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Bonjour Michel, La willemite est réapparue l'année dernière sous deux faciès : prismes hexagonaux et billes. Je joins une plage de billes et un groupe d'individus avec un faciès chou fleur récolté en 2010 environ.

En parlant de willemite, voici ce que donne une photo avec des poussières sur le capteur. Une autre sans poussière.

Bonjour à tous, En cette période de confinement où il ne reste que ce que nous pouvons imaginer, voici un fil qui peut aider à voyager un peu dans le monde des cailloux : https://cmmcolomiers.blog4ever.com/articles/sorties Bonnes lectures,

Gaeldeploeg, un grand merci pour cette thèse qui manquait à ma bibliographie.

Bonsoir Serge, Je confirme la présence de corindons dans tous les fossés de drainage ou de bord de route et les rigoles dans un périmètre défini. Je n'ai pas sauté la Sioule pour connaître les limites de ce côté là. Un mot pour te dire que le plus long trouvé mesure 11mm mais c'est un fuseau. Si j'exclus ceux qui ont été déplacé par l'érosion récente ou le travail des tracteurs, ils se trouvent tous dans un niveau alluvionnaire assez facilement reconnaissable. Ce niveau a été très bien décrit par François PERINET. Concernant les 2 ruisseaux du château du lac de Bort les Orgues, leur visite est un vieux projet ........ qui n'a pas abouti jusqu'à aujourd'hui. Un jour, peut être, lorsque je serai à la retraite ........ Une excellente fin de journée,

Bonjour à tous, L'origine volcanique des corindons du Sioulot ne fait aucun doute si l'on en croit les inclusions bien visibles dans certains d'entre eux. Au temps jadis, j'ai pris une semaine pour essayer d'en connaître la provenance. J'ai prospecté le Sioulot à la batée de la confluence à la source. Les saphirs se cantonne dans le périmètre d'un paléo-lac aujourd'hui disparu. Disparue aussi la coulée qui les renfermait. Il ne reste qu'un énorme placer de plusieurs dizaines d'hectares dans lequel on trouve ces fameux corindons dans la couche formée par les alluvions lacustres. Dans les batées réalisées en lit vif, il y a beaucoup d'hématite, d'augite, de grenat, de zircon, de quartz, ............. sans qu'il soit possible de savoir avec certitude de quelle coulée ils proviennent. La présence de quartz indique la provenance de minéraux du socle cristallin.

Oui mais un message me dit que je ne peux pas envoyer de message.

Bonsoir Serge, Je comptai t'envoyer un mot mais le forum ne le permet plus te concernant. Aurais-tu une astuce pour que ce soit possible ?

Bonjour Mac gyver 12, Si j'avais su que tu y étais dimanche, je serai venu t'y rejoindre. Tu ne devais pas en être loin car c'est la bonne roche.

J'ai vu ce sujet. Les mines du roi Salomon ne lui appartenaient pas. Il prélevait un tribu pour la protection du peuple qui les exploitait. Donc la logistique propre à la production n'était pas son problème.

Ou de La Legrie 12.

Pour faire rêver

Joli compte rendu très vivant comme je les aime.

Bernard Bouissac est d'Agde. Va le voir et demande lui s'il peut te prendre sous son aile. Outre le fait qu'il est un charmant garçon, il est artiste peintre et tu ne devrais pas avoir de mal à le trouver (Mairie,....). Sinon il doit bien y avoir un club à proximité.

Bonsoir Michel, C'est de l'aurichalcite. La devilline ne ressemble pas à ça.

Fred, je change (temporairement) de sujet. Tu parlais, au-dessus de la Mongie, de fentes dans les barègiennes tapissées de chabazite et de (peut être) thomsonite faciès mésole. Après analyses, c'est de la stilbite. Mes 10 cents,

A priori, machin ZI et truc avec ? -> zircons. Pour ce que tu as indiqué SA -> peut être quartz (mais sur photo, ce n'est pas facile). Est ce assez gros pour faire une dureté ?

Sur un autre forum

Alors celle là, il fallait oser la faire

Et pour le texte, on dirait du Nostradamus

A ma connaissance, il n'y a pas de phosphate à Laguépie. Mais la limonite est fréquente. On en trouve en petits oursins dans les filons à cuivre.

Un panorama du port de Lherz. Avec une surprise, un troupeau de bestioles que je n'y avais encore jamais vu. Une invasion peut être ? Le temps devient franchement menaçant aussi je décide de rentrer à TOULOUSE. Bonne lecture.

Après avoir tapé (un peu, beaucoup, ................. Le schiste qui la renferme est très silicifié et il faut vraiment gagner les 3 ou 4 petits blocs que j'ai ramené à la maison), je continue mon périple. J'arrive sur le parking du départ pour le port de Saleix. Ça sent le déconfinement. Des voitures et des motos partout. Je ne les ai pas comptés mais je dirai entre cent et deux cents. Vu qu'il y a du monde partout dans les bois sous la route, je continue sur le col d'Agnes. Je m'arrête pour inspecter la bande de calcaire brèchique au contact d'un massif d'ophite. Je trouve quelques blocs dont un de très bien cristallisé. Le minéral est inconnu (il n'y a pas eu d'analyse). Il apparaît noir sur les photos mais en fait il est vert sombre. Le ciel se charge de nuages d'orage et il fait sombre comme à la tombée de la nuit alors qu'un gros vent s'est levé. Je descends à l'étang de lherz. Panorama sous les nuage. C'est la pente est du col Dret.

Il y a un ruisseau qui se sépare assez rapidement en 2. Je suis celui qui descend du col. Dans son lit, il y a des reliefs de pegmatite et des blocs de calcaire dont certains sont bréchiques. La carte géologique mentionne 3 affleurements d'ophite. Je n'en ai trouvé que 2 mais la zone est immense et sous un couvert forestier. Les deux affleurements sont en pied de talus sous des buttes couvertes par un petit bois. Il est rapidement 14h00 aussi je redescends à la voiture pour aller casser la croûte à l'ombre (il fait beau et chaud). La matinée n'a pas été très fructueuse. Juste une zone avec un calcaire bréchique minéralisé. C'est assez petit et noir. J'ai prélevé avec parcimonie pour voir à la bino à la maison. Je décide de prendre le col Dret par l'est. Je remonte dans la voiture car, si à vol d'oiseau, c'est tout près, c'est très différent par la route. Donc, direction Aulus. Sur la route, il y a d'anciennes carrières qui ont fournies le matériau d'empierrement pour la route. Je les visite mais elles ont été ouvertes dans le carbonaté et à part de la calcite ................. Ah si, il y en a une qui est remarquable pour les ruches qu'elle contient : J'ai oublié les fleurs !!! Au col Dret, j'ai vu beaucoup d'orchidées : Il y avait aussi du "coton" des Pyrénées (j'ai oublié le nom de la plante). Bref, je suis dans la voiture quand soudain j'ai une terrible envie de pipi. Je m'arrête dés que c'est possible et .......................... C'est la première fois que je trouve de l'axinite à quelques mètres de la voiture dans un endroit où, a priori, elle n'a jamais été décrite.

Un petit compte rendu de sortie dédicacé à Paulytho pour qu'il sache à quoi il a échappé mais aussi pour apporter un peu de rêve à tous ceux qui n'ont pas pu sortir. Prise d'un bon bol d'air hier à environ 1500 mètres d'altitude avec une prospection d'un certain nombre de sites sur la FNP. Le premier d'entre eux est le massif de lherzolite d'Ercé sur la vallée du Garbet. Le massif de lherzolite. Un pied de talus. Une bande à dipyre avec pyrite au contact. Ce spot est assez peu intéressant car pas de zone de fracturation vue et couverture végétale importante. Le dipyre est gris bleuté et cataclasé. Le col Dret est à deux pas (de voiture) et donc direction ses pentes ouest par une piste qui vient d'être refaite (c'est presque une autoroute). Le terminus de la piste. La zone de prospection depuis le terminus. Le col Dret est sur la gauche de l'image.