S'il est vrai que l’avènement de l'internet et des sites de vente semble avoir largement contribué au départ d'échantillons français vers des cieux mieux argentés, j'avoue que ça ne me frustre pas trop de ne pas avoir les moyens d'acheter, une fluo du Mont Blanc, un Gwindel, une pyro des Farges, ou des fluos du Beix. En même temps pour les deux derniers j'ai eu la chance de récupérer un échantillon de chaque un peu par hasard et sans investissement immodéré. Pour les autres je n'en ai pas et ça ne me manque pas trop de toute manière ce qui me plait serait même à prix réduit inabordable pour moi.
Ce qui m'ennuie plus, mais c'est du à mes centres d'intérêt qui ne sont finalement pas vraiment la collection, c'est de ne pas avoir eu la possibilité de descendre au Burc (à un an près), aux Malines en exploitation (j'ai pu explorer une toute partie avant foudroyage), au Rossignol (un de mes grands regret)s, aux Redoutières, à Salsignes, dans le puits de Vézis (salutation à un de mes collègues qui l'a fait), à Cap Garonne ......., d'avoir loupé le déblais de Breziès (salut Evelyne !), la grande époque de Trimouns, de Quily (j'adore la cassitérite), les années 74 au Four à Puy St Gulmier...... Donc en fait les échantillons, c'est un peu secondaire pour moi, je crois que le terrain est plus important.
Si, en fait question échantillons, il y en a sur lesquels je bave comme un malade, les trucs de Pontgibaud d'Alain 69 et d'une manière générale toutes les pièces du post "pièces historiques"
Du coup je suis assez d'accord avec Ourso, sauf que pour moi, continuez à vous battre pour les classiques, je me contenterais du reste.
bonne soirée, Serge