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Laurent GRANIER

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  1. Mon dernier livre sur une nouvelle théorie plus complète sur l'extinction des Dinos vient de paraître et est dispo sur Amazon US, GB, DE, FR, IT, ES. L’Effet « Domino » de l'Impact de la Météorite dans la Mer des Caraïbes et l’Explication de l’Extinction des Dinosaures par une Hausse de la Gravité(The Multi- One Theory : Domino Effect of Meteorite's Impact in Caribbean Sea (DEMICS) and the Explanation of the Dinosaurs Extinction by an Increase of Earth Gravity (EDEIEG)). La Multi-Théorie développée par Laurent GRANIER explique par un phénomène de "Dominos" des changements environnementaux, l'extinction des "Super Espèces" et parmi elles, les Dinosaures. Sa double théorie met en évidence une hausse de la Gravité expliquée par une augmentation de la vitesse de rotation de la Terre suite à l'impact d'une partie du météorite dans la Mer des Caraïbes, en sus de celui du Yucatan. Voici un extrait: La Finalité : la cause de la variation de « G » La cause primaire est certes l’impact du météorite. Nous l’avons démontré, une même collision énergétique (même vitesse pour une même masse), selon ses caractéristiques (impact, nature des objets - celle du « percutant » et celle du « percuté ») peut altérer différents facteurs fondamentaux, et générer différentes causes. Cette collision a souvent été considérée d’une direction quasiment verticale. Or, il y a beaucoup moins de « chance » pour que celle-ci ait été sur un axe perpendiculaire à la surface terrestre plutôt qu’oblique. Cela est la logique : il y a plus de valeurs angulaires que de valeur 90 °! Un impact peut être dans un axe parfaitement, ou proche de la perpendiculaire de la surface que sous deux options : sa trajectoire originelle est telle, ou sa trajectoire a été modifiée avant l’impact. Pour la première possibilité, la probabilité est faible sur une surface courbe (en deux dimensions), et encore davantage, sur une surface sphérique (en trois dimensions). Et pour ce dernier cas, il n’y a qu’un emplacement précis. Pour la deuxième possibilité, la gravité peut en effet modifier la trajectoire. Mais son influence est d’autant plus réduite que le ratio de la vitesse de l’objet par sa Masse est élevé. Un ensemble tel que la Terre a plusieurs vitesses extrinsèques conjuguées. Les voici dans un ordre d’importance énergétique, du plus « lourd » (insidieux- éloigné) au plus « léger » (direct- proche) : celle de son déplacement dans l’univers (sens général) celle de son déplacement autour du soleil celle de sa rotation Pour obtenir, sans un « trop » besoin d'énergie, un tel changement de « G », il ne peut provenir que par une variation de la « dernière » vitesse du système (dans le cas présent, la Terre), la plus « proche », celle de sa rotation. Celle-ci est la plus sensible implication physique, celle qui nécessite le moindre « effort » pour fournir un effet remarquable. Pour que cette vitesse de rotation soit accrue, il est bien nécessaire que la répartition énergétique de l’impact, comme nous l’avons précédemment expliquée, soit plus favorable au transfert d’énergie pure qu’à celui d’ordre matériel. Pour obtenir cet effet maximum, il est logique et obligatoire que la trajectoire d’impact du météorite soit, à la fois : au niveau latitude terrestre, le plus proche de l’équateur, au niveau direction, le plus parallèle avec la direction de la rotation, d’une incidence rasante, dans le même sens que celui de la rotation. Il est à noter que dans le cas du sens inverse à celui de la rotation, un effet « frein » se ferait, un ralentissement de la rotation, mais d'une non égale, d'une inférieure valeur à celle de l'accélération du cas précédent puisqu'il y aurait davantage d'énergie consacrée à la dématérialisation. N’oublions pas que nous recherchons une preuve concrète. Pour cela, utilisons le raisonnement inversé. Donc, si nous voulions obtenir ce résultat optimal, il nous faudrait un cumul absolu des paramètres décrits. Et si c’était le cas, nous remarquerions alors, non pas une trace d’impact nette, circulaire, mais plutôt allongée, tel un sillon. Observons alors, la cartographique du Yucatán, et surtout de ses « environs ». Ainsi, nous pouvons remarquer la topographie particulière de la Mer des Caraïbes. La flèche ROUGE montre bien la trace d’un impact étalé. Les flèches VERTES indiquent bien les « bourrelets », conséquences d’une poussée longitudinale d'une incidence rasante. L'impact du Yucatán est alors secondaire, celui d'un éclat. La trace exprime bien un fort probable impact proche de la tangente. Dans ce cas, le Tsunami provoqué a été d’autant plus important, par un transfert d’énergie sous forme de poussée, que celui estimé auparavant pour une collision proche de la verticale (45° compris). Avec tous ces facteurs complémentaires, il est évident que la vitesse de rotation de la Terre, voire la position ou l’inclinaison de son axe, ont été perturbés. Et ainsi, la valeur de « G » s’en serait nécessairement modifiée.
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