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Bourse minéraux Sainte Marie aux Mines 2025, avec fossiles et gemmes.
Bourse minéraux et fossiles de Sainte Marie aux Mines (Alsace) - 25>29 juin 2025

AD.S

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Tout ce qui a été posté par AD.S

  1. Avec le tel. C'est pas mieux question qualité! elasmo. Tu remarquera que j'ai changé de table :-) Mais bon, comme le dit Kayou, sur un galet faut que j'oublie l'idee de connaitre l'age de la bête.
  2. Photo plus "lisible" quand j'aurai un APN sous la main. Avec une tablette je confirme c'est loin d'etre top.
  3. Bonjour, je viens de trouver une empreinte de coquillage sur un galet de silice provenant du dementellement des fallaises normando-picarde. Il me semble que c'est une coque. En regardant sur le web j'ai trouvé dans un doc qu'il etait frequent de retrouver ce genre de fossiles qui dateraient du pliocene/ quaternaire. Mais les falaisses datent du cretacé. Donc j'ai un doute. . . Help :)
  4. C'est vrai chiffre a relativiser : - presques 200 ans d'exploitation - plusieur points de prelevement sur la commune de Cayeux sur mer et du Crotoy de l'autre cote de la baie. Sur la carte geol. La zone de bas-champs (=terre sous le niveau de la mer - terrain gagné sur la mer) est tres visible.
  5. Depuis l'origine de l'exploitation je dirais (j'verifierai dans les dossiers) plus de 100 M de tonnes. L'erosion menant a la disparition de la RD 102 est une "exception" puisque le poulier engendre un phenomene de gain de terre sur la mer et non l'inverse. Ce phenomne exeptionel est dut a l'effet congugé des divagations du chenal maritime de la Somme (principalement) + grande maree (coef sup a 100) + tempete +effets de la trop grande frequentation du massif dunaire(tourisme) qui s'y trouvait et sur lequel la RD 102 avait ete construite (RD aussi appellee route blanche car recouverte de sable (transport eolien) regulier. A l'epoque de la construction de la RD 102 (par les allemands pour acceder a un blockhaus) il y avait 30 a 50m de plus. a la construction
  6. Concernant les phoques : http://www.picardie-nature.org/spip.php?article367
  7. ils ont un comportement specifique rien a voir avec le sable. Des etudes recentes ont ete mené pour tenter de mieux comprendre leur comportement. Les grandes phases de formation du poulier s'effectuent principalement par mer agitée: houle et vagues d'au moins 1m. euhhh non, cristobalite! je confirme et pas du verre. La cristobalite "naturelle" est elle aussi obtenue via "cuisson" de silice a plus de 1400 C. Il y a quelques gisements en france je crois dans le massif central
  8. Voici un post que l’on m’a « commandé » :) ; Comme je le mets dans la rubrique Géologie, je vais commencer par présenter le gisement et de son exploitation…. C’est un gisement unique en Europe car non seulement c’est le plus long poulier de galets mais aussi parce que le taux de silice de ces derniers est très élevé. (jusqu'à 98.3%). Au passage quelques infos sur la formation des silexs : http://craies.crihan.fr/?page_id=63 Historiquement (fin XIXe S.), le ramassage à la main des galets constituait l'une des rares activités industrielles de la Baie de Somme. Convoyés jusqu'au port de St Valery/S, ces silex bleus et blancs, de forme arrondie, étaient ensuite transportés par bateau en Grande-Bretagne, où ils servaient, une fois cuits, à la fabrication des porcelaines. Aujourd’hui, c’est toujours une petite extraction (ex : 220 000 tonnes par an sur le site du Hourdel) mais leur qualité exceptionnelle fait que ces galets ont toujours une réputation internationale dans les milieux industriels et leur extraction représente une réalité sociale : plusieurs entreprises de la région vivent du galet. Site d'exploitation principal Plusieurs types de produits découlent de cette exploitation: Les galets ronds, (produit rare trié et conditionné) sont commercialisés en tant que charges broyantes pour l’industrie céramique et du broyage de minéraux pour l’industrie feldspath, zircon,… La silice calcinée. (Calcination des galets). Provenant principalement des galets les plus bleus car plus riches en silice. A 1600°C les galets produisent de la cristobalite (200€ la tonne) utilisée comme Mat. 1ere de la faience mais elle sert aussi au polissage des métaux fins et aux enduits de préfabrication. A 900°C cela donne un produit de qualité inférieur (donc moins chère) utilisé dans les peintures. La silice crue broyée (inf. à 3 mm) sont utilisés comme charges minérales dans les peintures routières, les matériaux composites, les enduits, les colles, les sols industriels, la filtration/épuration,… . Les granulats et graviers ordinaires faits à partir des refus des catégories ci-dessus. Galet cuit et galet cru Les galets de l'estran sont d’une qualité bien supérieure à celle des galets des carrières arrière-littorales, ils ne sont pas altérés, n’ont pas subi de glaciation et ne sont donc pas sujets à fractures, c’est pourquoi les galets ronds destinés au broyeurs sont issus de prélèvements dans des cordons récents alors que les galets prélevés en mer n’ont subi aucune altération de surface et sont utilisés pour la calcination. L'exploitation sur l'estran a pu se poursuivre tant que le démantèlement des falaises fournissait la matière première le cordon. Les carriers vont donc bientôt stopper cette exploitation. Limitation actuelle (chiffre a vérifier/actualiserpour cette année) à 35 000 tonnes de galets par an. Mais les carriers on l’obligation d’en remettre autant dans la mer en aval (prélevés dans les terrains) pour remplacer les prélèvements. Rechargement Ce n’est pas réellement que la falaise qui ne fournit plus directement le cordon, mais les ouvrages (ports, jetées, centrales nucléaires…) qui ralentisse ou stop une grande partie de la migration de ces galets. L’arrêt des carrières n’est pas le seul problème provoqué : Inondations d’une partie des terres situées entre la falaise morte et le poulier et liées au décalage et à la fragilisation du fulcrum : Phénomene peu courant - création d'un nouveau "front" poulier ayant engendré une erosion cotiere - Route départementale 102 - enfin ce qui reste de la départementale 102 :) : pour aller plus loin : - sur Géoforum « le mystère des cailloux jaunes » : http://www.geoforum.... +galets +jaune - sur le poulier et les bas-champs: http://www.u-picardi...bds/inter-3.htm http://www.mgm.fr/PU...298/Dolique.pdf http://l.brenet.free.fr/baschamps.htm - sur les problématiques de la Baie de Somme dans son ensemble : http://www.u-picardi...m/bds/bds-b.htm Pour ceux qui prévoient un passage vers la Baie de Somme, n’hésitez pas à me contacter pour une sortie terrain (MP), j’y reste encore une bonne partie de cette année. Si quelqu’un a d’autres exemples de poulier (exploité ou non) dans d’autres parties du globe ..j’suis preneuse
  9. oups...oui s'était une coupe Je m'suis que "partiellement plantée " lol a+
  10. pour en finir avec ma démonstration voila comment je concevais la fossilisation dunaire dommage que mes hypotheses soient erronées ... sniff. j'interviendrai que peu maintenant dans ce post ...mes connaissances sont trop faibles pour vous aider sur ce type de sujet ...mais je continurai à le suivre ...bon courage et encore merci pour votre accueil.
  11. Pour en finir avec mon raisonnement ... que je consents "légé" vis à vis d'experts dans ce domaine ...voila pourquoi l'éolien me semblais fonctionner : Sauf s'il y a un relief qui bloque sont évolution - ici mon hypothese se portait sur le rôle des parois schisteuses non dégradées ; et que qui ici a mon sens collait bien ... puisque phenomenes rencontrés sur les dépots sédimentaires qu'ils soient fluviaux et/ou maritimes de remonté capilaire rapide - pour "fixer et protéger" les dépots éoliens. Tout à fait d'accord, la synthése d'éléments vérifiés sur site par des experts est la seule "vérité". Cependant même si les interventions "farfelues", comme la mienne, viennent intégrer le sujet (je suis pas la seule ...ouufff :) )... elles permettent aussi aux participants de tester des "méthodes de raissonnement" et donc un grand merci à ceux qui ont des compétences plus poussés pour leur patience educative et leur capacité à vulgariser. Celà permet d'amener les participants, comme moi, à une amélioration "méthodologique de démonstration" et à s'instruire. DONC UN GRAND MERCI A VOUS et à AlainR pour ce sujet que vous faites vivre sans tarir.
  12. fraises et framboises . . . Gadin, c'est pas la plus mauvaise des bases! miamm:)
  13. Oui - lie au fait que le schiste soit plus friable sur ce cote· c'est que de ll'hypotese. Pas vu le site. Reflexion basée sur mes souvenir sur la sedimentation dans les fleuves a debit variable et divagant. Et dsl pour le manque de rigueur en or-taux-graphe :) Sinon pour l'autre these : la dune du pilat culmine a presque 120 m donc pourkoi pas! bonne soiree
  14. les elements qui m'amene a etre en accord avec les indications de la carte geol : 1- vallee creee par erosion torentielle 2- dans un massif schisteux supposition de ma part : A-le ruissellement de ce torrent lorsqu'il est en eau se developpe sous la forme de chenaux en tresses (fluctuation des meandres, et de la localisation et forme des depots ce qui peut expliquer ces types de formation : photo1 pour comparaison (dsl j'ai pas trouvé mieux comme photo, mais le principe est la) photo 2 - A et B B-La vegetation actuelle arborescente n'etait pas encore en place donc grosse probabilité d'avoir des vents plus forts (la vegetation jouant actuellement un role de brise vent) et accentués et modifier par les variations rapide du relief crees par le torrent. Lors des periodes ou le torrent est a sec - le vent porte les elements les plus fin des depots sedimentaires et les plaquent le long des parois schisteuses abrutes et forme des dunes c'est ce qui explique a mon avis ce que l'on voit ici : photo 3 C- une premiere " dalle" de sedimentation c'est creee grace au ruisellement. Mais ce chenal a ete "abandonne" pour un autre -l'eau s'ecoule tjrs au plus simple - les premiers depot ayant cree du relief l' eau va contourner et creer un nouveau chenal qui va creser le pied aval de la premiere zone sedimentaire. Puis rebelotte, le second chenal joue sont role et depose une masse de sediment - chenal qui finira aussi par etre abandonne Et ainsi de suite. D - Jusqu'a ce qu'un "troisieme"chenal se cree au pied des depots du premier chenal et dont les depots avaient ete eux meme fortement erode au pied aval. Comme ce troisieme chenal erode la partie "fine" inferieur du depot et que la masse sedimentaire plus lourde se trouve au bord d'un mini gouffre (de l'erosion aval) alors c'est le principe de "la planche de bois placé sur des billes" -l'ensemble de grosse plaque sedimentaire du premier chenal glisse pousser par la force de l'eau exercee sur l'un de ses coté. Ce qui peut expliquer : -qu'a l'un de ces endroit tu ai cette inclinaison photo 4 s'il y a des depots grossier comme les cayoux que tu montrais au debut dans ces couches alors mon raissonement doit tenir la route) -mais ca expliqurai aussi que tu ai autant d'affleurements sedimentaires visibles : les nouveaux chenaux s'etant crees dans les premieres masses sedimentaires des anciens chenaux. En bref,pour moi c'est les phases successives humide (depot) /sec (eolien) repetees pendant toute la periode quaternaire qui ont cree "ce mistere" Apres ma vision est a relativisé - j'ai jamais vu le site et j'suis Ing. en Genie de l'Amenagement donc profils pluriels avec des bases en tout genre mouton a 5 pates que l'on colle dans les projets complexes pour synthetiser et traiter les donnees de multiples experts mais donc tres loin de pouvoir rivaliser avec eux sur leur specialité! geologue expert n'hesité pas a casser mon argumentaires :)
  15. Euhh...En fait ... on vient de me transmettre ce doc http://orbi.ulg.ac.be/bitstream/2268/32149/1/Sites%20calaminaires%202006.pdf il semblerai que j'ai dit une co***rie concernant Améria maritima puisqu'en belgique c'est un indicateur (pas du Cu mais Zn et Pb) sont air géo laisse supposer qu'elle peut aussi l'être en France. Pour ma part, je l'ai uniquement rencontré en milieu halophile pas reconnu metallifere. Vue régulierement sur d'ancienne vasiere de bas-champs-littoraux (baie de Somme - 80) ...Mais les vases ont peut-être une concentration de metal élévé (?) qui empecherai de faire la distinction entre une implantation par préférence halophile ou metallifere...la sédimentation maritime est-elle propice au stockage de métaux ? et l'Armeria peut-elle être en france un indicateur de zone metallifere (hors zone halophile) ? That is THE question :)... Pour les Belges, il semble que ce soit le cas. Ce doc souligne aussi le cas de la Silene, ses controverses et d'autres exemples de relevés terrains.
  16. dsl pour mon ignorance mais qu'est ce que tu entends par "Pierre à vipere" ?
  17. Bonjour à tous, je n'ai que survoller ce sujet passionnant ...donc dsl si les infos que je vais mettre sont des "doublons" Concernant les éolianites il y a ce lien qui me semble interessant : http://archive-ouverte.unige.ch/vital/access/services/Download/unige:708/THESIS dont voici un extrait du résumé de la these (en esperant que celà puisse aider) : "Les dépôts éoliens carbonatés sont fréquents le long des côtes arides et semi-arides actuelles exposées aux vents marins et adjacentes à une plate-forme carbonatée active. Ces dunes, souvent de très grandes dimensions, forment indéniablement une partie importante des accumulations sédimentaires présentes à la surface de la Terre. Des dunes carbonatées lithifiées, désignées sous le terme d’éolianites, ont été reconnues lors d’études de terrasses marines quaternaires, mais très peu ont été identifiées dans l’enregistrement fossile pré-quaternaire. Cette répartition stratigraphique particulière a amené certains auteurs à émettre l’hypothèse que ce type de dépôts ne peut se former qu’à des périodes glaciaires caractérisées par des changements eustatiques de grande amplitude. D’autres (e.g. McKee et Ward, 1983) suggèrent que la rareté des éolianites dans l’enregistrement pré-quaternaire pourrait être due aux grandes difficultés de reconnaissance de ces dépôts éoliens facilement interprétés comme dépôts de plateforme. Il est effectivement très difficile de différencier des carbonates des zones de shoreface et de foreshore des sables carbonatés dunaires de la zone de backshore sur la base d’études pétrographiques. La reconnaissance des éolianites est pourtant d’un intérêt primordial : ces accumulations représentent des indicateurs paléoclimatiques et paléolatitudinaux, et de tels corps peuvent former d’importants réservoirs aquifères et à hydrocarbures. Ce travail de doctorat se propose donc de rechercher et trouver des critères de reconnaissance des dépôts éoliens carbonatés, au travers de différentes méthodes d’investigation appliquées aux sables carbonatés actuels et lithifiés." " Cette analyse montre qu’il est possible de distinguer les environnements de dépôts littoraux en se basant sur la distribution des orientations des particules: les orientations des particules des sédiments subtidaux suivent une distribution unimodale (avec la plus grande majorité des particules en position horizontale), alors que les dépôts dunaires sont caractérisés par une distribution bimodale des orientations de particules (avec une importante quantité de particules se trouvant en position verticale). Ces observations ont été confirmées grâce à l’étude d’éolianites pléistocènes de Tunisie, de Sardaigne et d’Australie. La verticalisation des grains dans les dépôts éoliens carbonatés semble donc être un critère déterminant permettant la différentiation entre des dépôts éoliens et des sédiments subtidaux."
  18. [a verifier pour l'australie mais je crois que l'air géo de developpement colle] les espèces les plus représentatives du gradient naturel de contamination en cuivre seraient : Crepidorhopalon perennis, Crotalaria cobalticola, Gladiolus ledoctei, Haumaniastrum robertii, ... . C. perennis et H. robertii pour les plus hautes valeurs de concentration en cuivre du sol C. cobalticola et G. ledoctei pour les valeurs intermédiaires de concentration en cuivre du sol Pour l'exemple de l'Améria maritima au Zimbabwe, il semble que celà soit une exception liée aux capacités oportunistes de cette derniere. C'est avant tout une plante Halophile (plante en france typique des bas-champs littoraux) qui trouverai donc place au Zimbabwe uniquement sur les terrains chargés en sel ...de cuivre.
  19. Evidement. je pense que comme dans toute demarche de prospection, si l'analyse d'un element se fait hors contexte locale, elle ne sert a rien. J'aime bien la formulation utilise par Cedrick: " sont donc ici un guide de prospection indirect" photos super impressionnantes. Pour moi, l'indice direct c'est voir : un filon directement, un terril, l'entree d'une mine, . . . l'indice indirect : c'est la faune, flore, recit d'ancien,. . . Qui permettent de te raprocher de ce que tu cherches (une belle piece, meme plusieur :) ) Apres il y a aussi les "preuves imparfaites" (dsl c'est plutot des termes juridiques peut etre mal adapté pour le sujet ,mais) les recherches biblio, carte geol 1/50 000, . . . donnent des renseignements sur un site, mais sur le site a toi de trouver la belle piece ? Et comment . . . Chance? Pifometre? Ou . . . indices directs et indirects La "preuve parfaite" etant : j'ai un beau caillou :) !
  20. Vrai et Faux : Il y a différentes variétées de Silène enflée dont une spécifique dite Silene enflée calaminaire. Celle qu'on trouve "partout" c'est une plante communes en bordure de route est la variété commune (vulgaris) ...dsl je l'avait peut-être pas indiqué. Je reviens sur le sujet d'AlainR, sur lequel j'était peut-etre passé trop vite lors de ma premiere réponse ... Une chose est certaine, on ne pas pas faire de généralité et il faut toujours replacer son "analyse" géologique ou "analyse " botanique dans son contexte et l'adapter en fonction de l'échelle d'étude, du lieu, d'autres spécificités locales,... . Pour en revenir à ma Silene enflee calaminaire, remarquer sa présence dans un site où normalement elle n'avait pas sa place puisque le reste de la végétation du site etait orientée végétation calcicole (lié à une terre ne reflétant pas le sous-sol, pour reprendre les mots d'AlainR), là on peut l'utilisée comme indice - Sortir sa pelle dès qu'on voit une Silene calaminaire ou non ... euh ... tout dépend de l'objectif de résultat souhaité :) . Beau coin que le pays catalan ... mais la derniere fois que j'y est mis les pieds j'avais euhhh 12 ans ... alors apporter mes lumieres sur un coin qui m'est inconnu qu'avec des données "transposées" = aboutir à une analyse théorique non "transposable". Même si l'on peut apporter des pistes de recherche, j'pense réellement que les locaux sont mieux placés pour tirer des conclusions.
  21. http://www.sfecologie.org/regards/2012/05/23/r32-m-p-faucon/
  22. Il faisait ou ses prospections ? si c'est au Zimbabwe, il semble que c'est la Améria maritima qui signale la teneur élevée en cuivre des couches de tourbe cuprifère ; En revanche Améria maritima en france ca marche pas! En france je sais pas s'il y a une plante spécifique.
  23. euhhh...trop tard ... c'est déjà fait... et halde d'une vieille exploitation de plomb trouvée... ahh... galene quand tu nous tiens :) ! J'avoue qu'à l'epoque, ce n'est pas une prospection pour les mineraux qui m'avait menée sur le site (mais quand on peut joindre l'utile et l'agréable) mais lié à une mission d'analyse sur la valeur écologique d'un site qui ma fait découvrir que dans un coin de celui-ci se cachait quelques belles pieces. ..merci miss Silene. Beaucoup de nos sites de prospection, surtout concernant les mines, ont une grande valeur écologique (pas que pour les chauves-souris) , car les modifications générés par leur exploitation ont fait naître des biotopes particuliers qu'on peut utiliser comme indice de prospection qu'en on souhaite sortir des sentiers batus et très fréquentés. Mais, ami minéralogiste, je ne vais pas te jeter la pierre (dsl j'ai pas pu m'empécher), la botanique est peut-être une piste de prospection plus féminine que masculine ?! - j'aime bien les fleurs :) Si vous pouvez illustrer avec de beaux imprim.écran de G.Earth je suis preneuse.
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