VivienZ

Le trou peut-il être "d'origine" ? Attaque d'un prédateur, parasite, etc... L'animal meurt, et s'en suit ce qui s'en suit...

Merci, c'est une grande passion en ce qui me concerne ! Je compte bien enrichir ma collection. Ces spécimens ont le mérite d'avoir une conservation assez impressionnante.

Magnifique reportage, toujours trop court... Le squelette et la mâchoire au début, c'est juste à tomber par terre !!

Aaaaahhhhh ok, pardon, j'étais à des années lumières de mes nummulites, pardon... Alors non, ce morceau a été trouvé dans un marais. Sur la photo, en rouge ledit marais. En vert, les zones où j'ai trouvé des nummulites.

"Soucoupes", "lentilles" ?? Gael saurait me répondre pour la détermination de l’espèce ?

Je voudrais savoir si quelqu'un était en mesure de déterminer l'étage géologique de mon bois fossile cuisien ? A moins que ce soit le cuisien, l'étage géologique, mais comme j'y connais pas grand chose... Et aussi l’essence de l'arbre en question. Mais ça c'est peu probable je pense.

Merci ! Pour l'instant c'est tout ce que j'ai en bois opalisé de Coober. Mais je compte bien agrandir et enrichir ma collection. Les spécimens se font rares et sont par conséquent de plus en plus chers. J'aimerais aussi trouver des coquillages ou os opalisés, mais là c'est hors de prix... Mais j’espère quand même un jour trouver la perle rare.

Je présenterais dans ce fil les quelques pièces rares de ma collection. Peu nombreuses comme vous vous en doutez, mais néanmoins superbes (enfin je trouve...) On commence avec une crocoïte de Dundaï, Tasmanie. 5/4/2,5 cm La cristallisation enchevêtrée est top ! Diamant brut sur kimberlite Dimensions du cristal 0,6/0,4/0,3 mm La pièce de dos La kimberlite est une roche vraiment superbe, qui scintille énormément. Je ne connais pas trop sa composition qui m'a l'air assez complexe. Elle n'est pas vraiment gris-bleutée, comme le suggère les photos, mais plus vraisemblablement un gris foncé qui tire sur le vert...

Et de toute façon, une partie du parc de la Chesnoye (attenant cette "Montagne") est privée. Même si il n'y a ni flic pour surveiller, ni vigile, en théorie il est interdit de se promener dans les bois.

C'est vraiment sublime !

Le spécimen est impressionnant ! Mais tu sais, tu peux mettre plusieurs images par post.

C'est remarquable ! peux-tu faire des photos de la tranche ?

Magnifique !!

La Montagne est sans contexte un point fort de cette commune, mais il faut connaître les entiers pour y arriver... Je connais des raccourcis dont je garderais le secret...

C'est issu d'une collection Atlas, ou un truc comme ça non ?

Je ne suis plus sur place malheureusement, j'y retourne 3-4 fois l'an. Je ferais des photos soyez-en sûr. Et beaucoup des endroits de mon enfance, qui étaient alors à découvert, sont soit recouvert par une nature abondante et maîtresse, soit recouvert par des lotissements, etc... J'ai quand-même deux ou trois endroits en tête qui peuvent être encore intéressant.

Je te confirme que cette vue est celle vue du ciel de l'Oise. A gauche, du côté droit du fleuve (l'Oise), c'est Compiègne. A sa droite, Margny-lès-Compiègne. La grand étendue verte est bien la forêt domaniale de Compiègne. La petite tache blanche au sud du fleuve sur la gauche de l'image est la zone industrielle de Clariant (produits chimiques, javel, lessive...), et au sud de cette zone, c'est Cuise-le-Motte Voici une vue rapprochée du secteur de Cuise. Pour mon histoire de "charbon", c'est difficile à dire. C'est en veine assez petites, fines, de quelques dizaines de cm. J'en avais trouvé près d'un étang il y a des années maintenant. J'y suis retourné récemment, mais des branleurs avaient improvisés un coin camé, piqûre et coke... Vous imaginez ma déception (au passage, je me suis soulagé en saccageant leur autel de la plénitude...). Je n'ai à priori, jamais trouvé la moindre trace de pyrite dans les environs. Du gypse oui, très altéré... La zone était un territoire marin il y a des millions d’années, mais comme je l'ai dit, mais connaissances en la matière sont bien trop mince pour que je puisse y apporter quelque chose.

Les anciens appellent ça "du charbon". C'est noir, c'est dur, c'est anciennement végétale... Après, je ne suis pas une lumière sur ce terrain.

Sur Trosly c'est assez pauvre effectivement. Pour avoir plus de chance de ce côté la, il faut s’enfoncer et crapahuter aux travers des bois de Cuise jusqu'à la forêt domaniale de Compiègne. C'est plus ou moins escarper, mais avec de bonnes chaussures et de l'huile de coude, on peut trouver de petites merveilles. J'ai trouvé des fougères bien conservées, et quelques veines, vraiment fines, de charbon.

Je n'ai pas remarqué. Le sol est grossièrement présenté comme suit: Une couche assez importante de sable jaune à noir, une couche argileuse à dominante verte à gris foncé, et du calcaire.

2cm est un diamètre rare mais déjà rencontré. La coupe sur le lien est impressionnante !

Ce soir sur Arte à 20h45 http://www.programme...ute-de-l-ambre/

Les fossiles de mollusques et autres petits gastéropodes sont monnaie courante. Le pourtour de l'étang de Neufontaine et les bois de la Chesnoye (prononcer chènoi) en sont saturés. Il suffit de baisser les yeux. Les fossiles ne sont pas ma grande spécialité, et paradoxalement, Cuise et ses environs ne sont pas prolifiques en minéraux... On trouve beaucoup là-bas de roches, mais vraiment des murs entiers, constituées de petits mollusques je suppose, en forme de soucoupe de 0,5 à 2 cm de diamètre. je n'ai aucune idée de ce que c'est.

Merci à toi ! Un morceau de bois récolté à la lisière de Cuise-la-Motte et Trosly-Breuil. A l'entrée d'une carrière innondée (volontairement). 13cm/4cm/3cm

Les cuisiens tout simplement . La commune est bien Cuise-la-Motte, mais elle est scindée en deux parties bien distinctes (Google Earth sera plus clair pour ça). Cuise, et La Motte. La Motte se situant plus ou moins dans une vallée, et Cuise sur une butte (la motte...). C'est une commune chargée d'histoire, mais l'activité minière est inexistante de nos jours. Nombre de carrières pour extraire la "pierre blanche" (calcaire) offrent malgré tout des portes accessibles aux passionnées (et aux squatteurs aussi... ), mais ceci à nos risques et périls. La région, sablonneuse comme je le disais précédemment, est riche en silex. J'ai vu des bétails de plusieurs mètres parfois, intransportable bien sûr. J'y ai trouvé beaucoup de pierres taillées d’excellente facture et dans un état de conservation quasi-parfait ! Je posterais des photos pour prouver mes dires pour les plus sceptiques. La commune se situe à quelques dizaines de kilomètres de Chevrière, d'où de l'ambre de qualité exceptionnelle a été découvert récemment.