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jjnom

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Tout ce qui a été posté par jjnom

  1. Rien qui ressemble à ça dans la région de Namur. C'est extra...namurien. Pour parler de présence ou absence de magnétite, oublier l'aiguille et utiliser une boussole. D'aucun pensent à basalte mais... y en a pas du côté de Namur. Pourtant, la couleur et la densité collent bien. Reste alors à savoir si il y a de l'olivine, des pyroxènes, des feldspaths plagioclases et si la texture est microlitique. Ca, c'est joli. C'est quoi, M'sieur Indi? La texture a l'air d'être microlitique? Et toutes ces petites grains gris clair? Bizarre, non?
  2. Photos 1 à 3: C'est bien une graine Photos 4 et 5: C'est une Mariopteris Et pour la dernière, j'ai de la peine à me faire une idée correcte car on a de la peine à voir l'attache des pinnules sur les axes
  3. 2 propositions: 1) bout de granite avec fissure emplie de quartz ou bord de filon de quartz. 2) gryphette58. Comme la schtroumpfette dans un monde très mecs.
  4. Apparemment le bloc n'a pas été trouvé en place. Transporté par les glaciers, un torrent, .... Dans ce cas, le lieu de trouvaille ne donnera pas forcément la réponse. Ce n'est pas une brèche mais un conglomérat puisque les éléments sont arrondis. Pas forcé de faire intervenir une rivière pour le "rondissage" de ces éléments . La mer peut générer ce résultat elle-même. Perso, je ne trouve pas que ce bloc a un un look très houiller. Une piste: Tester si les éléments arrondis sont calcaires uniquement. Des éléments dolomitiques peut-être? Extrait de la notice de la carte géol de Briançon (concerne le Jurassique moyen): "Dans les unités occidentales (Tête du Grand-Pré, Roche Gauthier, à l'Ouest de la crête de la Balme, 2e écaille de Montbrison, RocherJaune, crête d'Aquila), la série du Dogger est la plus complète. Elle montre de bas en haut : un conglomérat à galets calcaires et dolomitiques, une microbrèche calcaire, un niveau de calcarénite à nérinées, des calcaires noirs fétides en plaquettes très fossilifères (8 à 10 m), ..." Les stries sont probablement le résultat d'une l'érosion récente qui a mis en relief un litage originel. Une histoire possible: transgression de la mer bathonienne sur un Trias calcaire et dolomitique. Galets de Trias sédimentés dans le calcaire bathonien. Après la surrection alpine, érosion du calcaire bathonien et transport du bloc.
  5. Avec une telle densité, soit c'est une météorite Fe/Ni, soit c'est artificiel. L'analyse chimique aura vite fait de lever le doute. Les déchets de métallurgie ne sont pas forcément des masses métalliques. Voir scories et laitiers. Le test de l'aimant laisse à penser qu'il y a du fer en quantité significative mais pas que l'ensemble est magnétique. Pour ça il faudrait effectuer un test avec une boussole.
  6. jjnom

    Je tente ma chance !

    L'acide chlorhydrique seul n'agira pas sur le cuivre. Mais si on ajoute un oxydant puissant comme l'eau oxygénée, le cuivre va passer en solution et celle-ci prendra une couleur vert/bleu.
  7. Ah, ah,ah! légion romaine, bien sur. Bon, alors, ça raye le verre ou pas? Sans aller jusqu'à incinération et foyer, la meulière a souvent été utilisée comme pierre de construction...et à part certains éléments d'architecture comme les colonnes, les romains se fournissaient localement.
  8. jjnom

    Je tente ma chance !

    La réaction de l'eau oxygénée va dans le sens aussi du métal ou de l'alliage. La réaction de dissociation de l'eau oxygénée est catalysée par les métaux et notamment le cuivre. D'où un dégagement bien visible d'oxygène. En plus de l'eau oxygénée, il n'y aurait pas un peu d'acide chlorhydrique sur l'étagère? Ca deviendrait assez facile de caractériser la présence de cuivre.
  9. Le secteur ne semble pas avoir été intégré dans le plan risque carrières souterraines du département: http://www.moselle.gouv.fr/content/download/2051/14019/file/A5_RISQUE CARRIERES CARTE.pdf Encore un cas où le terrain est administrativement constructible mais ne l'est techniquement pas. Vont être surpris de la commune à la Préfecture en passant par le BRGM... Ce sont peut-être des travaux réalisés par les allemands entre 1870 et 1918 et donc pas de traces dans les archives françaises. Dans cette période, il y avait des fours à plâtre à Hoste-Bas.
  10. La notice de la carte géol du secteur de Gizay (86) mentionne la présence de meulières "sannoisiennes". Plus vraisemblable qu'une ponce volcanique (sauf dépôt anthropique).
  11. Ah, là, c'est OK. On ne l'avait pas encore vue cette commissure là... Ca marche pour Zeilleirina humeralis.
  12. jjnom

    Naturel ou pas ?

    C'est louche: la densité calculée a l'air d'être bien trop basse par rapport à ce qu'on voit sur la photo. Une mesure de densité et une cassure fraiche , svp.
  13. Ben, c'est juste que chez Z. humeralis la commissure frontale est quasi toujours rectimarginée (droite). Il est vrai que la forme de la périphérie de certains exemplaires fait penser à Z. humeralis mais si la commissure est plissée faut chercher ailleurs. Photos d'un livret de J. Hoeflinger sur les brachios du Malm d'Allemagne: Il semblerait qu'il faut dire maintenant Zeillerina. Du côté de subsella, il semblerait que le dernier nom de genre soit Habrobrochus (ça n'est jamais que le septième nom de genre qu'on lui attribue). L'espèce est franchement très variable en morphologie et la commissure frontale va de faiblement à très fortement sulcipliquée. Il n'est pas impossible qu'on ait affaire à diverses formes d'une seule et même espèce: H. subsella. Maintenant, la main passe aux spécialistes.
  14. jjnom

    Je tente ma chance !

    Bien vu. J'ai trop tendance à faire confiance et je comprends mieux la remarque de Zeolite maintenant. Problème au niveau de la densité ou des mesures, effectivement. Du coup, l'alliage de cuivre deviendrait impossible. Ceci étant, j'ai bien de la peine à reconnaître une roche au vu de la cassure. Ca pourrait être un bout de minerai de ...? Mais la photo est-elle fidèle?
  15. jjnom

    Je tente ma chance !

    De façon homogène? Y a t'il certains points qui rayent le verre et d'autres pas du tout? En majorité? La résistance (en ohms) d'une pièce rectiligne d'un matériau de résistivité ρ, de longueur (en mètres) et de section droite d'aire (en mètres carrés) vaut R = ρ * L/S Donc: mesurer la résistance avec l'Ohmmètre, la distance entre les 2 électrodes et estimer la section de matériau dans un plan perpendiculaire à la ligne unissant les électrodes. Ok si c'est une roche mais pas si c'est un alliage.
  16. jjnom

    Je tente ma chance !

    En matière de roche, je crois qu'il n'y a pas plus dense que l'éclogite qui plafonne vers 3,5. Pour les minéraux entre 8 et 10, il n'y a pas grand chose: Stolzite 7,9 à 8,3 Cinabre 8,0 Sylvanite 8,1 Cuivre 8,9 Calaverite 9,0 Uraninite 9,4 Bismuth natif 9,8 Mais le cuivre est dans la liste... Si c'est un alliage de cuivre, avec une mesure de la résistivité électrique, on sera vite fixé. Pour la dureté tester avec : dureté 3: calcite ou aluminium ou zinc ou cuivre (pièces de 1-2-5 cts) dureté 4: fluorite dureté 5: verre
  17. Si on a bien affaire à une Astarte... L'individu en photo n'est que partiellement dégagé et pourrait aussi être une Trigonie. R. matronensis pourrait bien être tombée en synonymie avec S. pinguis. Pour en savoir plus sur cette dernière: http://palaeontologia.pan.pl/Archive/1932-2.pdf
  18. C'est un peu rapide, comme commentaire. C'est surtout la difficulté d'identifier une espèce sur sa morphologie externe en photographie qui pose problème. Les spécialistes font aujourd'hui bien plus confiance à la structure interne (brachidium) pour se prononcer. Dans le Dévonien, les brachios et surtout les associations de brachios sont de très bons indicateurs en macrofaune. Mais pour différencier les espèces d'Atrypidés par exemple, bon courage. D'où le recours à la micropal.
  19. Bivalves pour 1-2-4 (empreinte de 2?)- 6 et 2-4 pourrait bien être des Astarte. Rhynchonelles pour 5 et 8 Gastéropode pour 7 Arc d'ammonite pour 9 Avec Astatarte, ça sent le Kimméridgien et les rhynchonelles pourraient être des Septaliphoria pinguis.
  20. jjnom

    Je tente ma chance !

    S'il n'y a pas d'erreur sur la densité, - on peut tranquillement écarter l'éclogite - vu la couleur, envisager un morceau de bronze
  21. Marnes de Saint Doulchard, Kimmeridgien sup et pas loin de la limite avec le Cénomanien. Terrain glaiseux parsemé de calcaire, ça va bien avec cette formation essentiellement argileuse avec quelques bancs de calcaires, connue pour contenir de très nombreuses coquilles d'un petite huître et ça ne cadre pas avec le Cénomanien qui est sableux. Pas beaucoup plus d'infos car cette formation n'est quasiment jamais visible, cependant d'après la notice de la carte de Bourges elle contiendrait 1 niveau à brachiopodes. Et donc gryph 58 et Terebratula subsella reviennent dans la course... Rien de neuf pour la seconde espèce.
  22. Bonsoir Le 58 se rebiffe! J'avais aussi pensé à subsella au premier coup d'œil. Après avoir vu la carte géol, je me suis dit que ça ne collait pas. On a le Cénomanien (moyen principalement) sur les Marnes de St Doulchard. Le Calcaire de Buzançais sous-jacent n'affleure que bien au Sud de Guilly, en-dessous de Fontenay. J'ai donc éliminé le calcaire à subsella pour cette raison. En outre Marco signale des ammonites alors que dans le calcaire de Buzançais, il n'y en a pas. Pour être certain, ce serait bien de préciser encore + la position du site: Partant sur l'hypothèse Cénomanien, je retire T. biplicata devenue Sellithyris cenomanensis. les plis ne remontent pas suffisamment loin vers le crochet et c'est un brachio du Cénomanien inf, peu représenté ici.On pourrait penser alors à Phaseolina phaseolina. (Ex Sellithyris phaseolina, ex Terebratula phaseolina) qui cadre bien avec Cénomanien moyen Et pour l'autre forme, plus ronde, une chose est certaine, ce n'est pas une Zeilleria. C'est bien différent de l'autre mais là, ça ne fait pas tilt. Va falloir creuser chouia à moins qu'un Cénomanophile passe par là.
  23. Enregistrer l'image sur le disque dur, ouvrir et zoomer. C'est uniquement un verre. Pas de biotite, pas de quartz. Certainement un témoin du passé industriel, probablement sidérurgique (scorie vitreuse), des secteurs de Denain et Valenciennes.
  24. Vu Infoterre: c'est du Cénomanien. Du coup,le type le plus allongé pourrait être Terebratula biplicata et l'autre un Cyrtothyris mais on va attendre les vues des commissures. Devrait y avoir un tas d'autres fossiles dans ces champs: bivalves, oursins, ammonites, etc...
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