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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2025, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 25>29 juin 2025

jjnom

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Tout ce qui a été posté par jjnom

  1. Ci-dessus ce qui était annoncé au début de ce fil. Apparemment la carte géol est correcte et on a bien trouvé la faune de l'Oxf. sup. au niveau du 2° site. A priori, si le 1° site est bien noté Oxf. moyen sur la carte géol, on pourrait fort bien se retrouver dans les couches de Birmensdorf (transversarium) Et Lacunosella arolica est bien typique de ce niveau. (Un brachio strati! Si, c'est possible!). Avec ses (seulement) 3 côtes dans le sinus, et sa taille, c'est très probablement L. arolica.
  2. 75 dans 89 mm, on ne sait pas faire grand chose, c'est certain. Côte Ouest, il y a Forintech à St Paul. Peut-être un conseil à obtenir de gens qui ont une expérience locale.
  3. Le risque avec les chaussettes filtrantes est que quasi toutes les fines soient arrêtées, constituant un matelas de matériaux très peu perméables. Ce qui fait flamber les pertes de charge et donc dégringoler le débit. A la limite, on peut arriver à des forages sans sable ni eau. En principe, quand on veut arrêter les fines du terrain, entre crépine PVC et terrain, on dispose un massif de gravier de granulométrie sélectionnée pour laisser passer environ 50% des grains du terrain. Après un pompage de développement, une partie du terrain, proche du gravier se retrouve débarrassée de ses fines. Les grains du terrain se disposent de telle façon que les plus gros (au contact du gravier) arrêtent les moyens qui arrêtent les plus fins. Maintenant, tout est question de vitesse de l'eau. Chaque forage a son débit critique qu'il faut ne pas dépasser. Au-delà, la vitesse dans le terrain est trop élevée et les grains se font embarquer.
  4. Ben, ça pourrait être ça:https://www.flickr.com/photos/supergrevling/5523936546/in/photostream/ ou ça: https://www.flickr.com/photos/supergrevling/6952456211/in/photostream/ selon un autre prospecteur du même site. Souci: Acrosmilia est un genre de corail solitaire. Un autre visiteur du même site:http://www.paleopixel.com/ImageBank/picture.php?/13393 Ca ne peut pas être Allocoenia: corallites de 2 mm de large. Bizarrement, le guide régional cite Stylina comme un polypier branchu mais ce genre présente toujours une forme de boule. Mélanges de pinceaux tous azimuts! Pour l'instant, Calamophylliopsis flabelum semble le candidat le mieux placé.
  5. J'ai les mêmes, du même coin. Le guide géol poarle de polypiers rameux Thecosmilia, Stylina, Calamphylliopsis, Allocoenia... et de colonies massives Placogyra, Pahygera, Brachyseris, Enallocenia...). Mais je n'ai jamais fait le tri parmi toutes ces possibilités. On est dans le Kimmeridgien sup.(zones à Eudoxus et à Beckeri). Le bloc ci-dessous fait environ 25 cm de long. Chaque individu a un "diamètre" inférieur ou égal au cm.
  6. Un nautile Cenoceras en 1 Une Ceratomya concentrica en 2 Une Trigonia en 3 peut-être T. pullus Un bivave myidé en 4 style Gonomya literata Une Pinna en 5 Une Pholadomya en 6 Ca sent plus l'Aalénien que le Toarcien.
  7. Voici ce qu'en disait ce bon Marcel:http://foreninger.uio.no/ngf/ngt/pdfs/NGT_42_II_514-532.pdf Pour l'exemple montré ici, +1 pour croissance en 2 temps: une auréole périphérique de ferro-magnésiens déposés autour du 1° cristal s'est fait emprisonner par la 2° séquence de cristallisation.
  8. Au vu de la 2° photo, Stigmaria. Pour faire simple, c'est une racine d'arbres du type Sigillaire ou lepidodendron. Les dépressions qui donnent l'aspect grêlé étaient le point de départ de radicelles. Il y a eu de petites exploitations dans le 44 dès le 17° siècle. On a du taper dans un tas de strériles pour constituer le remblai.
  9. Excuses à Yomgui. On est parti très loin des brachios du Bugey et ouvrir un nouveau sujet ne serait pas superflu. Toutefois, je pense qu'il faut se lancer en priorité dans la sauvegarde des CD kéké. Laisser pourrir un tel travail serait une honte. D'autant que les scans kéké n'ont rien à voir avec les scans textes de Google ou de Gallica. Et on sait tous qu'en paléo, un dessin ou une image de bonne qualité sont indispensables. Par la suite, on pourra faire le tri de ce qui est légalement diffusable ou non. Perso, je veux bien aider si je le peux mais il me semble que l'autorité et l'engagement d'un administrateur GEOFORUM serait un gage du succès de la "recollecte"
  10. A tout hasard..., j'ai contacté un administrateur pour avoir son avis. Au moins, qu'on reconstitue la collection des CD kéké avant que tous ceux qui en ont bénéficié les oublient définitivement dans un coin d'ordi. On aura au moins fait la sauvegarde d'un gros travail. On pourra ensuite les redistribuer sur plusieurs ordis volontaires et partageurs pour diffusion.
  11. Effectivement, la partie souterraine du bulbe d'un palmier ne me semble pas une mauvaise idée.
  12. Pfouh... tout ce travail et cette masse de connaissances qui est partie en eau de boudin. Si ça n'est pas du gâchis, comment on peut appeler ça? Quand on me demande 30 dollars pour le moindre papier qui n'est pas sur Google Books, Gallica ou Biodiversity Heritage...ça me hérisse de voir que la connaissance peut n'être qu'un produit marchand comme un autre. Reconstituer cette collection et la mettre à disposition serait un beau projet bien utile qui pourrait être relayé et mis en valeur par Geoforum. Maintenant il y a peut-être des soucis de droits d'auteur, d'autorisation à résoudre... Ca ne pourrait alors se faire qu'à la sauvage? Emule fonctionne toujours mais à part une liste des auteurs CD 1 à 142, on ne trouve plus trace des CD. Snif! Y a t'il un modo qui saurait gérer un tel projet?
  13. Re. Via Emule, j'ai beau rechercher CD 127 ou CD 400 ou CD412, je ne vois rien qui puisse correspondre. Y a un truc ou les CD ont été écrasés?
  14. Salut, Mr kéké. J'ai récupéré cette monstrueuse liste. Pour trouver son bonheur dans ces 842 pages, faut savoir manier la pelle (les bons mots clés). Mais une fois trouvée la localisation des pépites (n° de CD), comment récupérer le contenu d'un CD? Via Emule? Mediafire?
  15. Merci pour le lien qui va nous aider: Les formes et dimensions d'Acanthothyris cadrent bien avec A. lorioli signalé dans la zone à transversarium, mais peut-être pas seulement (Childs). Les photos de Rhynchonelles (sauf la toute première) cadrent bien avec les photos de Childs et les dessins de De Loriol pour Rh. rivelensis, qui est localisé au sommet de la zone à transversarium et à la base de la zone à pseudocordata (bifurcatus aujourd'hui). La carrière doit donc être proche de la limite Oxf. Moyen (transversarium, couches de Birmensdorf)/Oxf sup (bifircatus, couches d'Effingen). La première lumachelle à Térébratules se trouve dans les couches d'Effingen. C'est celle contenant D. prolifera. En outre, l'abondance de crinoïdes laisse à penser qu'on se trouve bien dans les couches d'Effingen (base de l'Oxf. sup). Je pense qu'on a maintenant assez d'éléments pour mettre les étiquettes. Reste à savoir si Rh. rivelensis est encore un nom valide.
  16. A voir les dimensions, A. lorioli serait le candidat le mieux placé. Il y aurait donc bien de l'Oxfordien sup (ex Rauracien, probablement la formation des calcaires lités). Mais, dans ce cas, ça pose souci pour R. rivelensis que Loriol place dans l'Argovien (Oxf moyen) Les 2 types de bestioles ont elles été trouvées au même niveau, en place? ou ramassées au pied d'un front de taille (qui pourrait recouper la limite Oxf moy/sup)? Ce serait bien de reconstituer les associations site par site et, si possible, niveau par niveau. Une localisation précise pourrait aider aussi (extrait de carte géol) Suis intéressé de récupérer un lien pour charger le doc Upper Jurassic Rhynchonellid Brachiopods From Northwestern Europe de A. CHILDS.
  17. Autre hypothèse: Beaucoup de mica (très brillante) + quartz (raye le verre) = micaschiste ou gneiss en provenance du Pelvoux.
  18. A mon humble avis, on n'arrivera à rien par photos. Le mieux serait probablement de contacter les habitués du secteur, sur Briançon: http://cbga.net/?aff=texte_article
  19. J'avais parlé de diorite car il m'avait semblé qu'il y avait des plages blanches sur la cassure fraîche. Là, c'est trop sombre pour une diorite. Le grain a l'air très, très fin peut-être trop pour une dolérite qui devrait nous laisser deviner quelques plagios ou pyroxènes au scan ou à la loupe. Là, on n'arrive même pas à dire si on a affaire à du grenu ou à autre chose. Curieusement, les photos de l'extérieur laissent deviner différents minéraux mais on ne voit rien en coupe. Et puis tout ça ne cadre pas avec le fait que l'échantillon raye le verre. Pas assez d'indices pour juger. Je jette l'éponge.
  20. Avec des photos comme celles de JF06, on peut avancer, ce qui n'est pas le cas avec les tiennes, je te l'ai déjà dit. Quoique la coloration générale de la cassure fraiche ne me semble pas incompatible avec diorite et granodiorite. Quand à l'aspect + ou - poli du galet, il suffit d'imaginer un transport sur une moins longue distance et que si roche différente, usure différente.
  21. Manque de chance, les brachios ont souvent une assez forte variabilité intraspécifique... Et, en plus, il n'est pas très évident de différencier Dorsoplicathyris de Aromasithyris qui sont 2 genres très proches: "Externally it differs from Aromasithyris in its more elongate form, longer beak, its less developed anterior commissure and less development of a median sulcus on the dorsal valve." Voir: Cooper 1983 The Terebratulacea, Triassic to recent Sur le critère forme plus allongée, j'aurais tendance à aller vers Dorsoplicathyris. Mais bon, sans garantie! Postes donc tes photos sur Brachiopoda (il y a là des amateurs plus qu'éclairés) et reviens avec les réponses Toutes ces Térébratules sortent du même niveau? L'impression que la 1 sort d'un niveau différent.
  22. Je pense comme Bathollovien. Calcaire concrétionné par endroits genre stalactites. Ca fait bien penser à un travertin avec une empreinte de bois.
  23. Bon, admettons que le volume de 11,7 cm3 soit le bon. Une densité à 2.8, ça exclue péridotite et gabbro mais nous renvoie encore vers beaucoup de choses très communes sur notre planète. Par exemple, une diorite. . . Rien d'extraterrestre dans tout ça.
  24. Bon. Faut éclaircir. La variolite est un type de basalte. C'est en fait une cristallisation particulière qui a lieu dans l'enveloppe externe des pillow-lavas, au contact de l'eau. Typiquement, il y a formation de boutons blancs constitués de cristaux de feldspath. Et quid de ton calcul de densité? A vérifier. Pour les propriétés magnétiques: la roche est-elle capable d'attirer une aiguille? Ce qui voudrait dire qu'elle est riche en magnétite
  25. Si on comprend correctement, le niveau d'eau du récipient monte de 6 mm quand tu immerges la roche Donc, le volume du caillou est de 25,1 cm3 et le poids 33.2g. D'où une densité de 33,2/25,1 = 1,32. Pour le coup, c'est bien trop faible. Y a encore quelque chose qui ne tourne pas rond.
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