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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2025, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 25>29 juin 2025

quebequartz

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Tout ce qui a été posté par quebequartz

  1. Et quant à se promener, taillons de la route vers l'Estrie, à la désormais célèbre autoroute 55, près de Richmond... Un groupe de cristaux de quartz très corrodés, et quelque peu chlorités ! J'écris "corrodé", mais en fait il est fort possible que la chamosite présente dans la solution ait tout simplement empêché les cristaux de se développer normalement, hormis celui de gauche qui a visiblement maintenu son plan de carrière ! Bref, un spécimen intéressant de par sa forme et sa couleur. Trouvé en 1987... Le cristal principal accuse 7 cm de longueur.
  2. Et on repart vers le sud, une vraie girouette, dis donc... Retour à la carrière Mathers, à St-Eustache. Un spécimen de quartz, avec lamelles de barite à sa surface, et cristaux de dolomite attachés. Le quartz est enfumé, et de couleur brun foncé, et consiste en un fragment recristallisé... La barite est lamellellaire, voire fibreuse, donc pas vraiment cristallisée. Quant à la dolomite, elle est "ordinaire", soit blanche et en selles. Un spécimen de 9 cm de long, trouvé en septembre 2005.
  3. Bon, on revient à cette sériosité (!) qui nous caractérise... Une autre pièce de la cavité du lac Mathilda (voir post 479), de la calcite, cette fois. Un beau spécimen, presque transparent et au lustre résineux, et avec des faces légèrement arrondies. On note la présence de titanites (sphènes) sub-millimétriques en inclusion à la surface du cristal. Trouvé au même moment, donc en 1994, le cristal principal fait 42 mm de long.
  4. Ouahhhh, Eric, t'oublies une chose importante : résister à notre moustiquerie locale... Dès la fin du printemps : les "mouches noires", de minuscules petites pestes de 1 ou 2 mm, qui te tournent autour par dizaines, et qui font de petites piqûres, mais à répétition ! Elles peuvent te rendre fou ! Nos maringouins (moustiques) locaux sont moins voraces, mais bien présents et enquiquinants... Mais les pires, ce sont les "mouches à chevreuil" (ou à orignal, ou à cheval, on a le choix...). Qui mordent et partent avec le morceau de peau, tu vois le genre ? Je me suis donc équipé en conséquence : répulsif de marque Watkins, onéreux mais efficace... Et (quand il fait moins chaud, parce que par 30 degrés et plus, le polyester, hein...) survêtement en tissu anti-bibittes avec micro-moustiquaire faciale ! On ne rit plus quand la guerre fait rage !
  5. Hélas, Taratasy, la carrière Francon a fermé ses portes en 1984, donc voilà 30 ans ! Nous, les collectionneurs locaux, y avons accédé à quelques reprises par la suite, jusqu'à la fin des années 90, mais à chaque visite, on trouvait de moins en moins de ces rares blocs minéralisés qui avaient plus ou moins survécu à la désintégration atmosphérique. Inutile de préciser que la collecte était de plus en plus maigre à chaque visite ! L'excavation est utilisée par la Ville de Montréal comme dépôt à neige souillée, l'hiver, voire de dépotoir de matière sèche... La vidéo suivante, réalisée en 2005, donne une idée de l'état de l'excavation : http://video.tv5.ca/erosion-un-regard-sur-l-abandon/carriere-francon Et cette image satellite de Google Earth, prise le 14 août 2013, est elle aussi révélatrice : de l'eau, des arbres, et peu de roche accessible. Hélas. Snif.
  6. Tel qu'annoncé dans le post 479, une photo de la coupe de route du lac Mathilda... Le bas-côté de la route est inondé, comme d'hab...
  7. Pour le spécimen qui suit, retour en milieu grenvilien, avec la coupe de route en bordure du petit lac Mathilda, au nord-ouest du village de Lakeview. Une coupe de 200 mètres de longueur environ, très minéralisée, qui date du début des années 90.... Aujourd'hui, soit 20 ans plus tard, les éléments ont quelque peu défraîchi la face rocheuse, et elle est difficile à travailler en raison d'un fossé la plupart du temps rempli d'eau. De beaux spécimens de zircon rouge y ont été trouvés en 1992, mais ce gisement est disparu... Une photo de la coupe a été ajoutée sur un post à part, pour référence. En 1994, j'ai ouvert une cavité de 60 cm au pied de la paroi, et y ai trouvé un assemblage de cristaux de quartz et calcite, avec micro-sphènes. Sur la photo, un cristal de quartz gris et brillant, partiellement recouvert d'un enduit blanc qui rappelle fortement le kaolin durci de St-Rémi-d'Amherst. Son centre est légèrement incurvé et multi-faceté, ce que la photo ne mpontre pas, hélas. La matrice sur laquelle il repose porte aussi de petites calcites aux faces arrondies, un peu ternes. Le cristal lui-même fait 66 mm de long, et a été trouvé en 1994.
  8. Diantre, et fi !!! Tudieu, Jean-Pierre, que de viles calomnies envers moua ! Oser prétendre que quelques flocons empêcheraient le mordu que je suis de pratiquer notre merveilleux hobby ! Et Taratasy, à l'heure où tu postais sur ton état émotif "en sérieux manque de cailloux", je revenais d'une excursion à une carrière... Mais tu n'as rien manqué car elle a foiré, cette expédition ! Pas à cause de la neige, mais plutôt en raison de la pluie diluvienne qui s'est abattue hier... Une méchante flotte qui s'est insinuée dans les débris de surface où je voulais gratouiller énergiquement... Mais c'est à charge de revanche, je ne m'avoue point vaincu ! Je vais donc devoir poster de vieux spécimens, faute d'en avoir trouvé aujourd'hui... Donc, une calcite locale, de la carrière Mathers de St-Eustache. Un beau cristal jaune, bi-terminé, partiellement transparent, et à l'éclat résineux. Une terminaison est simple, et constitué de scalénoèdres, alors que l'autre extrémité est constituée de plusieurs terminaisons, dont l'une est clivée, hélas. D'autres petits cristaux, blancs ceux-là, sont enchassés dans les faces. Ce cristal de 56 mm a été trouvé en 1988...
  9. Pfffff... oser seulement imaginer qu'on puisse échapper une boîte d'oeufs, pleine de beaux cristaux brillants, non, mais... Mais, hélas, oui, çà arrive... es la vida, amigos ! On pleure un coup, et on redresse la tête pour faire face aux vacheries de la vie ! Voila ! Bon, heu, on continue avec le Grenville, et encore avec la localité de Laurel... Une autre fluorapatite, et de taille, celle-là. Je n'ai pu en extraire qu'un segment, et le reste est demeuré dans la veine de calcite orangée. Travailler dans un coin, c'est frustrant : y'a pas d'angle d'attaque pour le burin. Cette tête, donc, fait 8 cm de long par 6 cm de diamètre, et la partie visible du cristal faisait 25 cm... Bon, par comparaison avec les records du Grenville, c'est trèèèès modeste : j'ai vu une "tête" d'apatite de 700 kg dans un musée ! Donc, ma pièce, hein ? Mais la couleur et le lustre sont excellents, et je l'aime bien !
  10. Bon, MSH est le roi incontesté, mais d'autre régions du Québec sont aussi porteuses de cristallisations intéressantes. La "province (géologique) du Grenville" livre souvent des minéraux respectables, mais hélas souvent altérés. Une recherche sur Google vous éclairera sur le sujet. Le Grenville, c'est un territoire très vaste, qui englobe une partie de l'ouest du Québec, et de l'est de l'Ontario. Le spécimen qui suit provient des Basses-Laurentides, plus spécifiquement de la région de Laurel, Qc., où une série de coupes de route ont livré du matériel valable. Les minéraux fréquemment trouvés sont : fluorapatite, diopside, scapolite, sphène, augite, hornblende, etc... Alors, pour ce post, une fluorapatite bi-terminée, d'un vert éclatant et lustré, et aux arêtes bien définies bien que légèrement arrondies par les fluides météoriques. Elle fait environ 7 cm de long. La coupe de route d'où elle provient est modeste, à peine deux mètres de hauteur. Mais, une série de cavités dans de la calcite rose (typique du Grenville) y étaient présentes. Le site est brièvement décrit, et localisé, sur Mindat, sous : http://www.mindat.org/loc-127215.html
  11. Une fois cet élan d'enthousiasme calmé, c'est avec un esprit tout rationnel et scientifique que je poursuis, encore avec MSH ! Pas vraiment du beau matos, mais... Une analcime de 45 mm de diamètre, blanche et lustrée, aux arêtes vives, mais en bonne partie entachée d'une couche d'altération que je subodore d'origine manganitique ! En guise de minéral secondaire, des reliquats d'aegirine. Nombre de spécimens ont été découverts à MSH, avec ce genre de... saleté sur leurs faces. Dans ce cas-ci, çà ne se nettoie pas, la "saleté" étant incluse à la surface du cristal. Les pegmatites dites altérées de MSH en sont porteuses, au grand dam des collectionneurs. Je n'ai pas la date de collecte, hélas.
  12. Hé-hé-hé... oui, Xavier. Le pire, c'est que je redécouvre parfois du matériel que j'ai oublié avoir ramassé ! C'est un peu normal... Je pratique ce hobby de façon intensive depuis mai 1984, au minimum une sortie à toutes les semaines, 8 ou 9 mois par année. A vue de pif : 30 x 8 mois x 4 semaines = pas loin de 1,000 sorties ! Mais, en réalité, c'est bien plus que çà... Depuis ma retraite en 2007, je sors un minimum de 2 fois par semaine, parfois plus... Et même alors que j'étais en emploi, combien de journées de congé ai-je consacrées à ma passion ! La finale : je ne suis pas prêt d'arrêter, car mes partenaires et moi entendons activer le rythme ! Une chose est certaine : je ne suis pas le seul à m'investir à ce point... Tu connais sûrement d'autre collectionneurs aussi mordus. Peut-être même en fais-tu partie ! Quel hobby, non, mais, quelle passion !
  13. En La belle Province, les collectionneurs de minéraux consomment des oeufs en quantité industrielle ! Non, c'est une blague... Car en fait, nous sollicitons le concours des parents, amis, et collègues de travail pour amasser un stock des contenants, une fois les oeufs consommés. Ces boîtes font partie de l'équipement standard de tout collectionneur de bon aloi, et on les apporte lors des excursions, pour y loger les spécimens de petite taille. Les plus fragiles sont entourés de languettes de papier... hygiénique (!), pour éviter les chocs meurtriers ! Et une fois à la maison, on les utilise aussi pour entreposer les minéraux.... Pour ma part, au dernier décompte, quelque 650 boîtes d'oeufs pleines de spécimens étaient empilées sur des tablettes, au sous-sol... Je prends d'ailleurs plaisir à faire visiter mon antre à des gens qui ne connaissent pas mon hobby, juste pour voir leur air ahuri en zieutant tout ce fourbi ! J'ai annexé deux photos d'une boîte provenant de l'excursion de la cueillette d'arfvedsonite (deux posts plus haut).
  14. Bon, j'essuie mes larmes d'un revers de manche, et je poursuis avec le Mont St-Hilaire... Nostalgie, quand tu nous tiens... Cette fois-ci, un bon vieux minéral ordinaire, soit une calcite, ou plutôt un agrégat sphéroïdal de cristaux aciculaires très, trèèès fins, sur une matrice comportant aussi des cristaux millimétriques clairs de natrolite. La partie calcite fait 30 mm de diamètre. Rien d'exceptionnel, mais c'est un spécimen esthétique... Je n'ai pas noté la date sur la boîte d'oeufs(*) qui le contenait... quel oubli ! (*) Vous êtes intrigués ? Voir le post suivant !
  15. Jean-Pierre, la photo de la file d'attente sur le chemin de la carrière Poudrette évoque chez moi de bons souvenirs ! Mon record d'affluence au site, et on parle ici des années 89 ou 90, était de 73 véhicules ! La belle époque, quoi ! Mais ce temps-là est fini... sniff.... Bon, quant à évoquer ce passé, un autre p'tit chouïa de la carrière Poudrette... Une arfvedsonite mono-terminée, noire de jais comme d'hab, et d'un bel éclat, et qui porte sur ses faces d'autres arfvedsonites de petite taille, pour la plupart biterminées. Elle provient de la même veine que le spécimen du post 406, lequel, incidemment, comportait une erreur de date. Les deux cavités conjointes de la veine ont été excavées le 22 novembre 2003, et non en octobre. Ce qui explique le pourquoi des mains gelées, et nous travaillions avec des manteaux d'hiver ! Initialement ouverte par Gilles Hainault, nous (Jonathan et moi) avons aidé ce dernier à creuser la veine, qui se remplissait constamment d'eau glacée. Des centaines de spécimens d'arfvedsonite, qui allaient de quelques millimètres à quelque vingt centimètres, ont été cueillis. L'arfvedsonite était accompagnée de beaux zircons dipyramidaux et brillants, jusqu'à 18 mm de diamètre, d'aegirines fracturées, et de cristaux de natrolite jusqu'à 10 cm... Comme je disais : la belle époque, quoi !
  16. Hello, Jean-Pierre, Laszlo Horvath est un ami et un collectionneur fort respecté de la communauté minéralogique, et a effectivement écrit un bon nombre d'articles... Tu as dû lire celui du Règne minéral no. 71- Sept./oct. 2006, intitulé "Brookite et anatase à Saint-Pierre-de-Broughton (Québec-Canada)", que j'ai d'ailleurs eu le plaisir de traduire. Laszlo est aussi le modérateur qui approuve les entrées de sites pour le Québec, sur Mindat. Au plan personnel, c'est un chic type, et lui et son épouse sont de fins goûteurs de bons crus français !
  17. Les deux photos ont été prises à... Mont Saint-Hilaire, bien entendu ! La première, en 1992, alors que je me suis introduit dans une cheminée verticale de près de trois mètres de profondeur. Avant de m'y loger, j'avais d'abord relacé très serré mes bottes de sécurité, et mon partenaire me tenait par les pieds à la verticale pendant que j'extrayais des échantillons. Pas difficile pour lui, le grand homme que je suis fait 1,63m, pour un poids-plume de 52 kg ! Pour la prise de photo, j'ai écarté les jambes afin de ne pas tomber face première dans la cavité ! Quant à la deuxième, un cliché (horodaté, comme c'est utile !) de Laszlo Horvath, j'ai tout simplement fait ce qu'il fallait pour fouiller à mon aise cette énorme cavité à quartz fumé, albite, sidérite, et consorts. Système D, quoi !
  18. Yes ! Je ne suis pas le seul à aimer déjanter doucement ! Jean-Pierre et Xavier, le VRAI visage que les collectionneurs me connaissent est celui de la première photo. Mais quant à savoir si je serai un grand minéralogiste, je me suis occupé moi-même de ma postérité, en m'élevant un piédestal digne de moua, d'où je peux regarder de haut la plèbe admirative !
  19. Bon, l'impair étant corrigé, je poursuis avec du matos de St-Hilaire... Un autre pseudomorphe, aux arêtes vives cette fois-ci, de forme nettement octaédrique. Comme pour la plupart des pseudos de MSH, une analyse en labo n'a pas été effectuée, donc difficile d'identifier avec certitude la nature tant du nouveau minéral que de l'original. Mais à l'oeil, l'original pourrait bien être de la fluorine. Pour ce spécimen-ci, j'ai (ta-daaaammm !) une photo de la veine à quartz - albite - ferrocéladonite - pseudos d'où il a été cueilli, en 1994. Alors, voici une photo de la bête (petite, tout de même, car elle fait 35 mm de diamètre) et de son antre. Pour la postérité, à gauche sur la photo, un vieil ami, et à droite, moua !
  20. Oups... Jean-Pierre, j'y suis allé de mémoire, et je viens de réaliser que le nom de projet était "55/79.5", et non 80.5... Je l'avais nommé ainsi parce que la borne kilométrique identifiée avec un numéro était celle-là, un peu au sud de la coupe de route. Le ministère, par économie, avait mis des bornes aux 500 mètres, donc il y avait 79.5, 80.0, 80.5, etc... Pour être précis, mon projet aurait dû se lire 55/79.7 ! Pour qu'il n'y ait plus de lézard, voici une image Google Streetview de la coupe, avec la position de la veine de quartz. La coupe est du côté EST de la route, sur le tronçon qui va en direction nord, vers Richmond.
  21. Merci à vous, les amis... Partager une passion est un plaisir, vous vous en doutez bien ! Pour moi, c'est facile, je n'ai qu'à me rappeler de bons souvenirs et à les mettre en mots ! Et quant à jouer les pseudo-écrivains, je poursuis avec un spécimen rare : un pseudomorphe du Mont Saint-Hilaire. Ce qu'il est devenu, je ne le sais pas, seule une analyse en laboratoire éviterait une spéculation inutile (avec MSH, on ne peut jamais être certain !) Au départ, si on se fie à sa morphologie, çà ressemble furieusement à de la donnayite... On a souvent entendu parler de cristaux avec un coeur de weloganite recouvert de donnayite, et la photo semble justement montrer cela, avec une nette démarcation entre le coeur et la surface... Mais, bon, c'est MSH, hein, alors... Si c'était au départ une donnayite, sa taille est exceptionnelle, car seuls quelques cristaux ont atteint les 3 cm, comme celui-ci ! De mémoire, je l'ai déniché dans une petite cavité altérée, en juillet 1998.
  22. Jean-Pierre, dans le post initial de la série (431), il est précisé que je me suis stationné sur la coupe de route, à quelque 10 mètres au-dessus du niveau de l'autoroute... Ainsi perché, on pouvait difficilement me reprocher d'entraver la circulation ! Le plus drôle : il y a un agent de la Sureté du Québec qui est monté me voir en auto-patrouille, sur la coupe, pour me dire que je n'étais pas en défaut, mais qu'une automobiliste s'était plaint via son cellulaire qu'un reflet intense du soleil sur mon pare-brise l'avait momentanément aveuglée... A son air, j'ai bien vu que l'agent pensait comme moi que c'était une ! J'ai alors répondu à l'agent que je corrigeais la situation devant lui, en mettant une toile sur mon auto... "C'est ben correct comme çà, monsieur, je vous souhaite une bonne journée !", m'a-t-il lancé en souriant, avant de redescendre par le même chemin. Les agents de la SQ sont en toutes circonstances de vrais gentlemen !
  23. Et le 22 octobre 2006, enfin : ouverture de la cavité principale, et extraction des quartz enfumés ! J'ai revisité le site à plusieurs reprises par la suite, gratté ici et là, mais en vain ! Depuis, le site a été partiellement comblé par murs latéraux de débris qui se sont effondrés, hélas.
  24. 22 octobre... La photo montre la table de pierre du côté de l'autoroute (on voit la paroi opposée au haut de l'image). Sous cette table, des cavités secondaires livrent quelques cristaux de quartz hyalins.
  25. 14 octobre : la veine de quartz a été creusée sur un mètre, à la verticale. Debout, dans la cavité, la partie du talus où est posé le bac de plastique blanc dépasse mon horizon visuel...
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