute. On pourrait également penser au Diopside ou même à la Vésuvianite. De fait cela manque de terminaisons : peut-être une terminaison est-elle visible en partie droite de la deuxième photo ? Comment se présentent les sections des cristaux, vues parallèlement à l'axe d'allongement ?
  14. Bonjour Sur la dernière photo (juste ci-dessus), il y a des cristaux d'allure octaédrique. Est ce qu'ils retiennent l'aimant ?
  15. Cette nouvelle photo montre une belle plage cassée en partie inférieure de l’édifice cristallin, qui n’était pas visible, en tout cas pas avec la même netteté, sur la photo précédente. Au vu de cette cassure on peut éliminer la Calcite. C’est probablement un feldspath en effet. Anorthite (calcique) plus probable qu’Albite (sodique), compte tenu du contexte.
  16. C'est le propre des skarns. Vous pouvez encore trouver (si ce n'est déjà fait) du Sphène, de la Scheelite, de la Molybdénite, du Diopside - Hedenbergite, de l'Anorthite, de la Lawsonite... La veine verte sur la photo 13, et les roches vertes des nouvelles photos ci-dessus (et des photos 27-28) pourraient bien être des pyroxénites. En effet, un trait caractéristique de certains secteurs du skarn autour du pluton de Flamanville est l'alternance de bandes de grenatites et de pyroxénites, ces dernières de couleur vert pâle à gris verdâtre. Ce trait est bien documenté, avec des photographies, dans l'article : "Le skarn à magnétite tardi-hercynien de Dielette (Massif armoricain, France)" par Eric Marcoux, Erwann Lebrun, Elsa Bages. Pour le cristal "Tour de Babel" l'hypothèse d'un empilement de cristaux tabulaires d'Hématite n'a rien d'extravagant, et fait partie des pistes possibles. Je ne l'avais pas envisagée à cause de la couleur et de l'éclat qui ne sont pas typiques de l'Hématite (un des étages de la tour semble même quelque peu translucide en vert huile d'olive, sur certaines photos du moins). Mais on peut tout à fait imaginer que l'éclat et la couleur de l'Hématite soient ternis et masqués par un enduit verdâtre. Il y a malgré tout une objection d'ordre cristallographique en défaveur de l'Hématite : les cristaux tabulaires d'Hématite sont hexagonaux, et tous leurs angles sont donc égaux à 120°. Or sur les photos on distingue un angle très différent de 120°. Bien sûr on pourrait à la limite l'expliquer par une cassure ou une croissance contrariée... Il existe un test décisif pour trancher la question : la trace de l'Hématite sur une porcelaine dépolie (non vernie) est de couleur rouge brun. Dans le cas présent, vue la petite taille des cristaux, ce test sera difficile à mettre en oeuvre. Peut-être faudrait-t-il casser une petite esquille de porcelaine et la frotter contre une aspérité du cristal. Mais à vrai dire ce serait grand dommage de prendre le risque d'abîmer cet édifice cristallin, qui - si c'est bien de l'Epidote - est un faciès rarissime. Personnellement j'éviterais. A fins de comparaison, je joins ci-dessous deux photos d'un spécimen Epidote - Grossulaire - Quartz provenant du skarn de Bozhi Hora, que j'ai eu la chance de récupérer. Voici également la référence d'un article ancien (1965) qui évoque la présence d'Idocrase (Vésuvianite) dans le skarn de Dielette : "Grenatite et Grenats de Dielette (Manche)" par François Dimanche et Pierre Tarte, Annales de la Société Géologique de Belgique, Tome 88, Bulletin n°5, Juin 1965.
  17. En effet, même certains rhomboèdres de Rhodochrosite sont ombrés en partie ou totalité d'une pellicule grise. Mais l'amas gris noirâtre qui se trouve sous le Quartz jaune, en bas à gauche de la première photo, me semblait potentiellement plus épais.
  18. Ou sulfure (Alabandite) ? Très joli spécimen quoi qu'il en soit.
  19. Bonjour Jolies trouvailles! Il serait utile de numéroter les photos, pour bien se comprendre lors des échanges contradictoires. Mes propositions: Photos 1-2 : Andradite-Grossulaire Photos 3 à 10 + 12 : principalement Epidote, avec en particulier un curieux faciès "en forteresse Vauban", ou en "Tour de Babel", que je ne connaissais jusqu'ici que sur le skarn de Bozhi Hora / Zhulova / Jezenik / Olomouc en Tchéquie. Voir les photos postées par Ales Tomek et Pavel Vyslouzil sur Mindat, pour la localité de "Bozi Hill" (Hora = montagne en tchèque / Bozhi Hora = Montagne ou colline de Dieu). Possible Diopside (?) en bas à droite de la photo 12. Photo 11 : probable Prehnite (espèce déjà attestée dans le secteur de la Gare Maritime); ou Opale ? Photos 13-14-15 : grenatite à gauche, Goethite-Limonite à droite. Mystère pour la veine verte au centre : microgrenatite ? (il me semble distinguer des microfaces losanges); pyroxénite ? Ou Prehnite microcristalline (en agrandissant la photo déjà zoomée sur la veine verte, on distingue vaguement, en bas à gauche de la veine, une structure rappelant les cristallisations de Prehnite "en fleur"). Photo 16 : possible Andradite, ou peut-être même Skiagite (variété ultraferreuse de l'Andradite ou de l'Almandin). A vrai dire je ne suis pas sûr de bien déterminer l'éclat : résineux-adamantin ou métallique ? Possibles cristaux d'Hématite sur la partie centrale du bord inférieur ? Photos 17-18 : possibles sulfures (Pyrite, Pyrrhotite, Pentlandite attestées localement...). Photos 19 à 25 : Grossulaire, avec sur certaines photos un faciès qui rappelle également celui du skarn de Bozhi Hora. Photo 26 : possible Feldspath ou Calcite ou Quartz tectonisé (voir dureté et réaction Hcl). Photos 27-28 : cornéenne (quasi quartzitique pour la photo du haut). Photos 29-30-31 : possible Vésuvianite (sur la dernière photo en bas à droite on dirait que la section est plus ou moins carrée), avec des grenats et des empreintes en creux de cristaux de grenat. Compatible également, sur la seule base de l'aspect visuel, avec Pyroxène, Amphibole ou même Ilvaite... Bref un vrai pucier; mais c'est ce qui fait le charme des skarns.
  20. Bonsoir La Serpentine contient souvent des inclusions de Magnétite, qui en principe sont stables; mais des cristaux de Magnétite peuvent "sauter" lors de la taille et du polissage, d'où la nécessité de colmater les empreintes en creux à l'aide d'un produit ad hoc. Les artisans n'ont peut-être pas ressenti la nécessité de colorer ce "mastic", si la pièce devait être finalement cirée comme l'explique icarealcyon. Sinon, la Serpentine peut également contenir des inclusions de divers sulfures qui ne sont pas toujours très stables une fois exposés à l'atmosphère : Pyrite, Pyrrhotite, Pentlandite, Arsenopyrite... Il pourrait s'agir d'inclusions de sulfures qui se sont oxydés en sulfates, ce qui s'accompagne d'un gonflement : dans ce cas les ponctuations claires devraient faire légèrement saillie, être friables et pulvérulentes, et sentir les cosses de batterie. C'est compatible avec la première photo (aspect "pustuleux" et granuleux légèrement saillant), mais pas trop avec la seconde (taches blanches parfaitement lisses et polies semble-t-il, sans désaffleurement par rapport au reste de la surface).
  21. L'encaissant, ce sont surtout les pélites permiennes et plus accessoirement les grès triasiques. La minéralisation métallifère se trouve dans de petits filonnets carbonatés subverticaux qui recoupent la roche hôte. Vue la faible épaisseur de ces filonnets (typiquement quelques millimètres à un décimètre), je ne sais si l'on peut parler de gangue. Il y a en effet de la Dolomie, de la Calcite, de la Sidérite et des termes intermédiaires entre ces trois espèces.
  22. Cette photo, c'est le spécimen qui est en vente en ce moment. Pour voir les autres, il faut faire une recherche sur "Clinozoïsite", puis sélectionner le filtre "Archive" et lui seul (ne pas sélectionner "Available" ni "Sold"), puis filtrer la localité progressivement : d'abord "Italy", puis "Piedmont", puis "Chiampernetto".
  23. Une piste possible pour le spécimen ci-dessus : la très discrète localité de Chiampernotto / Ceres / PIEMONTE, qui est une sous-localité du Val d'Ala. Localité ancienne, avec une veine à Epidote, Clinozoïsite rose et Diopside, qui fut détruite il y a un demi-siècle. Voir les commentaires associés à cette localité sur Mindat; avec un extrait ci-dessous : "Three main mineralizations have been evidenced in rodingites: - the clinozoisite historical site (see coordinates), located along the road less than 100 m upwards of Chiampernotto village. Pink clinozisite, epidote, diopside, and other minerals from this occurrence were described by Zambonini (1919). The outcropping mineralized vein was removed from the host rock in 1965. To date the locality is exhausted. - the albite-epidote-prehnite occurrence, located in the wood a few tens of meters upwards of the clinozoisite site (Maletto et al., 1976). - the garnet-perovskite-titanite occurrence, located in the overhanging valley (Maletto et al., 1976). Prospecting permits for talc and asbestos covered the territory of this valley from 1949 to 1970." Il n'y a pas sur Mindat de photos de minéraux de cette localité; mais on peut voir sept spécimens sur les archives de erocks-auctions.
  24. Bravo les darbons de perpétuer les traditions minières locales! Et bon courage.
  25. Je crois que nous avons déjà le verdict: c'est magnétique...
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