fifbrindacier

Il est certain qu'il est beaucoup plus facile d'en trouver des cassés, érodés, morcelés, abîmés, courants et difficiles à dégager que des entiers, déjà dégagés beaux et rares.

Une concrétion.

Tout dépend du poids qu'il fait : s'il est lourd pour sa taille, il est fossile, si non, il est récent.

Minéral ?

Le premier est effectivement un corail, le dernier, me paraît être de l'os.

Avec les nouvelles photos, je dirai que ça n'est pas une éponge.

Celle de gauche me fait penser à une éponge, il faudrait d'autres photos pour vérifier. Tu connais l'âge de tes fossiles ?

Non, désolée.

Sur Bennefraye ou les environs, est-ce que des pierres avec des trous ont été trouvées ? Celui-ci paraît avoir été percé en tournant. Mais je suis bien incapable de dire s'il a été fait par l'homme ou un organisme lithophage.

Chouette, bonne trouvaille car je suppose que c'est ton premier.

Comment est l'autre côté ?

Bonjour, pour la deuxième photo, je dirai à priori moule interne de terrier.

Merci @charo, c'est gentil. Méfiant, ça c'est sûr, même les faucons et buses se laissent approcher d'un peu plus près que l'Elanion. OK Manu.

Super tes photos, ton appareil a quelle capacité pour zoomer ? J'aurai fini de payer ma voiture cette année et je m'équiperai avec un appareil plus approprié pour ce genre de prise de vue car le mien n'est vraiment pas très puissant (x18).

Effectivement, on dirait bien du bois fossile.

Y'a du monde là-dessus !

Voici une autre photo du premier faucon que j'ai montré plus haut sur laquelle on voit mieux les ailes. J'ai retrouvé des photos prises l'an dernier et il y a deux ans : Deux Buses ou Bondrées Deux aigles qui se battent, près du mont Granier Le vol en Saint-Esprit d'un Elanion blanc Les mêmes grossies

Lampadocorys sp. Maestritchien, Pays Basque Stegaster Bouillei, Maestritchien, Pays Basque Les deux mêmes avec un Stegaster cotteaui auquel il manque une petite partie Loveniidae, Yprésien, Pays Basque

De très beaux oursins que tout ça, c'est vraiment sympa, surtout ceux avec leurs radioles. Ceux-là aussi sont sympathiques.

Oh, on va très probablement se croiser oui. Clermont l'Hérault est juste à côté de Cabrières et du Pic de Vissou, là, je sais qu'il y en a, mais l'an dernier nous ne sommes venus qu'une semaine, ça fait un peu court. Lodève et Graissessac ont tenu leurs promesses, j'ai trouvé de superbes traces fossiles micacées de Cruziana et Rusophycus au bord de la Dourbie, le marbre griotte du Pic de Vissou est bourré de goniatites et contient de beaux orthocones (mais il est plus dur que du béton) et aussi des minéraux, j'ai vu ailleurs des traces fossiles d'eau (glace, gouttes de pluie, ride de rivage), des traces de reptiles,

L'Hérault, c'est un département superbe, j'aime en particulier la région du Salagou où j'ai vécu plus d'un an près de Clermont l'Hérault. J'y suis retournée pour la première fois depuis plus de 20 ans l'an dernier, nous avons passé une journée entière avec @Kayou. J'y retourne cette année pour 2 semaines début Mai. Cette fois-ci je compte bien y trouver un trilo, contrairement à l'an dernier.

Oui, le fait de le mouiller fait ressortir des tons que l'on voit moins à sec, mais une fois séché, il reprend sa couleur normale.

Je dirai même plus : magnifique ! Elle avait le même comportement qu'un chaton : jouer à chasser en se jetant sur les balles et les pelotes qu'elle faisait rouler avec son bec, rechercher le contact tactile et de la compagnie, mais en présence d'une souris plus personne n'existait ; la différence avec le chaton c'est qu'au lieu de se coucher sur nous, elle enfouissait sa tête sous mon aisselle en poussant un soupir très humain et puissant. Je me suis toujours étonnée qu'un si petit corps puisse produire un son aussi fort.

Il y a au moins un couple qui niche sur un chêne de la commune où je vis en Chalosse, dans le sud des Landes. A la mi-novembre, ils étaient 4 et je pense que le couple était avec 2 petits : Je me promenais et vers le groupe de chênes où on voit habituellement le couple (du moins au moins 1 sur les 2), il y en avait 4 qui se sont mis à pousser un cri d'alerte et se sont réfugiés au sommet de l'un des chênes. Etant donné que l'on n'en voit plus d'un à la fois qu'à de rares occasions au printemps, j'en ai conclu qu'il s'agissait du couple avec 2 petits. J'ai un livre sur les rapaces d'Europe, de Paul Géroudet édité chez Delachaux et Niestlé en 2000 (ça commence à dater), dans lequel il est stipulé qu'en Espagne il pond de fin Février à début Mars, que l'incubation dure jusqu'à 28 jours et qu'ils quittent le nid jusqu'à 35 jours plus tard. Mais à la page suivante il est dit que la durée d'incubation et l'élevage au nid sont inconnus. Sur le site http://oiseaux.net, (qui a me semble sérieux), il est précisé qu'il peut y avoir deux couvées, donc, j'ai peut-être vu les petits de la deuxième couvée ? Cette année il y en a au moins un qui a passé tout l'hiver ici. Ce dont je suis sûre, c'est qu'avant, mais rapaces préférés étaient la Chouette effraie, la Chouette chevêche pour les nocturnes (quoi que la chevêche…) et l'Aigle et le Milan royal pour les diurnes. Ces 2 derniers sont toujours en tête de liste, mais l'Elanion et son élégante livraie les a nettement détrônés. Je l'ai placé en tête des rapaces avec la superbe effraie et la rigolote petite chevêche. Je peux le dire maintenant, il y a prescription : des enfants nous en avaient amenée une tombée du nid, on l'a nourrie, joué avec elle (pelote de laine, bout de ficelle, balle de ping-pong, tout ce qui roulait ou bougeait, elle essayait de l'attraper avec ses serres ou son bec), incitée à attraper des proies vivantes pour qu'elle sache chasser toute seule et laissée en liberté complète. Elle nous a quitté une nuit, un vrai crève-cœur, elle a "tourné" autour de la maison une quinzaine de jours sans qu'on lui donne ni à manger ni à boire (on entendait les oiseaux donner l'alerte), elle avait donc réussi à se nourrir seule.

Un autre Faucon Elanion blanc